Banalité

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Connor

Une fois mon âme-sœur confortablement endormie contre moi, j'eus beaucoup de difficulté à réussir à la laisser dormir sans moi mais, je devais mettre les choses au clair avec mon père. En même temps, je me consolais en me disant que s'était pour son bien. Si mon père était impliqué dans quoique se soit, il avait sans aucun doute quelque chose à m'apprendre.

Je déposais un baiser sur le sommet de sa tête et sorti discrètement de sa chambre. Je me rechangeais en loup avec la photo sur laquelle on pouvait clairement reconnaître mon père dans ma gueule. Je me rendais directement à la maison et me rechangeait en homme arrivé devant la porte de derrière. Je me rendis à ma chambre pour me mettre une paire de jogging et me dirigeais vers son bureau. Comme je l'avais soupçonné, de la lumière était projeté sous la porte de celui-ci. Je frappais une seule fois et entrai sans attendre de réponse.

Il était penché sur certains dossiers. En me voyant rentrer, il relevait la tête en déposant son crayon. Je ne pris pas la peine de le saluer et me contentais de déposer la photo sur la pile de feuille qui se trouvait devant lui.

-Qui est-il? Dis-je en pointant du doigt le père de Cassiopée.

Mon père soupiras en se passant les mains au visage.

-Tu veux dire que tu aimerais savoir ce qu'il est? N'est-ce pas?

Il joignit ses mains ensembles et posait ses coudes sur son bureau en me regardant. Je pris position sur l'une des chaises devant lui et répondit par l'affirmative.

-Mike était effectivement comme nous. Quand il était plus jeune, lui et sa famille vivait ici. Il était donc un membre de la Meute. C'est pour cette raison qu'il apparait sur cette photo en ma compagnie et  celle de Marc. Je ne pense pas que c'est à toi que je dois des explications par contre et je ne suis même pas supposé en donner du tout mais, je pense qu'elle a le droit de savoir.

Je fut surpris par ces paroles.

-Alors, tu accepterai de lui dire tout ce que tu sais à propos de son père et de ce qu'elle est?

Un énorme sentiment de joie se répartit partout à travers mon corps. J'avais envie d'aller courire jusqu'à chez Cassiopée pour la réveiller et l'emmener jusqu'ici. Il n'y aurait plus aucun mystères, elle serait tellement heureuse.

-Je peux lui dire ce que je sais, pas ce que je ne sais pas. Si elle est oui ou non comme notre espèce ça, je l'ignore fiston. Ne lui fait pas trop de faux espoirs et prend ton temps.

Je froncais les sourcils.

-Tu n'as même pas une petite idée de ce quelle pourrait être?

-Si, je pense qu'elle possède de nos gènes grace à son père mais, sa mère était humaine. En tout cas, elle avait l'apparence.

Était-il réellement entrain de me dire que sa mère était peut-être même pas humaine!?

-Pa, est tu certain de ce que tu insinu? Sa tante n'as rien d'un être surnaturel et je doute fort que mes sens ne me joue des tours par raport à ça. Je sais quand j'ai affaire à une créature et elle, elle est tout ce qu'il y a de plus humain. Si sa soeur est humaine c'est que forcément la mère de Cassiopée l'est aussi.

-Pourtant Cassiopée ne l'est pas.Me dit-il en froncant les sourcils. Écoute, continu de faire ce que tu fais d'habitude et dans quelque temps, emmène là ici et je lui dirais ce que je sais. Les vacances de Noël arrive à grand pas et avec ça, le bal d'hiver. Invite là et profiter de se moment de normalité. Ensuite nous verrons bien.

Il conclut notre discussion en se remettant à lire ses dossiers comme si je n'étais plus dans la pièce. Je repris la photo et gagnait ma chambre. Je me laissais tomber sur mon lit et fixais le vide. Il avait sans doute raison. Elle n'était pas obligé d'avoir plus de doutes quant à ses parents. Aller au bal d'hiver était une excellente idée, il ne me restait plus qu'à l'invité.

