Chapitre 44

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Deux mois avant
Alda
Je me suis attaché à cette vie paisible. Ici je peux être celle que souhaite.
Je ne suis pas la putain de quelqu'un...
Même si je l'aimerais toujours comme une folle, je dois voir la vérité en face notre union était seulement le fruit de mon imagination.
Chaque nuit je me réveille à cause du même rêve.
Toujours le même, je suis dans un jardin, j'entends ma mère m'appeler, mais ce n'est pas celle avec qui j'ai vécu, non c'est celle de tout mes souvenirs.
Ma mère biologique ?
Mais elle m'appelle Lawa. Je ne comprends rien...
Puis comme des vagues murmure j'entends la voie de Noria la grand-mère de la reine Hava.
Qui me dit que je suis l'élue ou bien la gardienne.
Je ne comprends plus trop se rêve, tout est flou dans ma tête.

Et je ne ressens plus le lien entre Noria et moi, comme si on l'avait cassé.
Tout cela reste complètement fou, je n'en ai parlé à personne sauf à Grysley, car nous nous somme beaucoup rapproché depuis mon arrivé ici.
Je vois en lui un très bon ami et confident.
-Alda ?
– Oui ?
Je vois apparaître entre l ouverture de la porte et le mur.
Le visage de Grysley, je mis à rire sans aucun gène à cause de c'est ces épiées de cheveux.
– Viens, dépêche-toi de te lever de ton canapé et rejoint moi dehors, on va faire un tour.
Je ne sais pas où il m'emmène, mais j'avais très envie de partir d'ici.
Je le rejoins rapidement en bas. Il semblait impatient.
Je trouve que son comportement a changé, lui qui était plutôt froid avec moi au départ, était maintenant devenu complètement ouvert.
Après deux bonnes heures de marche nous arrivions enfin au lieu mystère.

C'était un lieu magnifique.
La nature était maîtresse des lieux, les arbres étaient de toute couleur. Je n'avais jamais rien vu de tel.
Au royaume d'Aquata il n'y avait pas tout cette végétation colorée, même si j'adore la ville de mon enfance.
La douceur des fleurs m'enivra doucement, je me sentais légère apaisé.
Nous nous installons tranquillement dans l'herbe à l'ombre sous un grand arbre rosé.
Dont les fleurs tombait délicatement sur le sol.
Je me retournais doucement vers Grysley, il me regardait avec beaucoup d'intensité cela l'intimidé quelque peu.

Avant même que je me mis à réfléchir à la raison de son comportement.
Son visage était à quelque millimètre du mien, cette proximité
Une chaleur m'envahis, je restais paralysé devant ce beau visage, puis il s'approcha de moi jusqu'à ce que nos lèvres se touchent.
Je ne savais plus trop ce que je faisais, mais se qui était sur c'est que nous nous embrassions.

La Dernière GardienneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant