PDV de Kate :
Je sent que je suis sur quelque chose de doux et moelleux. Hum... que c'est agréable. Je me sent comme sur un nuage. Mais je peu aussi ressentir comme une légère pression sur ma main, et une douce chaleur. Je décide donc d'ouvrir les yeux. Il me faut plusieurs battements de cils pour m'habituer à la luminosité, mais j'y parviens quand même. Je tourne alors la tête dans la direction de cette pression, pour y découvrir que c'était la grande main de Karic, qui me l'infligeais. Il est assis sur un fauteuil juste à côté de moi, à mon chevet. Il dort péniblement tout en gardant bien sa main dans la mienne, comme s'il avait peur que je parte ou qu'il m'arrive quelque chose. D'ailleurs en parlant de ça, pourquoi suis-je ici ? Et en plus avec Karic sur un siège à porté de mon lit, et de moi pas conséquent, dans ma chambre ? Je détourne la tête, et distingue quand faite je ne me trouve pas dans ma chambre, mais dans une autre qui m'est inconnue. Elle est plus grande, comme si la mienne ne l'était pas déjà assez, avec des tons gris, noir et blanc. Je me trouve au fond de la pièce, sur un grand lit à baldaquin, très confortable, aux draps blanc qui tirent vers le gris en boue de couche. Puis sur ma gauche de distingue, mise à part Karic, une double porte d'où en sort des jets de lumières à travers les rideaux noir, tirés. Je pense que ce doit sûrement être un balcon ou quelque chose du genre. Devant moi, il y a un immense dressing, encore plus grandiose que tous ceux que j'ai pu voir jusqu'à présent, avec beaucoup de costumes, de chaussures, des tiroirs,... des rangements en tout genre, et un immense miroir au centre pour s'observer. Je peu aussi remarquer une porte en bois massif juste à côté de sa garde robe, même si dans ces conditions ce ne sont pas des robes, mais des costumes ; qui doit être celle qui mène à la salle de bain. Je pense qu'elle doit être à l'image de la chambre, c'est-à-dire, grandiose et luxueuse. Ce doit être une autre chambre d'amis. Ou bien, serais-ce celle du propriétaire de ce magnifique château ? Non je ne pense pas,... enfin j'espère. Mais je me pose toujours la question de qu'est ce que je fait ici. Je me souviens avoir pris la décision de partir, mais après plus rien.
Pendant encore quelques minutes, je reste là, à chercher dans ma mémoire, les souvenir qui pourrait me manquer, et je pense que ça fonctionne. Petit à petit, mes souvenir reviennent. Je me souviens m'être perdu dans le désert la nuit, il faisait super froid. Puis que j'avais trouvé de l'eau dans une oasis magnifique, que j'aimerais bien revoir un jour, avant de repartir pour encore quelques heures de marche, et de trouver refuge dans une vielle ruine de je ne sais quoi, pour la nuit. Je me souviens avoir eu très froid cette nuit là, mais au moins j'étais mieux protégée du vent. C'est déjà ça. Puis je m'étais réveillée pendant la journée, vers midi je crois, pour repartir encore vagabonder dans cette étendue de sable, à la recherche d'aide, de quelqu'un. Il faisait chaud, très chaud, et je me rappelle avoir bien brûlée des jambes, bras et dos pendant ma quête. Je regarde alors mes bras pour vérifier si ce que je me rappelle est bien vrai, et non un rêve. Et c'est le cas, mes bras sont effectivement couvèrent de marques rouge. Alors ce ne sont pas des rêves mais bel et bien des souvenir, enfin pour la plus part en tout cas, car je viens de me remémorer le moment où j'avais cru voir un village, mais qu'en faite ce n'était qu'un mirage. Mais ce n'est pas encore le pire !! Je crois que j'avais complètement perdu la tête, parce que j'entendais la voix de Karic dans ma tête alors qu'il n'était pas la. Je l'entendrais me dire de m'accrocher à la vie, de ne pas abandonner car il n'était pas loin, qu'il venait me sauver. Et c'était exactement ce qu'il s'était passé. Quelqu'un, que j'imagine être lui vu que je suis en sa compagnie en se moment, était apparu sur une énorme masse noir et avait crié mon nom, avant que je ne sombre dans le néant et me réveille dans ce lit, avec lui à mon chevet.
Je sent du mouvement sur ma gauche, ce qui me fait relever les yeux. Je le vois bouger et ouvrir les yeux, d'abord lentement, puis quand il remarque que je suis réveillée, entrain de le fixer et non bien au chaud entrain de dormir, il les ouvrent en grand et me saute presque dessus en me serrant fort dans ses bras puissant, comme s'il avait eu peur pour moi, peur de me perdre. Je suis un peu choquée et surtout prise au dépourvu par cette étreinte soudaine, que je me raidie dans ses bras.
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𝑨𝒄𝒉𝒆𝒕𝒆́𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝒎𝒐𝒏 𝑷𝒓𝒊𝒏𝒄𝒆
RomanceSi un jour on m'avait dit, que je me retrouverai ici, dans le sultanat d'un Sultan, à des milliers de kilomètres de chez moi, dans un pays que je ne connais pas, avec des personnes tout aussi inconnue, je pense que je ne l'aurai jamais cru... Mais c...