Four Girls

CHAPITRE 67 : Mon demi - frère, mon cousin

Alyssa :

Je suis si blême, je parie... Je n'arrive pas à me remettre de ce choc... L'agression et donc mon agresseur... Je ne veux pas parler, je veux rester seule pour pouvoir digérer les nouvelles car oui il y en a plusieurs. En plus, je vais devoir dire ce qui s'est passé mais je n'ai pas du tout envie. Ma mère est en sanglots, elle se revoit les scènes et a eu beaucoup peur pour moi. J'étais dans mes pensées quand un policier m'appelle, il est l'heure. Je rentre dans une pièce où se trouvent une table au centre avec des chaises de chaque côté. Un homme s'y trouve, c'est un Agent et mon avocat est là lui aussi. Je m'installe auprès de lui, c'est le moment de parler Alyssa malgré cette énorme colère et cette terrible peine. L'Agent commence à lire des témoignages :

« - Êtes – vous d'accord avec ce que je viens de lire Mademoiselle Voli ?

- Oui, je réponds.

- Bien, votre agresseur se nomme Nathan Bonfoi, fils caché de votre tante, la sœur de votre mère, Vanessa Bonfoi et de votre père Roger Voli... »

Je ne l'écoutais plus, punaise j'ai aimé mon demi – frère qui est aussi mon cousin ! Ce mec que je pensais gentil, attentionné, fidèle m'a agressé ! Mon père et ma tante que je ne connais pas ont trahi Maman ! Je veux encore pleurer :

« - Mademoiselle Voli, m'appelle mon avocat.

- Excusez – moi, je réponds confuse.

- Reprenons, commence l'Agent, Nathan Bonfoi avait un couteau dans sa poche arrière de sa veste, il nous a avoué qu'il comptait vous enlever pour vous emmener auprès de votre tante et qu'il vous aurait tué devant elle pour une certaine raison stupide et illogique. Votre tante a eu une liaison avec votre père pendant qu'il était avec votre mère mais votre père a choisi votre mère Zoé Bonfoi ce qui a ragé Vanessa Bonfoi qui est partie de Berne pour ici la France en étant enceinte donc pour se venger, ils vous auraient tuer mais bien sûr il nous faut plus de preuves pour ce qu'a dit Nathan Bonfoi est vrai ou faux. »

Je hoche la tête, mes yeux se remplissent de larmes mais je ne peux pas les retenir et dire si personne n'aurait été là qu'en ce moment je ne ferais plus partie de ce monde et que j'aurai été assassiné par le garçon que j'aimais... Je peux enfin sortir de cette pièce, la chaleur devenait étouffante et j'avais hâte de sortir pour rejoindre ma mère et avoir des explications sur cette Vanessa Bonfoi.