Mon Boss Son Bebe Et Moi. Tome 1 Et 2 [Autoediter Sur Amazon]

Chapitre 30.

Andréa.

—Qu'est-ce que t'aimerais faire du reste de ta journée ? Me demande Hank en me soulevant. J'éclate de rire.

—Pourquoi ne pas me montrer ton travail, ce que tu fais, je ne sais absolument rien sur cela.

—Tu t'ennuierais trop, mais moi j'ai mieux, une surprise.

Une surprise ?

—Une surprise ? En quel honneur ? Dis-je avec malice.

Il me sourit et me prend dans ses bras. Il me regarde tendrement avant de m'embrasser.

—En l'honneur du fait que je suis l'homme le plus heureux du monde, tu as changé ma vie Andréa et je ne te remercierais jamais assez.

Je me sens gênée de le voir ainsi. Ça me fait tout drôle.

—D'accord je viens avec toi mais laisse-moi me changer. Tu peux sortir s'il te plaît.

—Pourquoi je t'ai déjà vu nue, et bientôt nous serons mari et femme tu devrais t'habituer.

—Haha haha, très drôle sors maintenant.

Il éclate de rire avant de sortir de la pièce. Je me change vite fait et je sors le retrouver. Mais il a vite changé de visage.

—Qu'est ce qui t'arrive ?

—Il y'a que les paparazzis sont à mes trousses, je déteste cela. Je ne tiens pas à ce qu'il fasse de toi une bête de foire.

L'une des raisons pour lesquels Hank m'a toujours empêché de quitter la maison sans lui c'est la presse, je sais bien qu'un homme comme lui a une vie très médiatisée. Venir passé mes examens dans cette clinique. Pour ensuite repartir. Je vais bien et les bébés aussi d'après le docteur.

—Tu veux que je reste ici le temps que ça se calme ?

Il me jette un regard horrifié.

—Hors de questions, il y'a un parking souterrain, j'ai demandé à ce que la voiture y soit déplacée, mais les connaissant la tâche ne vas pas être facile, j'espère que tu n'as pas peur ?

—Non ne t'inquiète pas.

Hank me tend la main et je la prends, on se dirige vers la sortie.

On est mitraillé de flash.

On nous pose des questions genre.

Hank c'est ta nouvelle petite amie ?

C'est vrai qu'elle est enceinte ?

Est-ce qu'il y'a un mariage prévu pour bientôt.

Hank m'ouvre la porte avant de s'engouffrer lui aussi à l'intérieur.

On roule pendant une bonne quinzaine de minutes avant qu'il ne se gare sur le port.

—C'est ça la surprise ?

—Vous êtes trop impatiente Mademoiselle Hernandez.

Il m'aide à descendre et me tiens la main. Nous montons sur un voilier, qui je sais lui appartiens. Rien qu'avec le nom.

Queen Hélène.

—Une journée sur un voilier voilà qui est génial comme idée.

—Vous êtes trop impatiente mademoiselle Hernandez. Venez.

Il me conduit sur le pont et prend la barre.

—Je veux tenir la barre.

—Alors viens.

Il me place entre lui et la barre et me montre comment faire. A certain moment il m'embrasse dans le cou avant d'éclater de rire devant mon visage rougissant.

Nous accostons sur une île.

—Tu vois la falaise ? C'est là-bas que nous irons. Il y'à la maison d'un ami là-bas je suis sûre que tu vas aimer.

—Si loin ? Dis-je dépitée.

—Si tu veux je te porte.

—Non ça ira.

Je le suis tant bien que mal jusqu'à la falaise. Une grande maison, une sorte de manoir s'y trouve, apparemment elle est inachevée mais ça ne lui ampute rien à sa beauté. Hank me fait visiter la maison. D'abord un immense salon. Avec une très grande baie en vitre donnant une vue magnifique sur la mer.

—Il m'a demandé des conseils sur la déco mais moi je suis nul, toi tu en penses quoi ?

C'est ça la surprise, des conseils déco ? Il se fiche de moi, mais non je suis sûre que non.

—Je crois bien qu'une cheminé serait parfaite pour ce salon.

—Tu aimes les cheminées ? Me demande t'il soudainement.

—Oh oui je les adore quand j'étais petite à Noël j'adorais rester avec mes parents devant la nôtre.

—Ok.

On monte ensuite au premier étage.

—Il y'aura cinq chambres ici une fois que ce sera terminé.

—Je trouve que c'est vraiment cool. On devrait mettre des tableaux ici.

—Ah oui ?

—Oui.

Il me fait visiter le deuxième étage qui n'est pas encore terminé.

A la fin de la visite je suis époustouflé par autant de beauté, la maison est à la fois ancienne et moderne et son architecture est parfaite. J'envie le propriétaire de cette maison.

—La maison te plaît ?

—Oh oui elle est vraiment magnifique.

—Ok et comment aimerais-tu qu'elle soit ?

—Déjà comment elle est, elle est parfaite, mais je suis sûre qu'une fois terminé elle sera encore plus belle. J'espère juste que le propriétaire ne fera pas trop de modifications.

—Ah bon pourquoi ?

—Il risque de lui retirer tous son charme à cette maison, son côté ancien la rend magique.

—Ok. Tu as raison. Elle est à toi.

Quoi ?

— Comment ça à moi ?

—On déménagera ici, dans quelques mois, à la naissance des bébés.

—Et la maison d'Athènes et celle de Mykonos ?

—Elles sont remplis de souvenirs, c'est vrai...Mes ces souvenirs sont ceux que j'ai avec Ariane. Il vient et me prend la main ...C'est ici que je veux faire ma vie avec toi, Alors ? Tu acceptes ? Si la maison ne te plaît pas on peut en choisir une autre.

Quitter tous ces souvenirs, et emménager ici avec moi.

—Notre vie ici.

Il me prend les mains.

—Avec nos enfants. Toi et moi. Accepte ce cadeau. S'il te plait. Ça devient de plus en plus réel. Une première fille et ensuite qui sait un garçon.

Une fille et un garçon ?

—Je voudrais...

—Dis-moi oui.

—J'ai l'impression de vivre une vie qui n'est pas la mienne.

—C'est ta vie Andréa, sors-toi ces doutes de la tête, je ne vais nulle part et je ne me sers pas de toi. Tu es Andréa, mon Andrea.

Son Andréa. Celle qui va devenir sa femme. Je dois me sortir ces histoires de la tête, Hank n'a aucune idée derrière la tête. Il ne cherche pas à me faire du mal. Je dois croire en lui. Arrêter d'avoir peur.

—Oui j'accepte. Je l'adore cette maison et je suis sûre que nous serons très heureux ici.