Tout d'abord, je tenais à vous dire que normalement ce chapitre devait sortir lundi, mais mon ordinateur m'a planté dimanche soir, donc je n'ai pas pu continuer à écrire jusqu'à cette après midi. Je viens juste de finir la relecture, et je vous dis c'est fatiguant !! Et encore, là le chapitre n'est pas très long comparait au 17 ou 18, là c'est pas la même chose...
Enfin bref !! Tout ça pour dire que je voulais vous faire plaisir en vous sortant un autre chapitre ( celui-ci ) deux jours après le précédent, et je n'ai pas pu... ça m'énerve !! Mais bon le principal c'est que mon ordi va bien et que j'ai pu vous sortir ce chapitre après 6 jours d'attente. J'espère qu'il vous plaira et peut-être qu'il y en aura un autre prochainement...
PS: merci pour toutes ces vues et votes, vous êtes adorable et je suis contente que mon histoire plaise autant, même si y'a beaucoup mieux sur Wattpad. En tout cas, j'espère qu'elle continuera à vous plaire ainsi que mes prochaines histoires qui sortiront à la fin de celle-ci. J'ai hâte d'écrire la prochaine, elle est vraiment cool, enfin après je ne suis pas très objective non plus hein !! 😂
Bisous bisous Mél 😘😉
PDV de Karic :
Nous sommes toujours au milieu du cimetière, dans les bras l'un de l'autre. Elle me sert fort dans ses bras car elle pense que j'ai besoin de réconfort après ce que je viens que lui apprendre, et je crois que même si je ne veux pas me l'avouer, j'en avais besoin. Elle pleure sans-cesse mais je n'arrive pas l'arrêter. Ça me brise le cœur de la voir comme ça surtout que c'est de ma faute si elle est dans cet état. Je m'en veux de lui avoir fait autant de peine mais en même temps une partie de moi est heureuse qu'elle éprouve un tel sentiment de compassion à mon égard car ça veut dire qu'elle tient à moi... rien que cette pensée et mon cœur prend une allure déraisonné. Je ne sais pas ce qu'il m'arrive mais quand je suis avec elle je me sent bien, apaisé et j'oublie cette souffrance, cette haine qui m'habite depuis ce qui me semble une éternité... tout ce à quoi je pense c'est elle, et seulement elle... Il faut donc que je lui change les idées et qu'elle arrête de pleurer car je crois que s'en est assez pour aujourd'hui, vous ne croyez pas ?
- « Habibti arrête de pleurer s'il-te-plais... je n'aime pas te voir comme ça et puis ça gâche ce beau visage. » lui murmurais-je tout près de son doux visage en lui caressant et essuyant ses joues avec mes pouces.
Parmi toutes ses larmes j'aperçois l'esquisse d'un sourire et je me dis que je suis sur la bonne voie pour lui changer les idées. Il le faut...
- « En plus si tu reste comme ça tu va finir toute fripée !! » déclarais-je faussement sérieux se qui lui déclenche un fou rire juste merveilleux pour mes oreilles.
Son rire est une magnifique mélodie qui déclenche une explosion de joie dans mon cœur et un sourire nié sur les lèvres. Que j'aime ce sons !! Je pense qu'elle a enfin, définitivement arrêtée de pleurer donc ça signifie que j'ai réussi !! Waouh !! Je suis si heureux que je ne peu me contrôler et me jette sur ses lèvres légèrement entrouvertes à cause de son rire. Elle est surprise de mon geste mais ne me repousse pas, j'en conclus donc qu'elle aime et que je peu approfondir. Je passe le barrage de ses douces lèvres sucrées avec ma langue et l'embrasse avidement comme-ci ce baiser était le dernier. Je pouce un grognement de désir ce qui l'a fait hoqueter de surprise et me provoque un sourire imperceptible. Nous continuons de nous embrasser passionnément comme-ci le temps c'était arrêté, comme-ci nous étions seuls au monde, et en cet instant je ne peu contredire cette hypothèse. Je place alors mes mains qui étaient jusqu'à présent sur ses joues, sur sa taille pour la rapprocher de moi encore plus, beaucoup plus. Elle place, quand à elle, ses petites mains délicates derniers ma nuque pour pouvoir se tenir car je sais, je sent qu'elle tremble et que si je l'a lâche maintenant, elle ne tiendra pas sur ses jambes bien longtemps. J'aime l'effet que je lui fait même si elle essaye de me le dissimuler, je sent ces choses là, surtout quand ça la concerne de près ou de loin.
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𝑨𝒄𝒉𝒆𝒕𝒆́𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝒎𝒐𝒏 𝑷𝒓𝒊𝒏𝒄𝒆
RomanceSi un jour on m'avait dit, que je me retrouverai ici, dans le sultanat d'un Sultan, à des milliers de kilomètres de chez moi, dans un pays que je ne connais pas, avec des personnes tout aussi inconnue, je pense que je ne l'aurai jamais cru... Mais c...