Chapitre 1

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(Média Hana)

PDV Hana :

Je rangeais tranquillement des vêtements sur les étagères quand soudain quelqu'un posa ses mains sur mes yeux. Je souris en reconnaissant le parfum de ma meilleure amie. Je me retourne et la prend dans mes bras .

Lise et moi nous nous connaissons maintenant depuis 6 ans après avoir emménagé à côté de chez elle et nous sommes devenues inséparables. Lise est une fille gentille avec son caractère elle a les cheveux en tai and dai brun en haut blonde sur les pointes, les yeux vert et à de très belle forme elle et moi on a le même âge, c'est à dire 22 ans.

Je la relâche et elle me fait un grand sourire je sens qu'elle a quelque chose à me demander.

- Que fait tu là Lise ?

- N'ai-je plus le droit de venir voir ma meilleure amie ? Dit elle en souriant.

- Bien sur que si, mais c'est quoi ce grand sourire que tu porte sur ton visage ?

- Tu sais bien que je souris tout le temps.

- Je sais mais la je sens que tu a quelque chose à me dire. Alors va s'y déballe.

- Bon ok, mon frère à accepté de nous emmener voir une course de moto ce soir. C'est trop bien non ? Sa fait des mois que je lui demande mais à chaque fois il refuse mais je sais pas pourquoi ce matin je lui ai dit que toi aussi tu voulais venir voir et il a accepté.

- Lise, tu sais très bien que je ne veux pas participer à ces courses illégales ! Dis-je sur un ton assez sévère.

- Roooh, aller Hana fait pas cette tête, c'est juste pour ce soir. Aller vient tu sais que je veux y aller depuis longtemps et la mon frère accepte c'est peut être la première et dernière fois. Aller Hana s'il te plaît.

Je la regarde me supplié et soupire.

- Bon très bien mais c'est bien la première et dernière fois que je t'accompagne.

Elle se jette sur moi en me remercient, mais ma patronne arrive on se détache l'une de l'autre. Madame Wallis ma patronne nous regardes.

- Puis je savoir ce qui vous fait autant sourire mesdemoiselles. Ne vous ai-je pas déjà dit de ne pas venir pendant les heures de travaille à moins que se ne soit pour acheter des vêtements. Mais je pense bien que c'est au-dessus de vos moyen mademoiselle Laurent.

Dit-elle en regardent Lise de haut. Elle m'énerve avec sa façon de rabaisser les autres. Ma meilleur amie lui lance un regard noir et lui dit :

- Peut-être que je n'ai pas les moyens d'acheter ici. Mais même si je pouvais je ne dépenserais pas un centime pour ces torchons que vous vendez.

Ma patronne la regarde outré de ce que Lise vient de lui dire, elle ce retourne et part dans la réserve vexé.

Lise ce retourne et me regarde.

- Désolé.

- C'est pas grave, elle va s'en remettre.

- Bon bah, je vais te laisser alors. Je te rejoint chez toi vers 20h00 et on part d'accord.

- Ok, à plus tard.

Lise part et quant à moi je continue à ranger entre deux clientes qui viennent et repartent. J'aime beaucoup travaillé dans ce magasin, même si ma patronne m'en fait voir de tout les couleurs et que les clientes son très orgueilleuses.

J'aime travailler dans le stylisme c'est même mon rêve. Je voudrais ouvrir mon propre magasin et crée ma propre marque, mais pour l'instant pour faute de moyen il faut que je continue à me donner à font et à ne pas me faire renvoyer.

Je termine de remettre les deux, trois cartons qui traîne dans la réserve et dit en revoir à ma patronne qui est toujours remonter par la réflexion de mon amie.

Après 20 minutes de marche j'arrive à mon appartement. Bien sur j'ai une voiture mais préfère l'utiliser dans les cas extrême. Je rentre pose mon sac et mon manteau dans l'entrée. Je regarde l'heure, il et déjà 18h30 il faut que j'aille me préparer pour ce soir. Même si sa m'enchante guère je l'ai promis donc il faut que je fasse un effort.

Je file dans ma salle de bain prendre une bonne douche puis je me dirige dans ma chambre m'habiller. Je décide de mettre un jeans, avec un tee-shirt blanc, une chemise à carreaux et mes basket nike. Je me coiffe en faisant une tresse épie et me maquille un peu car je ne veux pas non plus ressemblé à c'est pouf qui seront la bas.

 Je me coiffe en faisant une tresse épie et me maquille un peu car je ne veux pas non plus ressemblé à c'est pouf qui seront la bas

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Je termine et quand je regarde l'heure il est déjà 19h45, je décide donc de me poser quelque minute dans le canapé devant la télé.

Après 10 minutes à zapper on sonne à la porte, j'éteins tout et me dirige vers la porte et ouvre à Lise elle à le sourire jusqu'aux oreilles j'aperçois sont frère derrière elle et lui fait la bise.

- Salut, Emet.

- Bonsoir Hana, tu est très belle.

- Merci. Dit-je un peu gêner.

- Bon on y vas j'en peux plus d'attendre

Lise est tellement impatiente. Je prend ma veste en cuire et ferme ma porte à clé.

- Aller c'est partie.

- Les filles, je prend ma moto et vous me suivez.

- Ok, mais tu ne va pas trop vite. Tu nous plante pas au milieu de la route Emet, par ce que je te jure que tu le regrettera.

Je rigole derrière Lise qui fait les gros yeux à sont frère. Elle n'ai pas du tout crédible du haut de ses un mètre soixante-huit, alors que sont frère fait à peu près un mètre quatre-vingt-cinq.

- Oui, c'est bon j'ai compris, mais toi tu tient ta promesse de rester à l'écart des autres et de ne pas faire d'embrouille. Et Hana fait attention à toi aussi s'il te plaît.

Il me regarde avec un aire inquiet dans les yeux. J'hoche la tête mais lui assure que si une pouf viens me faire chier, je ne répondrais plus de rien.

Il acquisse et monte sur sa moto et nous dans la voiture de Lise.

Lise et au volant et moi je prend place passager. Elle démarre et c'est partie.

- C'est pas un peu bizarre.

- De quoi ?

- Qu'une maîtresse de maternelle veuille autant aller à une course de moto illégal. Tu ne montre pas trop l'exemple à tes élèves.

- Je sais c'est vrai que c'est pas professionnel du tout. Mais nous sommes encore jeunes et je veux continuer de profité de cette jeunesse sens regret et puis ce n'ai pas comme si je le disais à mes élèves. C'est juste pour voir une fois. Aller ne t'inquiète pas on va s'éclater.

- Comment peux tu en être si sûr ?

- Je sais pas mais dans tout les cas je veux juste m'amusée.

- N'oublie pas ce que ton frère nous à dit on attire pas d'ennuis.

- Oui, je sais et je n'en attirerais pas mais rappel moi qui lui à dit que si on venait la faire chier elle ne répondrait plus de rien.

- C'est moi mais la n'ai pas le problème et puis comme je te les dit c'est la première et dernière fois que je m'aventure ici.

- Très bien alors profitons en.

Aimer un bad boyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant