CHAPITRE 52 : Habillé en noir

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Marie :

Le lendemain matin, lorsque j'ouvre les yeux, je vois que Stéphanie est déjà réveillée alors qu'il est seulement six heures. Elle est assise sur mon lit. Je lui demande à voix basse :

« - Tout se passe bien Stéphanie ?

- J'ai peur Marie, que cette personne revienne et me tue. Devine qu'elle fasse du mal aux personnes que j'aime ?!

- Ne t'inquiète pas, la police la recherche puis tu es en sécurité ici. Tu ne bougeras pas de chez moi.

- Merci Marie de vouloir m'aider.

- Qu'as tu à ton poignet ? Je demande.

- Rien, dit Stéphanie qui se recouche sans me dire un mot ni un regard. »

Elle ne veut pas me parler mais je veux l'aider, je ne la laisserai pas tomber, les meilleures amies servent à ça.

Il est neuf heures, mes yeux s'ouvrent, je regarde le lit où Stéphanie est mais elle n'est pas. Je me lève, je dis :

« - Stéphanie tu es où ? Maman ?

- Te voilà sale fille ! Hurle quelqu'un qui met ses mains sur ma bouche. »

J'essaie de crier, il sort un couteau de sa poche. La porte d'entrée se casse, les policiers sont là :

« - Mains en l'air ! Crie un policier. »

La personne habillée en noire avec un masque de la même couleur s'agenouille, pose ses armes et lève les mains :

« - Ne bougez pas ! En hurle un autre policier. »

Il met des menottes à ses poignets. Le policier enlève son masque. Il a un peu près trente ans je dirais, il est brun et barbu. Il me regarde de ses yeux d'assassins. Dans le bureau apparaissent mon amie et ma mère qui pleurent et viennent vers moi. Elles me serrent dans ses bars. Qui est cet homme ? Est – il l'Inconnu ? Je suis choquée et je n'arrive pas à m'en remettre...

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