Chained ( TERMINÉ )

Chapitre 11

Je suis vraiment désolée de mon absence ! Je suis actuellement en vacances et je n'ai pas vraiment le temps d'écrire. Je rentre bientôt, et je pourrait donc recommencer à écrire. Je vous le dirais jamais assez mais je vous remercie encore pour tout vos votes et vos commentaires qui m'encouragent énormément. Et j'espère que ce chapitre ( Un peu court ) vous plaira ( même si il y a des fautes d'orthographes 😂).

Pdv Lucie.

J'ouvre lentement mes yeux, la lumière du jour caresse doucement ma peau, et la chaleur qui émane d'elle me réchauffe le coeur. Je sent un poids sur ma hanche, je me retourne lentement comme si un danger était à côté de moi.

Il est là, les yeux clos et la bouche entre ouverte. Il est torse nu, je peux admirer ses nombreux tatouages, son bandage est imbibé de sang. Il faut que je le change. Je me lève, et je me dirige dans la salle de bain, qui se trouve à côté de la chambre. J'ouvre tout les tiroirs, mais je ne trouve rien. Mon regard se pose sur le lavabo. Un rouleau de bandages, ce trouve sur la surface blanche. Je me dirige vers le lit, Falco à disparu. D' un seul coup je me sent projeter sur le mur en face, mon dos fis un craquement inquiétant. Mes yeux son clos je n'ose pas les ouvrir. Un souffle chaud se promène sur mon visage.

- Ouvre les yeux mi bella.

Je fait ce que la voix me dit, et je reste bloqué sur un regard azur. La proximité que j'ai avec lui ne me laisse pas de marbre. Ses cheveux retombent sur son front, son visage est éclairé par la faible lumière du soleil. Je ne peux pas le nier, je ne suis pas insensible à son charme. Ses grandes mains tiennent mes bras fortement contre le mur, je suis bloquée.

- Je voulais juste changer ton bandage...

- Tu me tutoie maintenant ?

C'est la première fois qu'il m'intimide vraiment. Je ne sait pas si c'est à cause de sa voix rauque, ou de sa carrure, mais je me sent vraiment comme un insecte à ce moment là.

- Euh...Je...

- Aller vien.

Il se décolle enfin de moi. Je me sent tellement soulagé, je le laisse s'assoir sur le lit et je change le bandage silencieusement. La blessure que la balle à formée dans son abdomen est assez profonde. Une fois le bandage changer, je m'éloigne de lui et je me pose devant la grande fenêtre. D'ici je peux voir la forêt s'étendre à des centaines de kilomètres. Il n'y a rien aux alentours, j'ouvre la fenêtre pour prendre un peu l'air. Falco ne dit rien, je m'assois sur le balcon, je pense beaucoup à ma mère.

Peut être qu'elle crois que je suis morte, ou que je me suis juste enfuie. Ou elle n'a sans doute jamais déclarer mon enlèvement à la police. Ma mère pensait que j'étais dépressive, et alcoolique à cause de l'absence de mon père. Un jour elle a trouver plusieurs bouteilles d'alcool sous mon lit, ce jour là j'avais nié que j'avais bu toutes ses bouteilles. Mais à vrai dire, ma mère n'avais pas si tord que ça, je suis une alcoolique dépressive, mais pas à cause de mon père, non. C'est plutôt à cause d'elle, de tout ce qu'elle me fait subir depuis que je suis née, son absence, ses nombreuses crises de violences. C'est elle qui est touché par l'absence de mon géniteur, pas moi. Malgré tout cela je l'aime, car c'est ma seule famille, ma seule raison de me battre pour rester en vie.

Une larme incontrôlée roule sur ma joue, de nombreux soubresauts me prennent au tripes.

- Tu pleure ?

Je ne veux pas assumer ma faiblesse, je me recroqueville sur moi même et je continue de déverser ma tristesse. Je sent un bras entourer mes épaules, je relève ma tête et je vois contre toute attente Falco assis à mes côtés. Il me rapproche doucement de lui, je blottis ma tête contre son torse. Je ne comprend pas vraiment ce qu'il se passe, mais je m'en fou.

***
Pdv Falco.

Je ne sait pas pourquoi je fait ça, la voir pleurer ma donner envie de tout casser. Ça m'énerve car je ne peux rien faire pour la rendre heureuse, avec nous elle est destinée à souffrir.

Il faut que j'arrête d'être trop gentil avec elle, sa empiète sur sa future mission. Elle n'est pas venue ici pour être en vacances, et je ne devrais sûrement pas la ménager sachant que son père à tuer le mien.

Je me lève d'un seul coup, la laissant seule sur la terrasse. Elle me regarde avec incompréhension. Je sort de la chambre et je part directement dans mon bureau. Je m'assois sur mon siège en cuire, et j'observe le gros document poser sur mon bureau. Je ne sait pas si je doit l'ouvrir maintenant, à l'intérieur se trouve une information qui pourrais changer le déroulement de l'histoire.