Chapitre XIX

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Le blond prit la parole face à Marco:

Blond:Mec ça fait longtemps, pourquoi tu venais plus au soirée?

M: C'est pas la question, je rigole pas avec toi, tu va nous laisser partir.

Blond: Assis-toi donc que l'on parle.

M: A côté d'elle d'accord.

Le blond avait alors ordonné au mec assis à côté de moi de céder sa place.

Blond: Si tu voulais participer, il suffisait de demander tu as toujours eu une place au cercle.

M: J'y jouait mais les gens étaient consentants, là tu l'oblige donc non désolé mec, je franchis pas cette ligne rouge.

Blond : A ça ça va être problématique parce que j'ai pas envie qu'elle parte.

Et là j'en avais marre de fermer ma bouche donc j'ai parlé à mon tour :

Moi: La enfaite vous parlez vous parlez mais moi je vais partir que tu sois d'accord ou non.

Blond : Ouuuh ta copine à du répondant dit donc ça change.

Moi: Je suis morte, moi être sa meuf tu rêve tchiiiip.

Blond : Ben alors Marco tu fous quoi là? Ahh peut-être que j'ai pris ta proie, je te la rendrais à la fin de la partie.

M: OK alors je prend part à la partie.

Là j'ai pas compris, le gars il décide de me foutre dans la merde pour son plaisir. Je lui ai donc chuchoté :

Moi: Tu joue à quoi ? Pour une fois que j'étais contente que tu sois là tu me mets dans la merde. Tu me déçois... Et après tu t'étonnes qu'on est pas capable de recommencer à zéro.

M: Tout ce que je te demande c'est de me faire confiance. Et si je réussis à nous sortir de là, tu accepte qu'on recommence à zéro et que l'on devienne amis.

Moi: Ce sera difficile mais je veux bien reprendre depuis le début.

Blond : Bon commençons. C'est action ou vérité cela vous va et notre invité d'honneur mon cher Marco va lancer la bouteille et la personne qui sera pointé fera l'action avec lui.

M: C'est parti.

Heee Dieu, je priai fort mais foooort pour que la bouteille tombe sur moi. Et pour une fois depuis ce matin la chance m'a sourit.

Moi: Yeeees.

Les gens m'ont lancé des regards accusateurs :

Blond : Quelle coïncidence Raïssa.

J'étais choqué comment ce dégénéré connaissait mon nom.

Moi: So coman, comment tu connais mon nom ?

Blond: Marco, tu dois galocher Raïssa de manière explicite.

La j'ai paniqué, j'étais rempli de colère. Je ne voulais pas que mon premier baiser se résume à un chiche, fait sous la contrainte avec une personne avec qui nous ne sommes pas sur sur nos sentiments mutuels. .

Vous trouverez ça con et cucu la praline, mais je nourrit secrètement le fait que mon premier baiser sera donné par mon premier véritable amour.

Alors que je paniquais, il a plongé son regard dans le mien et c'est comme ci il avait compris. En une fraction de seconde il avait compris que mes lèvres étaient encore vierge et que je ne pouvais pas faire ça.

M: Je refuse de l'embrasser.

Blond : Je te croyais homme de parole Marco.

Il s'est alors retourné vers moi et m'a dit:

Avec un babptou? Jamais! {PAUSE}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant