L'âme d'une louve- Révélation

Questions sans réponses

Connor

Je me réveillais en sentant mon âme-sœur gigoter dans mes bras. Je la serrais plus fort en respirant son odeur. Elle dormait paisiblement la tête niché dans mon cou et les bras posés sur mon torse. Je souris à la voir aussi près de moi et profitais encore de se merveilleux moment pendant quelque instants. Je n'avais aucune envie de sortir du lit mais, je le devais.

Une fois douché et habillé, je sortis en faisant le moins de bruit possible pour me rendre à ma moto. Puisqu'il était très tôt, j'aurais le temps d'aller chercher Liza, la tante de Cassiopée, et de revenir avant son réveil. En arrivant chez elle, je ne fut pas surpris de voir un faisceau de lumière éclairé la maison. Sa tante s'était fait un sang d'encre pendant sa disparition et j'avais eu toute la misère du monde à la convaincre de ne pas appeler la police. La pauvre n'avait sans doute pas fermer l'œil de la nuit, n'y de les précédentes. Je me garais dans l'allé et me préparai à aller cogner en montant les quelques marches qui menait à leur porte lorsque celle-ci s'ouvrit avant que je ne puisse faire quoique ce soit.

-Alors, as-tu des nouvelles?

Liza avait l'aire horriblement fatiguée comme je l'avais imaginé. Ses cheveux auburn qui était généralement frisé naturellement de manière élégante étaient maintenant dans un tout autre état. Ses yeux plus foncé que ceux de sa nièce étaient bouffis et rougis par la fatigue et les pleurs. Ils représentaient deux puits sans fond d'inquiétude.

-J'aimerai vous amenez quelque part, si vous le voulez bien, bien-sur.

Mes paroles parurent l'inquiéter davantage car elle étouffait un sanglot en posant ses mains sur sa bouche. Son conjoint vint la prendre dans ses bras alors pleurait à chaude larme.

-Ne vous inquiétez pas, elle va bien. Je veux seulement que vous la voyez.

Je lui offris un petit sourire qui se vouait à être rassurant. Ses pleurs redoublaient d'intensité mais, cette fois ci, mélangé à des rires de nervosité. Elle lâchait les bras de son conjoint et vint me serrer dans ses bras. Je me laissais faire en répondant à son étreinte. Je me dégageais peu de temps après en la tenant par les épaules.

-Peut-on prendre votre voiture pour si rendre?

-Tout ce que tu voudras mon garçon. Me dit-elle en souriant avant de s'engouffrer à l'intérieur de la maison et de revenir avec ses clés. Allons-y. Rajoutât-elle en descendant les marches pour se rendre à sa voiture.

Son conjoint, Denis, décida de rester à la maison et d'attendre son retour. Je la laissais conduire et lui indiquais le chemin jusqu'à la rizière de la forêt le plus prêt de notre camp. Elle fut assez surprise de devoir continuer à pied dans la forêt mais, elle me suivait.

-Vous devez me jurer que vous ne parlerez de cet endroit à personne. Même pas à Denis. Je ne suis même pas censé vous montrer ce lieu.

Je nous fit arrêter à plusieurs mètres de la base pour m'assurer que notre secret resterai bien gardé car, malgré le fait que nous soyons établie en plein milieu d'une forêt visitée par des centaines de personnes, aucun humain ,sauf les chasseurs, ne l'ont jamais aperçu. Grâce à nous, qui inspecte les environs et repoussons les individus qui ne sont pas supposé l'apercevoir.

-Je te le promet Connor. Je veux simplement m'assurer qu'elle se porte bien. De toute façon, je vais l'oublier en un rien de temps avec ma mémoire de poisson rouge.

Elle rit de sa propre blague avant de reprendre son sérieux et de me suivre. L'établissement se présentait à nous peu de temps à près. Nous nous étions établie en plein milieu d'une clairière quelque siècle auparavant. Bien sur, je n'étais pas au monde. Notre camp ressemblait plus à un énorme chalet fait en bois. L'extérieur était plutôt banal alors, que l'intérieur était la représentation exacte de notre siècle. Il possédait quatre étages et s'étendait sur plusieurs mètres de longueur et de largeur. La première fois que l'on voyait, ont pouvait le trouver assez surprenant. Sa tante avait l'aire d'être de mon avis car, elle n'avait pas l'aire d'être capable de refermer sa mâchoire.