Clara [Terminé]

Chapitre 35 : Help

/!\ Ce chapitre comporte quelques passages osé /!\

Elles me font m'assoir sur une chaise en attendant quelque chose. Elle discute entre elles et quelqu'un toque doucement à la porte. Les filles se regardent en souriant et partent ouvrir la porte. Un groupe de gars du lycée, dont Axel, rentre et Caroline et Laurianne sortent. Cassandra s'assoit au bureau et fait un signe de tête. Les gars sourient. Qu'est-ce qu'ils vont me faire ? Un gars nommé Amir, ce dirige doucement vers moi et me caresse la joue. Je me lève et retire sa main mais trois autres gars me tiennent et me refont m'assoir. En tout ils sont 5, plus Cassandra qui regarde la scène avec amusement.

-Bon on n'a pas beaucoup de temps grouillé vous. Enlève ton pull. Exige Cassandra

Je la regarde avec pitié pour qu'elle arrête tout ce qu'elle veut faire. Je tremble et je ne peux plus me contrôler. Je crois que je viens de comprendre ce qu'ils veulent me faire. Pris d'impatience, Amir enlève mon pull, enlève mon tee-shirt à bretelle et regarde mon soutif. Je ferme les yeux. Je ne veux rien voir, je veux juste espérer que c'est un horrible cauchemar. Je sens une délicate main retirer mon soutif. Les gars viennent un par un face à moi et me demande de retirer leurs tee-shirt et d'ouvrir leurs braguette ou de défaire leurs ceintures. J'ai voulus désobéir mais je suis prise une grosse claque que la marque restera longtemps. Les larmes coulent tous seuls et je continue à fermer les yeux. Par pitié aidez-moi !! Axel me prend ma main tremblante et la glisse dans son pantalon. Je garde les yeux fermés. Il m'oblige de faire des mouvements de va et vient. On me fait mettre à genoux, j'ai du mal à respirer les larmes sont trop abondante. Vu que j'ai les yeux fermés je ne vois pas c'est qui, mais un gars me met son engin dans ma bouche. Je tire au cœur deux fois. On retire mon pantalon et on me caresse. Je ne me sens pas bien. On a essayé de me faire me relevé mais je suis tombé. Et soudain j'entends une déchirure de plastique, j'ouvre doucement les yeux, un papier de capote tombe devant mon nez. Je referme les yeux apeurés. Je n'ai jamais couché ! Et je ne veux pas que ma première fois soit en me faisant violer !

Et là, les actions s'enchaînent. Je suis dans un cauchemar mais je ne peux pas me réveiller. On m'empêche de crier, même si parfois des cries sortent tous seuls. J'entends les rires de Cassandra, les plaisirs des mecs. Cet évènement est inscrit en moi à jamais. Et jamais je pourrais en parlait. Pour dire quoi ? Que je suis qu'une sale victime qui obéit aux ordres d'une pauvre pute ? Une fois finis leurs torture, les gars se rhabillent fière. Moi je ne bouge pas je reste par terre comme paralysé. Je tremble encore, comme si ils étaient toujours en train de me pénétrer. Je suis coincé dans un cauchemar à vie. Caroline et Laurianne arrivent et m'aident à m'habiller et à me lever. Elle m'arrange mon visage pour effacer mes pleurs et me font jurer de le dire à personne. De toute façon comment je pourrais le dire ? Je marche, tant bien que mal, vers chez moi. Je n'ai pas la force de continuer cette journée. J'aurais jusqu'à dire que je ne suis pas bien, et à ma tête cela se verra. J'appelle ma mère et je préviens d'un faux mal au crâne.

(/!\ fin du passage osé /!\)

Cela fait deux jours que je ne vais pas en cours, prétextant une gastro. Quelqu'un frappe à la porte. Couché dans mon lit en fixant le plafond je réponds un faible oui. J'aperçois Jack rentrer dans ma chambre.

-Tu fais quoi ici ? Dis-je un peu agressivement

-Arrête de faire genre que tu es malade, dit moi ce qui ne va pas.

-Je vais très bien. Répondais-je sèchement

-Ne me prends pas pour un con !! Je m'inquiète Clara...

-Laisse-moi s'il te plait.

-Quelqu'un ta fait du mal ? Dit en s'asseyant sur mon lit

-Mais non...

-Quoi alors ?

-Tu veux vraiment savoir ?

-Bien sûr bébé... Je peux te comprendre. Il m'embrasse sur le front

-Non je ne crois pas...

-Je serais toujours là pour toi bébé. Quoiqu'il arrive, quoique tu es fait. Je serais là car tu es devenu importante pour moi. Bébé, je t'en supplie dit-moi...

-Je me suis fait violer.