Je me sens comme prisonnier. Comme si je ne pouvais plus bouger. Et c'est le cas.
Même si je voudrais, mes membres ne réponde plus. Les gens autour de moi continue de me fixer. Je me sens de plus en plus oppressée. J'ai l'impression d'avoir de plus en plus de fardeau sur les épaules.
Ma gorge se sert, l'air se fait de plus en plus rare.
-tu n'a aucune barbe.
Quoi?
-aucun muscles!
Mais...
-t'es cheveux son trop long!
Arrêter.
-tu n'est qu'un enfant!
Arrêter!
-Jamais sérieux!
Pourquoi...pourquoi moi.
Les gens autour de moi continue de crier. Je ne peu presque plus identifier ce qu'il tente de me transmettre.
Ils se rapprochent de plus en plus. Ils sont prochent. Ils crient de plus en plus fort. Les mots sont de plus en plus blessant.
L'oppression qui traîne sur moi se fait de plus en plus ressentir. Je me sens comme enfermer dans une tombeau fait sur mesure. Je me sens condamner à une éternité de patience et d'attente. De souffrance et d'oppression.
L'air qui passe dans ma gorge se fait de plus en plus rare. Mes pieds sont toujours cloué au sol, mes membres ne veulent toujours pas suivrent et ma voix refuse de se faire entendre. C'est comme un trou noir sans fond. Et j'ai peur. J'ai peur de trop descendre. Si je tombe trop profond je ne pourrai plus remonter.
Les gens sont maintenant plus près de moi, des gens normaux, que je ne connais pas. Je ne l'ai est jamais vue. Pourquoi les gens son autant méchant, autant cruel. Personne ne peux seulement se mêler de ses oignons?
Je me sens de plus en plus oppressée, compresser, la pression est de plus en plus forte sur mes épaules.
Sans que je ne m'en rende compte, une lumière accompagner d'une douce chaleur m'entour. Des bras m'entour et les gens recule, aveugler par cette lumière.
Une douce odeur vient prendre possession de mes narines. Elle est rassurante, elle me fait sentir bien.
Soudainement, sans prévenir, un des bras vient s'enfoncer dans mon torse. Aucune douleur. Aucun sang.
Il en ressort avec mon coeur. Cet organe vital don personne ne peut se passer. Pourtant je reste debout. Je respire. Je me sens bien.
Des mèches de cheveux viennent me chatouiller le cou, alors que de douce lèvre viennent se coller à mon oreille.
-Je possède ton coeur. Dit une voix rauque, mais rassurante.
Et sans que je ne m'en rende compte, mon torse explose dans une chaleur insoutenable.
J'ouvre les yeux. Ma respiration est rapide et mon front couvert de sueur.
Zéckez est au dessus de moi, c'est deux main sur mes épaules. Il me regarde, quelque peu inquiet.-tout va bien? Tu n'arrêtait pas de gesticuler. Me demande t'il en me regardant dans les yeux.
Je le regarde avant d'entourer ses hanches de mes bras et de le tirer contre moi. Je le sers de toute mes force. J'ai seulement besoin de lui. J'ai besoin qu'il me rassure.
-Ça va Jaysen, je suis la. Je te laisserai pas tombé.
Il me sert contre lui avant de se détacher. Il grimace et retire un cheveux de sur sa langue.
-J'ai t'es cheveux dans la bouche. Il dit en rigolant.
-C'est mon système de défense. Dit je avec un sourire en coin.
Il me frappe le torse avant de retourner à ça place.
-c'était quoi ton rêve? Me demande t'il en se tournant vers moi.
-Mon rêve?
-tu bouge jamais normalement lorsque tu dors. Tu devais surrement rêver à quelque chose. Me dit il.
Sans vraiment m'en rendre compte ma main vient se déposer sur mon torse. Près de mon coeur.
-Je suis le seul à le posséder. Dit je un peu perdu dans mes pensée.
-t'es en train de virer complètement dingue Jaysen. Dit il avant de se retourner.
-Heu...Zéckez? Dit...est ce que tu trouve que je suis trop collant? Demandais je en chuchotant.
-non pourquoi? Me demande t'il sans se retourner.
-J'ai eu peur...à cause de...de ce que t'as dit cette après midi.
-hein? Qu'est ce que j'ai dit?
-que...que j'étais encore un enfant, que j'avais pas de muscles, que j'étais jamais sérieux, q-
-tu pense encore à ça?
Il se retourne vers moi et me regarde dans les yeux. Ses yeux brille même dans le noir, c'est magnifique.
-Je blaguais tu sais? Tes un beau jeune homme qui plaît à plein de femme et qui a un belle avenir devant lui. Et tu sais que les compliments c'est pas moi, alors j'arrête la.
Je rigole et on se tape le point avant de se rendormir.