CHAPITRE 61 : Avouer

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Marie :

Je l'avoue, j'ai apprécié ce baiser... Je regarde ces magnifiques yeux et je lui tiens la main. Il a l'air content, moi aussi je le suis. Nous n'osons pas parler mais nos regards signifient tous. Ce moment de bonheur ne dure pas longtemps car l'Agent Renon veut me parler, c'est pour ça que je suis là. Mon avocat est là lui aussi. Nous rentrons dans la pièce :

« - Quelle est cette plainte déposée où vous êtes soi – disant une de ces victimes ? Me demande l'Agent.

- C'est la vérité cela concerne aussi Madison Foniy, Alyssa Voli et Jenny Mario... »

Je continue mon histoire du premier message à aujourd'hui :

« - Pourquoi ne pas l'avoir dit avant ? Cela est grave et le coupable doit payer pour ses actes, nous avons des indices pour présumer Monsieur Manou.

- J'ai eu peur, je lui réponds.

- D'accord, l'interrogatoire est fini, vous pouvez vous en aller, dit l'Agent. »

Je retrouve ma mère, Raphael, Samantha, Bob, Stéphanie et Matt. Ma mère n'arrête pas de me fusiller du regard. Stéphanie me prend dans ses bras et me chuchote :

« - Félicitations pour toi et Matt. »

Je lui laisse un baiser sur sa joue puis ma main et celle de Matt se tiennent. Ma mère me regarde encore bizarrement, j'espère que Raphael reste sinon je vais me faire beaucoup gronder !

C'est bien ce que je redoutais, Raphael a une garde à l'hôpital, peut être qu'elle n'osera pas me crier dessus vu qu'il y a Stéphanie ? Elle en serait capable...

Samantha et Bob doivent retourner à leur hôtel puis Matt chez lui, il me laisse un baiser avant de repartir. Nous rentrons dans la maison. Je n'ai même pas le temps de fermer à clé la porte que ma mère me crie dessus :

« - Je pensais que je pouvais te faire confiance Marie ?! Mais non toi tu mens sans cesse ! Je suis si déçue, tu ne sais même pas à quel point ! Donc maintenant, plus de portable si c'est pour un Inconnu te harcèle, plus de sortie non plus ! Je pensais que tu n'avais jamais aimé Matt ?!

- Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis Maman, je ne veux pas te ressembler donc tes remarques gardent les pour toi, ne fais pas du mal à tes cordes vocales pour rien, je lui réponds. »

Four GirlsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant