Avec un babptou? Jamais! {PAUSE}

Chapitre XXVIII

La nuit avait été  bien difficile,y'a moyen que ça  ai été  la pire de toute ma vie. J'avais pleuré  comme une babptou fragile. Martina (mère  de Marina) m'avait vu tellement mal au point  qu'elle avait appelé  ma mère.  J'avais fait  promettre à  Martina de ne rien dire à  ma mère. 

J'avais donc passé  une bonne partie de la nuit à  parler avec ma mère.  Elle s'était  rendu compte que J'avais vraiment mal mais elle ne pouvait pas me serrer dans ses bras. J'étais à  présent   devant le miroir. Je priais Allah tellement fort pour  ne pas le croiser avant de partir  au lycée.  Je me regardais à travers la glace:

Moi:  Comment tu as pu être  aussi faible? Tu la laissé  te voler une des choses les plus importante.  Tu as  vraiment été la pire des connes. Maintenant  il s'est bien amusé  avec moi, t'es tombé  amoureuse.  Il a eu ce qu'il voulait et il va continuer sa vie. Comment t'as pu un instant ne serait ce   que croire  que c'était  réciproque.  La preuve tu t'es fait entuber...

J'étais  entrain de me déprimer  encore plus,mais j'étais complètement  vidé ,défoncé  et surtout j'étais blessé  comme jamais. J'avais quitté  Marina parce que j'avais tenu à  passer chez moi avant d'aller au lycée. J'avais une chose à  faire. J'étais  rentré  chez moi. J'avais  mis un jogging  et un grand sweat. La beauté aujourd'hui b*** *** ********. Et j'avais  pris ce que je cherchais,ne jamais sous estimez une fille blessé.  J'avais embarqué  son dessin,ses photos polaroïd et la veste que m'avait passé  ce connard hier.
J'avais pensé  à la  brûler  à  un moment mais vu que c'était  une veste de luxe,malgré  que j'étais  maintenant "riche" . J'avais gardé  du respect pour l'argent.

J'avais  ensuite demandé à  Pat de m'emmener  au  lycée.  J'étais  arrivé  tout pile avec une salle gueule. A cause de mes yeux on voyait à  10 km j'avais pleuré.Mon visage montrait ma fatigue mais c'était  mort. Ma fierté  m'obligeait à  garder la tête  haute coûte que  coûte.  J'étais  entré en classe et je m'étais  assis à  côté de Dana:

- Alors explique  parce que hier on t'a entendu  pleurer  au tél  avant que tu nous raccroche.

Moi: Si tu savais comment j'aurais dû écouter  Gaëlle.  Je me suis fait entuber comme une conne. En gros tu vois vu que je devais manger à la cantine  avant de vous rejoindre. Dans la file Marco m'a proposé de  manger avec eux pour pas que je sois toute seule. Grave erreur...
Donc je suis parti à  leur table t'avait ses potes  et les tchoins. A peine on arrive, Léa  elle me devisage et sors: " ELle fout quoi la". L'autres il lui dit en gros ferma ta gueule, elle mange là  y'a quoi.  Donc je vais m'asseoir en face d'eux. Je discute avec  Félix  et Kilian. Quand l'autre commence à  me chercher. Elle me balance des piques,elle caresse Marco,elle lui donne à  manger des trucs cons  comme ça. Mais moi ça  ma fait mal tu vois mais je dit rien pour pas tout casser. Et là sa pote lui fait remarquer que j'ai la veste  de Marco  sur moi donc elle pète  un peu les plombs. Mais moi je la remets à  sa place.

Et là  elle pose la question qui va tout déclencher.

Dana: Elle a dit quoi?

Moi: Elle le demande si quelqu'un me plaît.  Donc moi je me démonte pas et je lui dit que oui et qu'il est en 1 ère.  Pendant ce temps cette salope elle s'assoit sur Marco. Je le regarde et il réagit  pas. Et là.

J'arrivais pas à  parler,j'avais  la gorge qui se nouait.

Dana: T'es à deux doigts de pleurer Raï.

Pendant 1 minute j'ai essayé  de ravaler ma peine tant bien que mal:

Moi: Et là  elle lui a roulé  une galoche  devant moi. A cette instant j'ai  senti un  poignard s'enfoncer  dans mon coeur. Et j'ai  compris tu vois.

Les larmes étaient  entrain de se former aux coins de mes yeux.

Moi: J'ai compris que je l'aimais. J'ai alors balancé  mon verre sur la table et je suis parti avant de pleurer  devant elle. Je suis parti me cacher dans un couloir et Félix  m'a rejoins.
Attend juste la fin du cour avant de me parler de ça  s'il te plaît.

Dana  avait essuyé la larme qui avait roulé  sur ma joue et m'avait fait un câlin. Tout le monde nous avaient regardé  bizarrement mais je m'en foutais. J'avais mal et ce n'était pas eux qui souffraient....

A l'intercour j'avais tout raconté  aux filles et ça  avait  fini en câlin  général.  Je remerciais Dieu de me les avoir donné parce que je n'aurais pas su quoi faire sans elles.  Elles avaient décidé  que  vendredi soir elles viendraient manger des glaces avec moi.

Nous étions maintenant  dans la cour de récré  quand Clara fouilla dans mon  sac:

Clara: Raï c'est lui qui la fait.

Moi: Ouais.

J'avais fini par trouver Kilian  et  J'avais vérifié  qu'il ne soit pas avec Marco. J'étais  alors parti  le voir et nous nous sommes mis dans un  coin. Je lisais de la peine dans ses yeux:

Moi: Pas besoin d'avoir pitié  de moi. C'est de ma faute je n'aurais jamais du croire qu'il pourrait m'aimer.

Kilian: Je suis désolé.

Moi: C'est pas de ta faute donc t'as pas à  t'excuser. C'est pas toi qui doit réparer les pots cassés de ton frère pas avec moi Ok?

Je lui  avait tendu les affaires.

Kilian: C'est quoi?

Moi: Tout les affaires qui l'ont aidé  à  me marquer au  fer rouge. J'ai pas eu la force de les déchirer donc rend les lui.

Kilian: Il voulait pas que ça se passe comme ça. Il a jamais voulu te faire de mal.

Moi: Il a toujours été  maître de ses actions et le mal et déjà  fait. Si déjà  il ne l'aurait  pas laissé s'asseoir  sur lui on en serait jamais arrivé  là.

Sans m'en rendre compte J'avais commencé  à  crier et mes larmes avaient commencé  à  couler. Kilian c'était approché pour me prendre dans ses bras. Mais J'avais eu un mouvement de recul:

Moi: Me touche pas.
Ais-je  dit en larmes et je suis parti. Nour m'avait pris dans ses bras:

Nour: C'était pas le bon.

Moi: Si tu savais....

J'avais beaucoup de mal à  parler de mais sentiments  même  avec mes amis. La seule personne avec qui j'en parlait c'était ma soeur mais elle était  en voyage scolaire.

PDV DE MARCO...

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