le début de tout

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Je m'appelle adicha jai 20ans
Je suis une fille modeste vivant dans la banlieu dakaroise.

J'étais dans les bras de morphée quand je sentais un violent coup sur ma côte gauche . Cette douleur retentissait jusqu'à ma colonne vertebrale qui me fait sursauter hors de mon lit en laissant un long cri de douleur. C'était dieynaba ma belle mère . En réalité ma mére est passée de vie à trépas (elle est morte) à cause de l'amertume que lui infligeant mon père . Quand ma mère ferma ses yeux lors de ses dernières heures c'est ma vie entière qui s assombrit . Cette douleur de la perte de cette personne chère qui me donnait tout l'amour que personne ne pourra me donner.celle là qui ouvrit mes yeux au prodige de la terre , celle la qui remontait ma morale quand je me sentais isolé du monde. Non , vous ne pouvez pas imaginé ce manque ! Lorsque la vie m'a arrachée ma mère toute envie de me battre pour atteindre mon but dans la vie s'est estompée mais je me resaisis en repensant à ses derniers vouloirs . Elle me disait : "ma fille n'abandonne jamais je serais toujours là pour toi".

Je me lève en sursaut hors de mon lit en regardant dieynaba droit au yeux . Un coup de gifle se déposa sur mes joux.

Dieynaba : tu oses me fixer dans les yeux petite peste ! Comme on le dit telle mère telle fille han! Prétentieuse que tu es les ustensiles ne vont pas se laver toutes seules elles t ' attendent.
Moi : mais ta dieyna il est 4h du matin , il n'est pas encore l'heure de la prière de fadjar (fadjr )
Dieynaba : legui nak * et alors ! Tu aurais du les laver hier avant de te coucher . Je ne vais jamais faire ces taches alors que tu es là hein (en mindexant) . Elle se retourna et s'en alla dans sa chambre.

Je me dépêches pour aller à la cuisine malgré ma douleur à la côte car si je n'accomplit pas cette tache je serais encore battue par dieyna et mon père , mais également je ne vais pas manger durant une journée entière à moins que j'aille chercher moi même quoi manger .
La cuisine était dérangée comme un logement de porc les ustensiles dispersées ça et la. Je les lavent et je nettoie la cuisine en rangeant cuillers , verres , bols à leurs places . J'ai même nettoyé toute la maison . Il est à peu près 8h et comme dab je fais ma toilette et je pars à la boutique de maodo là où mon père déposait l'argent de la dépense quotidienne que je devais prendre pour aller au marché . Ce qui est inconcevable c'est comment une somme de 2000f mon transport aller et retours inclus pouvait nourrir une famille entière ? Teuss ma warou . Raison pour laquelle j'allais à pied au marché malgré ma douleur insoutenable à la côte . Je marchais sur de longues distances faisais les achats et portait un lourd sac sans l'aide de qui que ce soit . Le chemin du retour avait duré duré plus que je l'avais imaginé. A 12h environ j'arrive en face de la maison et j'aperçois dieynaba qui m'attendait devant la porte .
Dieyna : pourquoi tu as autant duré ? Peste ! Tu étais avec un homme c'est ça ???

Qu'est ce que dieynaba va t-elle faire q adicha , lui fera t-elle du tort.
Le prochain chapitre vous le dira .

J'espère que ça vous plaît je fais tout pour éviter les fautes . N'oubliez pas de tapez sur commenter également vos commentaires j'y tiens je vous adore bonne lecture ♡♡♡♡

## la prochaine chapitre......

chronique d'une sénégalaise : tombée dans le piègeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant