Chapitre 25 - Sportif

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Les examens terminés, je reprends le fil de l'histoire

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Les examens terminés, je reprends le fil de l'histoire. Ça m'a beaucoup manqué à vrai dire, et j'ai hâte de vous faire découvrir la suite de cette fiction !
Je suis encore désolée de l'attente à cause de cela.

Bonne lecture (:






Clairefontaine,
Résidence de l'équipe de France

Omniscient

Les joueurs ne s'étaient toujours pas remis de leur attaque de la veille. Leur estomac en feu et leur pupille gustative en fumée n'arrêtaient pas les entraînements. Cependant, celui de la matinée était rythmé par les plaintes successives des sportifs. Didier Deschamps fut comme le roseau : il plia mais ne se rompit pas. Ils leur fit même un training des plus intenses, à deux jours du match.

Tous le savaient, la Suisse semblait être leur plus puissant adversaire des phases de poules. Si l'équipe était certaine d'être qualifiée pour les huitièmes de finale, elle devait cependant s'assurer d'une première place pour pouvoir ensuite espérer un peu lâcher prise. Pas trop quand même, rassurez-vous.

C'est ainsi qu'après s'être défoulés sur le terrain, tous se retrouvaient dans la salle de sport, avec les kinésithérapeutes et les journalistes comme invités.

"Vous allez réellement me tuer là ! se plaignit la brune.

- Sérieusement ? On est qu'à la deuxième série d'abdominaux Marine...

- Arrêtez de juger les gens comme ça, c'est normal de faiblir avec ces foutus abdos, répliqua Antoine.

- Tu peux parler, t'en as pas beaucoup mon grizou !

- Et pourtant, si tu savais le mal que je me donne... quel vie injuste ! Destiné à être maigrichon toute ma vie !

- Allez, viens pleurer dans mes bras mon petit, dit Paul. Nous, on est fiers de toi, même si tu ressembles à une aiguille."

Antoine lui donna un coup de coude dans les côtes (seul endroit qu'il pouvait atteindre chez Paul ?) et celui-ci lui répondît en lui ébouriffant les cheveux. Bien sûr, la journaliste ne s'était pas arrêtée de se plaindre, et ses râlements défilaient en cascade.

"De toute façon, je sais même pas ce que je fous là, entourée de sportifs avec quinze mille carrés sur le ventre et -

- Quinze mille ?! J'en ai moins quand même, s'étonna Pogba en relevant son t-shirt.

- Entourée d'abrutis, plutôt ! s'exclama Marine.

Les étoiles dans les yeux - Hugo LlorisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant