Chronique de Leïla : Mon amour tourmenté

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Hakim: C'est Aymen

J'ai commencer à stresser mdr. Alors que j'ai rien fait. Je me suis imaginer toute les scènes dans ma tête. Hakim lui répond.

Hakim: ouais ?

...:...

Hakim: pourquoi tu crie même ?

Hakim raccroche et se tourne vers moi.

Hakim: -soupire- il a des problèmes ton mari

Moi: il a dit quoi ?

Hakim: il a crier comme je sais pas quoi. Il a dit va devant le stade, il va te prendre

Moi: et pourquoi ?

Hakim: j'sais pas wAllah il est bizarre

Moi: Comment ça se fait il a ton num ?

Hakim: pour les affaires

Je continue d'avancer.

Hakim: t'y va pas ?

Moi: non

Hakim: -rire- tu change pas hein

Moi: jamais !

Hakim: wesh, Amine il s'est bien cacher le con

Moi: mais grave ! AMINE WESH !

Hassoul on l'avait pas trouver du coup on est retourner à l'entrée du stade.

Brahim: je vais l'enculer ce connard

Moi: mais on est cons ! Ça se trouve il est retourné à la maison !

Je vois Aymen se ramener pire qu'énerver. Il me regardait comme un tueur. Il s'approche d'Hakim.

Aymen: -à Hakim- toi sale enfoiré, zehma depuis talheur je t'appel tu me répond pas ?

Moi: pourquoi t'es venu ? Je veux pas rentrer.

Aymen: -il agite son index devant mon visage- Leïla parle pas, je vais m'occuper de toi après

Brahim: tu vas t'occuper de personne !

Saphir: il se passe quoi encore ?

Aymen: Brahim, c'est entre elle et moi

Hakim: calme tes nerfs poto. Elle a pas voulu venir, tu crois tu vas la forcer ?

Aymen: et toi tu crois je rigole avec toi ? Petite salope de tes morts. Je la force si je veux ! Tu crois t'es qui pour elle ? Tu te la ramène tout le temps !

Moi: c'est comme mon frère

Aymen: ferme la toi ! Si c'est "comme" c'est que ça l'est pas donc qu'il ferme sa gueule de chien

Saphir: Aymen y a quoi frère ? Tu pète tout le temps des câbles sur Hakim ? Explique nous

Feriel: -rire- c'est mignon wesh, il est jaloux

Brahim: -à Feriel- Ferme ta gueule toi

Aymen: avance Leïla

Saphir: elle reste à la maison soir ce

Aymen: ouais si elle veut. Je vais juste lui parler deuspi

Moi: je veux pas te parler moi

Aymen: avance je t'ai dis

Il me prend par la main et me fait sortir du stade.

Moi: Aymen lâche ma main

Il me répondait pas. Il m'a ramener dans un endroit calme. À l'abri de tout. Comme s'il planifiait mon meurtre, et qu'il allait se débarrasser de moi plus facilement.