Chapitre IX

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Aujourd'hui j'étais de bonne humeur. Je m'étais tranquillement réveillé, et la première que je fis fût de repenser à hier soir. J'avais adoré discuter avec lui. Il était différent de la première impression à laquelle j'avais eu droit ces deux dernier jours . Et cette impression Dieu sait qu'elle était mauvaise tchiiip! Il était macho mais moins que ce que les filles avaient dit.
J'avais un peu tourné la tête et là je l'avais vu. Sur mon bureau trônait ce magnifique bouquet blanc. La situation avait été gênante. Mais il avait bien choisi les fleurs car les roses étaient mes fleurs préférés surtout les roses rouges et blanches.

Bon assez de parlotes là. Je me dirigeais vers ma douche. Et entre vous et moi, j'osais même pas me regarder dans le miroir. J'avais trop peur de mourir. Attend des fois, mon reflets le matin me fait mal deh. C'est une torture. Sachant que j'avais passé la nuit à parler avec quelqu'un, mon visage doit être mort... J'avais pris ma douche, je m'étais habillé, parfumé. J'étais pas on fleek mais bad fleek (Ouais ouais nouvelle expression). Il était 7:30 et j'étais entrain d'attendre devant chez moi, car Dana m'avait proposé qu'on fasse la route ensemble.
J'attendais depuis 5 minutes puis 10 minutes. Je commençais à me demander ce qu'il se passait.
J'appelais à plusieurs reprises mais rien, pas de réponses nada, wallou, niette.Je n'avait droit qu'à sa vielle messagerie.

Je lui laissais encore 5 minutes sinon je partirais sans elle. Je commençais sérieusement à m'inquiéter et là qui je vois:

Lui: Ben tu fais quoi , tu comptes sécher?

Je lui pretais aucune attention, j'étais bien trop énervée par le message que je venais de recevoir.

Dana.

Désolé de ne pas être venue. Hier il m'a demandé s'il pouvait venir te chercher à ma place. J'ai pas pu résister à ses coups de pression. Bisous ma black.

Moi: C'est une blague!

Lui: Lai..

Moi: Alors maintenant toi tu te permet de chambouler mes plans, niama. Tu te laisse aussi le droit de mettre des coups de presse à mes potes.

Lui: Tu parles trop et bonjour pour toi ça n'existe pas.

Moi: Marco je pense qu'on a dépassé toi et moi les problèmes de politesse. Tchiiip.

Lui: Tu ferais mieux de monter si tu veux pas rater ton cour.

D'ailleurs je vous ai pas décris sa voiture. Mama une magnifique BMW.Mais j'étais trop fière pour lui dire qu'elle claquait.

Moi: Tu as cru que je tenais si peu à la vie?

Lui: Ben non pourquoi. Si ça peut t'assurer je te sors mon permis.

Moi: Oui je préfére. J'aime les choses concrètes tchiip.

Lui: Mio Dio, arrête de faire ce bruit je délire pas avec toi.

Moi: Si tu n'es pas mon pote, tu fou quoi là?

Entre temps monsieur était sorti de sa voiture, et il était à présent à côté de moi sur le trottoir.
Il portait un t-shirt blanc qui dessinait bien son torse et une magnifique veste en cuir.

Lui: Attend je le cherche.
Par contre tu n'es pas obligé de me mater.

Moi: Non tu as tout compris, chez toi il n'y a rien à voir. Tchiip.

Monsieur se rapproche de mon oreille:

Lui: Tu es belle aujourd'hui. .. Scusa mia rosa. ..

Et la j'ai rien compris. En un mouvement il m'avait attrapé puis mis dans sa voiture et avait verrouillé la porte.

Moi: Je rigole pas. Déverrouille la porte. Wawe jimbi mwa tchip?
On appelle ça un enlèvement donc tu me laisse sortir. Tu sais très bien que je peux être violente.

Avec un babptou? Jamais! {PAUSE}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant