VOUS ÊTES FOUS !!!!!!!!!!!!!!!! 1K ! 1K 1K ! 1K 1K 1K 1K 1K 1K 1K 1K 1K !!!!!!!!!
J'y crois pas ! Vous avez pas compris que en fait le 1er avril c'est passé ! Je... Ouais 😱😂
Donc pour vous remercier j'ai décidé de faire un petit chapitre bonus et qui se passe avant que Dalithé arrive a Poudlard, avec Lily, les maraudeurs, ect Je ne vous en dit pas plus. Bonne lecture 😉
On était le vendredi 17 décembre 1975, la neige couvrait le paysage d'un manteau blanc et épais, les cours étaient terminés pour aujourd'hui, les vacances de noël commençaient le lendemain, certains rentraient chez eux le samedi matin avec le Poudlard Express et à part quelques intellos ou des élèves voulant être tranquille, tous étaient à traîner dans les couloirs, les salles communes, mais la faible luminosité et le froid dissuadaient les élèves de sortir à l'extérieur du château.
Tout était calme, et ça inquiétait le directeur de la grande école de sorcellerie. La plupart des sorciers allaient retrouver leur famille, et ceux qui étaient sensés être heureux avaient peur, beaucoup restaient fêter la fête sainte à Poudlard, car les parents y trouvaient là une protection qu'ils ne pouvaient difficilement offrir ailleurs.
Albus Dumbeldore regardait la neige tourbillonner depuis une des fenêtres de son bureau. Cette ambiance pesante le rendait triste. Il n'aimait décidément pas voir ses élèves comme ça. Ca faisait depuis la mi-octobre, alors qu'une élève avait perdu ses parents, que l'atmosphère c'était dégradée. Certes, les élèves n'arpentaient pas les couloirs dans un silence total, et ils rigolaient toujours, se chamaillaient toujours, n'écoutaient toujours pas en cours. Mais malgré ça, une certaine peur persistait. La crainte coulait dans l'air, répandant la question que tous se posait, que ce soit dans les différents camps, les enfants de mangemorts, les enfants d'aurors, et les enfants de ceux qui n'avaient rien demandé, est ce que bientôt, ce serait à leur tour de pleurer un être cher ?
Le vieil homme voulait donner à ses élèves une bouffée d'oxygène, un moment libre. Mais il savait que lui seul il était impuissant. Une idée l'avait effleuré, mais quand il l'avait proposée à Minerva McGonnagall, elle avait répondu avec un soupire scandalisé "A eux ? Enfin Albus, vous n'y pensez pas, vous avez vu ces garçons ? De vrais gamins, ils seraient prêts à faire exploser le dortoir des serpentards juste pour se distraire !" Et Albus Dumbeldore avait bien dû avouer que l'enseignante avait raison.
Malgré tout, un mois et quelques jours plus tard, l'idée persistait toujours dans la tête du directeur. "De vrais gamins !" Et plus il y pensait, plus il se disait que c'était justement ce qu'il fallait. C'est pourquoi, deux jours avant le dit vendredi, les maraudeurs furent conviés dans le bureau directorial.
-Je vous jure, Professeur, c'est promis, c'est pas nous ! S'était exclamé James Potter dès qu'il fut entré.
-Laisse tomber Cornedrue, on ne nous croit jamais quand on dit ça ! Fit le seul Black de Gryffondor d'une voix mélodramatique.
Le directeur sourit, au cours des mois, il avait décelé ces surnoms que se donnait le groupe d'ami. Il n'en comprenait certes pas le sens, mais ça prouvait que le petit Lupin, malgré sa condition, avait fini par s'entourer de vrais amis.
-Mais cette fois-ci c'est vraiment pas nous ! Soupira le garçon à lunettes en s'asseyant sur la chaise qu'il prenait à chaque fois qu'ils venaient chez le directeur.
Les autres garçons se mirent à leur places habituelles sans que l'adulte ai dit quoi que se soit. Remus Lupin se mit en face du directeur, dans le but d'alléger les sentences et nuancer légèrement les faits pour qu'ils ai l'air moins graves, tout en gardant la vérité et la responsabilité des actes. James Potter se mettait à la droite du Lycanthrope pour donner les détails croustillants qui faisait rire, bien qu'il ne devait pas, le directeur. Peter Pettigrow lui était à gauche du préfet, un peu à l'arrière, lui permettant d'être là mais sans trop se faire remarquer. Et il y avait Sirius Black. Sirius avait toujours intrigué Albus Dumbeldore, alors qu'au premier abord, il avait tout l'air d'un Black, froid, hautain, parfois même méprisant, Sirius était en fait quelqu'un de vivant, drôle, téméraire, rebelle et d'effronté. On ne pouvait pas dire que c'était quelqu'un qui avait la langue dans sa poche. Lui, il se tenait debout, vagabondant ici et là dans la pièce, touchant à des objets, les commentant de temps en temps. Le directeur suspectait le petit Remus d'avoir demandé à Sirius de s'occuper à autre chose, car il parlait tellement, donnant certaines explications ou remarques qui ne faisait qu'empirer les choses, la plupart du temps.
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La sœur d'un Maraudeur [HISTOIRE TERMINÉE]
Fanfiction/!\ Nous remercions bien entendu J.K Rowling pour l'aide fournie à la construction de la base de l'attraction. Mais toutes les nuances et les détails viennent du personnel du parc, merci de respecter leur travail /!\ Merci de garder les jambes et...