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Alors que je dors paisiblement tout en rêvant que je travail dans une épicerie qui vend les animaux encore vivant, mon téléphone sonne et me réveille.

Je me laisse aller sur le langage et répond sans regarder qui me dérange.

-la plus belle pute au monde Bonjour?  Dit je en grognant.

Tant pis si c'est mon père.

-Jaysen vient m'ouvrir il fait froid. Entendis.

ZÉCKEZ?

-Zéckez? Tes malade toi qu'est ce que tu fait dehors?! Demandais je en m'assoyant dans mon lit.

-justement vient m'ouvrir avant que je tombe encore plus malade. Dit il avant de raccrocher.

Je soupire, me lève et descend les marches pour ouvrir sur un Zéckez complètement frigorifié.

-j'espère que t'as une bonne raison de me réveiller parce sinon, je t'attache jusqu'à ce que tu me supplie de te libérer. Dit-je encore endormis.

-ne me donne pas d'envie. J'avais disons...seulement envie de te voir. Dit il en levant les épaules.

Jhoche la tête et remonte dans ma chambre.

Je pense qu'il me suit mais je suis tellement fatiguer que je ne prend pas la peine de vérifier.

Je suis bien obliger de m'en rendre compte lorsqu'il se colle à mon dos dans mon lit.

-qu'est ce que tu fais? Demandais je à moitié endormie.

-t'as un lit simple je te rappel. Dit il en passant son bras sur mes hanches.

-hm.

Je ferme les yeux et tente de retrouver le sommeil.

Par contre, mes yeux s'ouvre en grand lorsque je sens ses lèvres se déposer sur la peau de mon cou.

-est ce que tu est fâché? Me demande Zéckez.

Ses lèvres frôle mon oreille ce qui me provoque un frisson. Il ne manque pas de le remarquer et je sens ses lèvres s'étirer.

-si toi tu l'ai, ton corps ne me déteste pas en se moment. Dit il en fesant glisser ses doigts sur ma hanche.

Je continue de fixer le mur, attendant de voir la suite. Autant je suis bien en ce moment....autant j'ai l'impression de ne pas être à ma place.

Zéckez passe sa main sous mon t-shirt et vient caressé mon bas ventre. 

Il dépose des dizaines de baisers dans mon cou, allant jusqu'à morde mon lobe d'oreille.

Je ferme les yeux, trop fatiguer pour protester.

Il continue ses caresses, s'approchant de plus en plus de la zone interdite.

J'entends un sons aiguë qui me faire ouvrir les yeux.

Me dites pas que ça venait de moi.

Le sourire de Zéckez me confirme qu'effectivement, ce gémissement provenait de moi.

Pourtant je ne l'entend pas dire une de ses fameuses remarques, puisqu'il e-

Puisqu'il est en train d'aspirer ma peau l-

-fuck. Dit je dans un souffle.

Il relâche ma peau, puisque son sourire la en quelque sorte forcé et il plante ses dents dans mon épaules.

-Zéckez...

-Jaysen ne redit plus mon nom de cette manière. Dit il en frottant ses lèvres sur ma peau.

Sa langue trace une ligne de mon épaule à mon oreille et me chuchote, d'une manière irrisitible;

-Je sais pas si c'est parce que je suis malade, mais j'ai soudainement très envie de toi...

Je me retourne vers lui, braquant mes yeux dans les siens.

Aucune once de moquerie, seulement un désir. Un désir pur.

La chaleur de son corps m'enveloppe dans une bulle de tendresse, que nous partageons et que personne ne peux détruire en se moment.

Notre bulle de bonheur.

Zéckez me regarde dans les yeux, alors que j'essaie de fuir son regard.

Un flash me vient soudain à l'esprit. Je ne veux pas être l'autre. Le vide couille. Celui qu'on utilise.

Il ouvre la bouche, mais je le devance;

-bonne nuit Zéckez. Dit je en me couchant face au mur.

Décidément, je suis vraiment nul en matière de...ça. 

Il se couche à côté de moi et tente de passer sa main sur ma hanche.

-stp Zéckez, non. Dit je en repoussant sa main.

Il hésite et se tourne dos à moi.

Son ami Zéckez [BXB]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant