L'âme d'une louve- Révélation

Attaque

Connor

Le matin suivant mon premier rendez-vous avec Cassiopée, je me réveillais en étant toujours aussi étourdis  par la tournure qu'avec pris la fin de notre rendez-vous  de la veille. J'avais embrassé mon âme-sœur comme si ma vie en dépendait. Je l'aurait garder dans mes bras et l'aurait embrasser pour le restant de ma vie. Cependant, à un certain moment, elle me rendait tellement fou que j'ai dû mettre un terme à notre baiser. Si je ne l'aurais pas fait, je me serais probablement changer en loup devant ses yeux sans que je puisse arrêter la mutation et j'aurais pu dire adieu à ses lèvres pour le restant de mon existence.
En arrivant à notre base pour aller rejoindre ma meute se matin là, j'étais tellement absorbé dans mes pensées que pendant un moment je ne me rendis même pas compte que tout le monde courrait dans tous les sens autour de moi. Ils avaient l'aire paniqués, quelque chose clochait. Je me rendis au bureau de mon père qui était l'un des anciens de notre communauté. Notre système était en faite dirigé par les anciens qui eux, étaient les loups-garous les plus expérimentés. Ensuite, il y avait plusieurs meute répartis sur un même territoire. Grâce au anciens, chaque meutes s'entendaient à merveilles les unes des autres. Ils étaient en quelque sortes les Alphas suprême. En arrivant à son bureau je ne vis personne. Je décidais donc d'attraper quelqu'un qui passait par là pour lui demander ce qui se passait.

-Des prisonniers ont réussi à s'échapper et d'autres chasseurs ont attaqués le groupe de surveillance de se matin. Me dit l'homme d'un quarantaine d'année avant de continuer son chemin.

Alors que je courrais pour me rendre à l'extérieur, un gros boum se fit entendre de moi. Les vibrations de l'explosion était tellement près que je faillis perdre l'équilibre. Ces saletés de chasseurs ont dû avoir des renforts. Je me dépêchais de me déshabiller pour pouvoir me transformer ainsi, je pourrais localiser la meute. Lucas, où êtes vous? Ils viennent de faire exploser une partie de l'établissement. Je n'eu aucune réponse. Je supposais qu'ils allaient tous bien quand même et je continuais mon chemin à la recherche des chasseurs. Je finis par en trouver un entrain d'attaquer la une jeune louve sous sa forme humaine. En le voyant s'apprêter à lui frapper les côtes à l'aide de son pied, je n'hésitai pas une seconde et lui sautât déçu. Je lui mordît l'épaule droite et le traîna brusquement avec moi jusqu'à l'extérieur. Je le jetais ensuite sur un arbre et me mis à grogner contre lui. Mon père arrivât juste au moment où je m'apprêtais à planter mes crocs dans son cou pour lui faire regretter de s'en avoir pris à une aussi jeune fille. De ma meute en plus. Connor, stop. Nous aurons besoins de lui pour avoir des informations concernant ses congénères. Me dit-il sous sa forme de loup. Je grognait après l'homme sous mes énormes pattes mais finit pas écouter les paroles de mon père.
Qu'est-ce qui se passe!? Qu'est-ce qu'on fait? Demandais-je à l'énorme loup blanc foncé qui me servait de père.
Nous avons réussis à attraper les autres chasseurs et de les enfermer au sous-sol, il ne pourront pas sortir de là sans avoir à faire à l'un de nous. Certains de nos congénères sont blessés, tu pourrais aller t'assurer que tout se passe bien à l'infirmerie et te renseigner sur les membres de ta meute. Je m'occupe de celui-ci. Rajoutât mon père avant de me faire un signe de tête pour que je mettent à exécution ses paroles. J'allais donc m'assurer que tout les blessés allaient sans sortir tout en me renseignant sur les membres de ma meute.
Nous avions peu de morts puisque nous guérison très rapidement mais, il y en avait. Dont Stéphanie. Les autres étaient autour d'elle et la regardais en espérant sûrement qu'elle ne se réveille. Mais n'en fit rien. S'était terminé, elle ne se saurais jamais transformée et elle n'aurais jamais connue son âme-sœur. La culpabilité m'envahit peu à peu. À près tout, elle m'aimait moi alors que je la repoussais sans cesse. Ses amies, mes amies, pleuraient pour elle. Je ne pu verser de larme mais, sa mort m'attristait quand même. À près tout, elle faisait partie de notre famille. Je laissais le corps de Stéphanie et allais voir qui étaient l'identité de ceux qui comme Stéphanie, n'avait pas eu la chance de survivre à une journée de plus. Je reconnaissais un petit garçon et sa jumelle mort, coucher l'un à côté de l'autre, les doigts entrelacés. Ils étaient mort ensembles et ont les avaient laissé comme tel. Leur corps ensanglantés me rempli de haine pour ceux qui leur avaient enlevé la vie et qui se trouvait probablement au seulement quelque étages en-dessous de nous. Il y avait un garçon de mon âge que je ne connaissais pas personnellement et d'autres enfants. Ses chasseurs étaient des lâches. Ils devaient être très fière de leur coup. Réussir à tuer des loups-garous, se n'est pas rien. Mais dans notre cas, s'était différents car ils s'en était principalement prit à des enfants. J'étais dans une telle colère que je sentis mon corps convulser. Je sortis en vitesse de la salle et allait me trouver des vêtements. Une fois habillé, je descendis les marchés menant au sous-sol quatre à quatre et ouvrait la porte qui enfermait ses enfoirés de chasseurs! Ils étaient enfermés dans des cellules. J'allais chercher les clés d'une cellule à l'un des gardiens puis en fis sortir un. J'attachais ses mains après des chaînes accrochées au plafond et tournai autour de lui pendant quelque instant.

-Alors comme ça, ont s'en prend à des enfants! Dis-je fortement en allants chercher une barre de métal non loin de l'endroit où je me trouvais.

-Non, non s'il vous plaît. Ne faites pas ça je vous en prie! Me dit l'homme enchaîné en secouant ses chaînes.

-Je vous en prie. Est-ce que vous et vos petits camarades avez prit en comptes les pleurs des enfants qui ne VOUS AVAIENT RIEN FAIT ET QUI VOUS SUPPLIAIENT DE LES LAISSER VIVRE! Dis-je hors de moi en laissant ma colère sortir en frappant les côtes de l'homme à l'aide de la barre de métal.

J'aurais voulu tous les tuer. Un à la fois pour qu'ils souffrent comme les miens qui avaient perdu la vie avait souffert. Mais, des gardiens arrivèrent et me prirent le bâton des mains. Je me dégageait de la poigne de l'un et parti aussi vite que j'étais arrivé. Je parti chercher mon sac et me déshabillais encore une fois pour aller courir dans les bois. Mes pattes me guidèrent directement chez Cassiopée. Cacher derrière un arbre je reprit les vêtements que j'avais apporter avec mon et me changeait. J'allais ensuite confiner à sa porte et j'attendais qu'elle me répondre. J'avais besoin de voir son visage pour m'apaiser. À la place de mon âme -soeur se fut une femme dans la quarantaine qui ouvrât la porte.

-Bonjour, que puis-je faire pour toi? Me demandait-elle en me souriant.

-J'aimerai voir Cassiopée. C'est important. Dis-je rapidement en devenant de plus en plus agité.

-Oui bien sûr, entre mon chou. Me dit-elle. Elle est dans sa chambre. C'est la porte là-bas. Rajoutât-elle en me pointant une porte de l'autre côté de leur salle à manger, à côté de la cuisine.

Je ne pris même pas la peine de lui dire merci et allait directement à sa chambre pour ensuite, ouvrir la porte de celle-ci sans cogner. Je retrouvais donc mon âme-soeur couché sur son lit avec une énorme masse de poil noir et blanche qui se leva en vitesse en se précipitant sur moi alors que je refermais la porte.

-Connor, qu'est-ce que tu fais ici? Est-ce que tout va bien? Me demanda Cassiopée l'aire inquiète.

Je laissais son chien Zeno et vint me laisser tomber près d'elle dans ses couvertures.

-J'avais besoin de te voir. Lui dis-je simplement.

Son chien vient vite se rapprocher de nous en se couchant entre moi et sa maîtresse. Je le poussais légèrement et posait ma tête sur les cuisses de Cassiopée en ne disant aucun mot. Elle commença à me caresser les cheveux et je me laissais faire en fermant les yeux pour mieux apprécier se moment.