Four Girls

CHAPITRE 40 : Merci la météo

Jenny :

Lorsque que j'ai descendu les marches de l'escalier de l'immeuble où j'ai passé de si jolis jours avec Aly, je pleure mais malheureusement ce seront les derniers. En plus, mes parents m'ont menti seize ans sur ma naissance. Je pensais que j'avais une vie banale sans d'histoires mais je préférais ma vie banale que de savoir que j'ai été adopté et que surement je ne connaitrais jamais ma mère biologique. Mes parents disent :

« - Jamais on aurait du accepter que tu partes avec ces gens, deviennes Fabian, il l'a drogué !

- Nous saurons pour la prochaine fois Abby, nous serons très vigilants Jenny, dit mon père.

- J'ai bien fait d'avoir vécu ce voyage comme ça j'ai su que j'ai été adopté et que mes parents m'ont caché ça pendant seize ans et vous savez c'est le père d'Aly qui est derrière les barreaux, ce n'est pas Aly alors pourquoi m'interdire la personne que j'aime le plus dans ce monde ? »

Mes parents ne disent rien, je suis si déçue par eux, en plus, ils ne veulent même pas que j'essaie de trouver ma mère biologique. Ont – ils peurs que je les abandonne pour elle ? Certes, ils m'ont menti, certes ils m'ont fait pleuré mais ce sont quand même eux qui m'ont élevé et qui m'ont aimé comme si j'étais leur propre fille puis ce ne sont pas qui m'ont abandonné à ma naissance mais cela ne change pas à ce qu'ils m'ont menti depuis toujours... Je veux revoir Aly mais mes parents ne veulent pas... Nous prenons un taxi pour nous rendre à l'aéroport mais c'est super ! Il y a des intempéries, tous les avions ne peuvent pas décoller et c'est ça pendant cinq jours, nous allons donc rester à Paris ! Maman et Papa cherchent un hôtel pas loin sur Internet, on en trouve un et demandons au chauffeur de nous y conduire en sachant qu'il aura un peu plus d'argents.

Une fois que je suis arrivée dans la chambre et que Papa et Maman paient la chambre, j'envoie vite un message à Aly que quoi je reste encore cinq jours puis je ferais tout pour la revoir. Je change le nom de conversation d'Aly par Barbara. Elle est punie de téléphone donc je peux le faire !