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Une semaine avait passé depuis que j'avais eu ma discussion avec mon père. J'avais rendu la photo de son père à Cassiopée en tentant de la convaincre de modérer la cadence des recherches. Étonnament, elle avait acceptée sans roncher. Cela devait sans doute être difficile d'apprendre que les personnes auxquelles nous tenons le plus nous ont mentiens pendant des années.

L'hiver s'était finalement établit pour de bon et la neige recouvrait chaque parcelle de terre qu'il possèdait seulement une semaine avant. Les gens de l'école commencait de plus en plus à parler du bal qui approchait à grand pas. Des affiches avaient été installées sur pratiquement chaque mur de l'établissement.

Je passais mes journées de classes à attendre la fin de chaque cours pour aller la rejoindre et chacun de ceux que je partageais en sa compagnie à l'observer. Une certaine routine s'était installée et je pense que s'était pour le mieux. De cette manière, je pense que Cassiopée pouvait attribuer à sa vie un brin de banalité qui lui faisait du bien. Je l'aidais à réviser en dehors des cours et l'emmenait plusieurs fois manger dans le peit restorant italien que je lui avait fait découvrir lors de notre premier rendez-vous. Elle se rapprochait de plus en plus de moi et je sentai le le fil invisible qui entourait nos deux coeur se racourcir à chaque instant. Permettant ainsi à nos sentiments de se faire ressentir plus intensément. J'avais remarqué que j'étais maintenant capable de percevoir ses émotions. Le besoin d'être près d'elle se faisait de plus en plus fort. Si je restait trop longtemps à une longue distance, je commencai à en ressentir des effets négatif.

Une nuit, je devais aller faire le tour de mon territoire sous ma forme lupine avec le reste de ma meute. J'étais parti depuis plusieurs heures en me disant que le maux de coeur allait sans doute me quitter sous peu. Rendu à la limite de notre territoire, la douleur s'intensifia et je commencai à ressentir un mal de tête tellement fort que je dut me transformer en homme pour me tenir la tête en les mains. J'avais décider de rebrousser chemin en laissant le reste de ma nuit à Lucas et je parti en direction de chez moi. Plus j'avancais vers cette direction, moins la douleure se faisait intense. Je finis par comprendre que je devais me diriger vers elle. En arrivant chez Cassiopée, j'entrais et la trouvais assise par terre en serrant son chien contre elle, la tête poser contre celui. En me voyant entrer, elle avait relevé la tête et m'avait demander ce que j'avais fait pour faire disparaitre sa douleur.

Depuis se temps, je ne restait jamais trop longtemps éloigné d'elle. Je m'arrangeai pour toujours sentir son odeur rosé. Se soir là, comme tout les autres depuis un bon bou de temps, je me rendi chez elle alors qu'elle dormait et me faufillait sous ses draps. Bien-sur, comme je savais que me savoir nu la m'étais très mal à l'aise, j'avais apporté un jogging. Je fis le moins de mouvements possible et rapprochait son corps du mien en enroulant mes bras autour de sa taille. Je fermais mes paupières et m'endormais  en un rien de temps.

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Voilà les p'tits loups! Un autre chapitre en plus! Je sais qu'il se passe pas grand chose dans celui-ci mais, c'est mieux que rien, non? Bref, je vais peut-être en publier un autre dans quelques heures puisque je me sens vraiment mieux! Je suis prêts à rester éveillé jusqu'aux petites heures du matins. En tout cas pour l'instant... J'espère que vous avez aimez. Ont est déjà rendu à. 4,5k vues, c'est incroyable! Sa va tellement vite! L'âme d'une louve est maintenant au 21e rang! Wow😱 Merci, merci et merci!😘💕
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Aimez-vous l'idée du bal d'hiver?

L'âme d'une louve- Révélation Où les histoires vivent. Découvrez maintenant