Ouais, du Taylor Swift ouais, rien à battre. C'est une queen.
I remember tears streaming down your face
When I said, "I'll never let you go."
When all those shadows almost killed your light
I remember you said, "Don't leave me here alone,"
But all that's dead and gone and passed tonight
Tu étais encore dans une de ces crises de panique lorsque je suis rentré dans ton appartement… Tu étais allongé, visage caché, sur ton canapé. Sans hésitation, je vins à toi et te pris dans mes bras. Les larmes coulaient le long de ton visage et tu peinais à respirer. Tu répétais un tas de trucs si bas que je ne pouvais rien entendre... Je m’assis à côté de toi et tu te blottis rapidement contre moi, tout recroquevillé comme un animal meurtri, blessé… Je décidai de ne rien dire, caressant ton dos doucement, passant ma main dans ta chevelure en vrac… Nous restâmes ainsi presque une heure, sans rien dire, sans bouger. Seul le bruit de tes sanglots résonnaient dans la pièce.
Je relevai finalement ton visage, apercevant tes yeux rouges, gonflés, et tes joues creusées de larmes.
« Tout va bien aller, d’accord ? »
Tu reniflas, te remis à pleurer et enfouis ta tête dans mon cou. Je n’avais que faire des gouttes qui tombaient sur ma peau, je ne me concentrai que sur toi et ton état.
« Ne me laisse pas… miaulas-tu, désespéré. Ne me laisse pas ici… Je t’en supplie Sylvain, ne me laisse pas... »
Ta voix se brisait à chaque fin de phrase et brisait mon cœur à la fois.
« Je suis là... te répétai-je. Je serai toujours là… »
Just close your eyes
The sun is going down
You'll be alright
No one can hurt you now
Come morning light
You and I'll be safe and sound
C’était déjà le soir, je voyais le soleil se coucher à travers ta fenêtre. Quand tu m’avais appelé à l’aide, je ne te pensais pas dans un tel état de détresse… Mais me voilà à minuit en train de te serrer contre moi, te répétant mille fois que je suis là, et que jamais je ne te laisserai.
« Tout ira mieux… Je te jure…promis-je au petit corps blottis contre mon torse en serrant les poings. Je te jure que plus personne ne te fera de mal… Tant que je serais là, tu iras bien, tu seras sain et sauf. Nous serons sain et sauf… Ferme les yeux, là, tout ira bien… »
Mon discours sembla fonctionner puisque tu t’apaisas un moment dans mes bras et je n’entendis plus aucun sanglot pendant un moment. Tu reniflas encore et releva la tête. Nous nous fixâmes sans un mot dans la pénombre du salon éclairé par la seule lumière – insuffisante – de la lune. Tu te redressas un peu pour atteindre mes lèvres et les effleura. Mon souffle se coupa.
« Sadique… murmurai-je, ne voulant pas briser notre bulle. »
Un maigre sourire se dessina sur tes lèvres et tu m’embrassas doucement. Tu pris la précaution de ne pas bouger tout de suite, à attendre que je te repousse, mais quelle idée idiote ! Pourquoi repousserai-je d’aussi douces et tentantes – et salées – lèvres ? Je pris alors l’initiative de poser une main sur ta nuque pour t’encourager et ça fonctionna : tu te mis à mouvoir ta bouche contre la mienne.
Mon bras autour de ta taille, je nous allongeai. Moi sur le dos, et toi sur moi. Nous nous séparâmes et tu posas ta tête sur ma poitrine, comme pour écouter les battements de mon cœur et sentir ma respiration…
Don't you dare look out your window, darling.
Everything's on fire
The war outside our door keeps raging on
Hold onto this lullaby
Even when the music's gone
Gone
Ma main passait lentement, presque lascivement à ce stade, dans tes cheveux alors que des milliers de pensées traversaient mon esprit. Oh, je n’avais plus envie de mettre le pied dehors maintenant… Je voulais simplement rester contre toi te faire connaître mille plaisirs jusqu’au septième ciel comme les mille et une douceurs dont la nuit garde le secret. J’avais soudainement envie de tout vivre et ne rien faire, avec toi. Je voulais à la fois crier notre amour au monde et me cacher derrière les murs de nos maisons, avec toi. J’avais en même temps envie de me comporter comme l’adulte que j’étais et redevenir un enfant insouciant et innocent, avec toi. Tu créais le tout et le rien dans mon cœur rien qu’en étant là, allongé dessus, les pleurs calmés et la respiration callée sur la mienne, en harmonie.
« Chéri… soufflai-je. »
Je te sentis sourire alors que jouais avec mon t-shirt.
« Tu es tellement adorable ! remarquai-je en te décoiffant un peu. »
Tu fis une moue adorable en les remettant en place.
Plus je te regardais, toi, cet être innocent au creux de mes bras, plus je me disais à quel point le monde dehors était trop cruel… C’était la guerre : qui est le plus beau, qui est le plus intelligent, qui est le plus dragueur… On ne se basait que sur la compétition… Tu n’étais pas fait pour ce monde…
« Je promets de te protéger… te dis-je. Tu seras sain et sauf…
-Toi et moi serons sain et sauf, me répondis-tu. »
Just close your eyes
The sun is going down
You'll be alright
No one can hurt you now
Come morning light
You and I'll be safe and sound
Ooh, ooh, ooh, ooh
La, la (la, la)
La, la (la, la)
Ooh, ooh, ooh, ooh
La, la (la, la)
Just close your eyes
You'll be alright
Come morning light,
You and I'll be safe and sound...
Ooh, ooh, ooh, ooh, oh, ohVouala un sydi (encore) tout choupinoupinet :3 Ça fait un moment que je l'ai écrit déjà mais j'avais oublié de le poster...
Allez, coeur sur vous et merci pour les 30K de vues ptn ❤
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Recueil de textes gays
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