Et si tout Changeait?

Chapitre 38 curiosité enfantine (Non corrigé)

me retournant plus d'une fois dans mon lit à cause de nombreux cauchemars, je finis par me lever du lit en tremblant de froid et récupère ma robe de la vieille pour m'habiller avec. Vue l'heure qu'il est Rosa ne doit pas s'attendre à me voir réveiller et ne risque pas de venir me voir avant un moment...

Bloquer dans le lit, j'essaie de trouver un objet assez lourd mais non cassable autour de moi puis je le lance aussi fort que je le peux contre la porte qui mène au bureau en espérant que le patron soit dans son bureau à cette heure ci. Heureusement pour moi le patron ne tarde pas à arriver avec une expression étonné au visage.

-Déjà réveillé ma petite Morgane? Il est à peine midi pourtant

-oui... j'arrive pas à dormir...

-je vois, Vincent n'est pas avec toi?

-Non... ont... j'ai dis quelque chose qu'il ne fallait pas et... il est partit en claquant la porte...

-D'accord le connaissant il ne reviendra pas avant se soir

-Vous... vous croyez qu'il reviendra?...

-j'en suis sûr, ce restaurant est sa maison et puis j'ai jamais pu m'en débarrasser quand je l'ai viré alors il reviendra très vite

Riant doucement à sa réplique, il m'invite à venir avec lui dans le bureau mais je lui fais vite remarquer que je ne peux pas marcher.

-Ou sont passer les béquille que Rosa t'avais apporter?

-Je... au fond de la chambre... je n'arrive pas à marcher avec... je tombe tout le temps...

-Je comprends mais tu sais ce n'est pas en laissant tomber dès le premier échec que tu arriveras à surmonter tes difficultés

-j'ai essayer... mais je m'emmêle les pattes à chaque fois...

-c'est normale au début et puis tu n'as jamais dû en utiliser je me trompe?

-Non... Quand Rosa me les a donner je me suis demander ce que c'était que c'est machin là...

-Je comprend donc je te propose un truc, je t'explique puis te montre comment les utiliser correctement puis tu essaye à ton tours, ça te va

-Moui...

-Je me contenterai de cette réponse pour cette fois

Se redressant doucement en se plaignant que la terre est basse, le patron se dirige vers l'endroit ou son entreposé les béquilles puis les ramènes vers moi. Il s'arrête cependant à une distance raisonnable quand il voit ma queue se gonfler à vue d'œil et mes oreilles se rabattre en arrière. Le regard mauvais et le grondement sourds que je lance envers les engins le fait soupirer doucement.

-Tu sais si tu les vois comme des ennemis tu n'arrivera à rien

-Je n'aime pas c'est choses...

-Eh bien il va falloir apprendre à les aimer car sans elle tu es bloqué dans cette chambre

-Mais Vincent...

-Vincent ne sera pas toujours là, la preuve aujourd'hui. Alors que choisi tu? Être libre et indépendante ou alors devoir toujours compter sur quelqu'un même pour aller au toilette au risque de rester bloquer quand il n'y à personne?

-... Être libre...

-Bien, alors regarde bien comment je fait et ouvre bien grand tes oreilles

Patiemment, le patron prend tout son temps pour m'expliquer comment bien utiliser ses engin de malh... c'est béquilles... En faisant attention à utiliser la même jambe blesser que moi pour que j'en assimile bien les principe.