-Jordane tu m'apporte mon téléphone?
-t'es grosse. Dit elle en me regardant.
-Qu'est ce que j'ai fait pour mériter une soeur pareil... Soupirais je en me levant.
Dès que je lui touche, il se met à vibrer. Je vois une image d'un singe en fond d'écran. Ha ben, c'est Zéckez qui m'apelle.
-Allo.
-mmh. Entendis je très bas dans le téléphone.
-Zéckez?
-vient. Entendis je dans une sorte de gémissement. (Pas de blagues à propos d'orgasme.)
-Où?
-chez moi. Dit il toujours aussi faible.
-Pourquoi?
-Vient. Me dit il presque suppliant. (J'ai dit pas de blague à propos d'orgasme.)
-D'accord j'arrive.
Je raccroche et prend mon vélo (la virilité) pour me rendre chez Zéckez.
J'ouvre la porte sans cogné, caresse le chien et monte dans la chambre de Zéckez pour le voir enrouler dans ses couverture, avec un coton ouaté (c'est pas le mien?), et il fait extrême chaud dans la chambre. Pourtant, Zéckez tremble de froid et me fixe, les yeux à moitié ouvert.
Il tente un sourire, mais grimace et ferme les yeux.
-Ho que t'as l'air malade toi. Dit je en m'approchant.
Je suis sur que si il aurait été en état,il m'aurais dit un truc du genre "ben non je pète le feux", mais il est pas en état.
-est ce que t'as pris quelconque médoc? Demandais je.
Il secou la tête. Maudit niaiseu.
-bouge pas, même si t'es pas en position de bouger, je reviens. Dit je en sortant de la chambre.
Je descend donc chercher des pilules et un verre d'eau pour ensuite remonter.
Il n'a pas bouger d'un poil, il a l'air dans le coma.
-Tien prend ça dit je en m'approchant.
Il s'assoit, ferme les yeux en tenant sa tête et attend quelque secondes. Il prend ensuite les gélules dans ma main, laissant une trace brûlante sur celle ci, et prend le verre d'eau pour les avalée.
-Merci. Dit il en me redonnant le verre.
-Je vais quand même pas te laisser mourir. Dit je en lui souriant. Recouche toi, je reviens.
Je vais porter le verre dans le lave vaisselle et remonte. Je retire mon pantalon et me glisse sous les couverture avec lui. Je le tire dans mes bras et pose ma tête sur la sienne.
Il faut bien que je le réchauffe.J'attrappe la télécommande et ouvre sa télé. Je vais me mettre un film au moins.
Je caresse son bras alors qu'il continue de trembler comme une feuille.
-tu devrais essayer de dormir Zéckez. Dit je en le serrant plus contre moi.
Il hoche la tête et ferme complètement les yeux.
..
.
.
.
Lorsque je me réveille, Zéckez ne tremble plus, mais il est complètement mouiller.Pas mouiller au point d'être tremper, mais disons qu'il est humide.
-Zéckez...Zéckez réveille toi. Dit je en le secouant.
Il ouvre à moitié les yeux et grimace.
-t'es trempé Zéckez, tu va devoir te lever.
Il secou la tête et referme les yeux.
-Aller Zéckez.
Il grogne et tend les bras vers moi.
-Si tu veux que je te câline, change toi. Dit je avec un sourire en coin.
Il ouvre les yeux et s'assoit sur le rebord du lit, ce qui semble lui demander un énorme effort.
Il pose ensuite ses pieds sur le sol, et se lève, se tenant à son bureau.
Il reste immobile quelque longues secondes et marche jusqu'à sa penderie, d'où il sort un t-shirt et un pantalon jogging.
Le zombie se change devant moi, n'ayant plus aucun pudeur l'un envers l'autre et revient tranquillement au lit, ou il attrape mon bras pour le passer derrière ses épaules et coucher sa tête sur mon torse.
Je rigole et le sers contre moi.
-Pauvre petit chaton malade. Dit je en rigolant.
Il grogne et entour mes hanches de son bras.
Je caresse ses cheveux, alors qu'il s'endort sans dire un mot. Il avait quand même l'air plus vivant que lorsque je suis arrivé. C'est....c'est déjà ça.