Avec un babptou? Jamais! {PAUSE}

Chapitre XLI

WARNING: N'oubliez pas que Raïssa est en Allemagne, donc j'écris en français mais mettez-vous dans le contexte ou elle parle normalement allemand. Bonne lecture!

PDV DE MARCO

Il était deux heures du mat' et j'étais pété  sur mon balcon en train de fumer ce pétard, il était gros quand même, j'avais un peu abusé sur la dose là. Je regardais la rue et je réfléchissais, n'empêche ce connard de Kilian avait bien réussi son coup. Je cogitais, je pesais le pour et le contre. Y'avait un moment que je n'avais pas autant réfléchit avant de prendre une décision sur quelque chose. Cet ultimatum me donnait mal au crâne, mais je me connais, c'est peut-être la meilleure décision pour elle que je la laisse mais je peux,  je veux pas. Cette fille c'est ma drogue,je peux pas la laisser comme ça.  Ils ont vraiment cru que j'allais laissé tombé, ils sont bêtes parfois ces deux gars. J'avais fini mon joins et j'étais parti me coucher. J'avais déjà une migraine rien qu'en pensant à ce qu'ils me diront demain.

PDV DE RAÏSSA

J'étais arrivée depuis cinq jours et je regrettais tellement pas, je m'éclatais c'était ouf, il était bientôt midi et nous allions finir notre cour de physique. Autant j'étais forte en science mais eux c'était un autre bail, il était trop loin pour moi donc j'étais à la ramasse, alors en rajoutant la langue c'était terminé pour moi. J'avais lâché le cour et j'avais commencé un pendu avec Marina, cette fille était beaucoup trop mignonne:

Marina: On finit à 14 heures aujourd'hui, ça te dit on va se poser au bord du lac?

Moi: Je suis totalement partante.

Dehors le soleil était vachement haut, et qu'est ce qu'il faisait chaud, je n'avais pas le temps de continuer à penser quand la sonnerie retentit,j'avais rangé tranquillement mes affaires et nous étions sorti de la classe. Ici pas besoin de courir pour pas se taper toute la queue à la cantine vu qu'il n'y en a pas. Avec Marina nous étions donc parti prendre nos panier repas, ils étaient vachement bon, on pouvait avoir de tout, sushi, pizza, pâtes. Ici je pouvais pas me plaindre.  J'avais fait la connaissance des amies de Marina, c'était un bon groupe, ils venaient de partout incroyable. Par contre les filles sentaient la richesse je savais pas quoi dire, cette école c'était un autre monde.On aurait dit que toute l'élite du monde avait envoyé ses enfants ici, déjà qu'à Paris je trouvais que c'était déjà beaucoup trop, mais alors là j'étais servi. Donc à 15 heures on avait terminé les cours, d'ailleurs la France devrait s'inspirer de l'Allemagne à ce niveau-là tchiiip. Parce que faire des bails de 8h-18h c'est pas une vie hein. J'avais déposé mon sac dans la chambre, avec Marina on avait pris: enceinte, plaid, coussins, bouffe et on étais parti se poser au bord du lac. On était posé juste devant un terrain de basket,on discutait de tout et de rien et bien évidemment le sujet fatidique des gars est arrivé. Dans ce domaine je crois on m'a jeté l'oeil j'ai eu trop de péripéties:

Moi: Alors toi et les gars, c'est comment?

Marina: Ouchh t'es sûre que tu veux savoir?

Moi: T'en fait pas, j'ai vécu des trucs de folies moi donc fais-toi plaisir.

J'avançais en terrain glissant parce que j'avais très bien vu qu'elle s'était un peu refermé.Et là pendant une heure on a parlé de sa vie amoureuse, mademoiselle Marina était amoureuse d'un gars en terminale qui était un connard fini. Le gars joue avec ses sentiments, ce bouffon continue à la faire espérer or qu'il sait même pas ce qu'il veut. Je vous jure je commence à être exaspérer par tout ces vieux gars:

Marina: Donc ouais je suis amoureuse de lui et il en joue tu vois. Parce qu'il sait que dès qu'il m'appellera je vais courir pour venir. C'est la triste vérité.

Moi: Mais vous vous êtes mis ensemble?

Marina: Non monsieur sait pas ce qu'il veut mais il me ferme pas la porte pour autant tu vois et c'est ça le problème.