Chapitre 15

65 2 0
                                    

PDV Lukas:

Je me retrouve donc seul dans ma chambre à tourner en rond. Ce baisé va ma rendre dingue. Je ne sais pas ce qu'il ma prit de l'embrasser, avec ses yeux qui me regarder, si envoutant et moi je l'embrasse. C'est vrai que je ressent certaine chose pour elle et elle arrive à me faire oublier les mauvais moment de ma vie.

Mais je ne peux rester proche d'elle. Si je m'attache trop, mes ennemies en profiterons et je ne veux pas revivre ce qui c'est passé avec Ricardo. Elle est bien trop gentil pour rester avec moi. Il va falloir qu'ont s'expliquent demain et que je mette des limites entre nous, même si je sens que sa va être difficile de rester loin d'elle.

En attendant il faut que j'arrive à dormir. Je m'alonge et ferme les yeux. Puis m'endort après quelques minutes.

Je me réveille avec le soleil en pleine figure et des rires de filles hystérique. Je grogne un peu et descend, voir ce qu'il ce passe. J'arrive dans la cuisine et retrouve Lise avec un oeuf explosé sur sa tête et de le farine et Hana qui à a peut près le même tête que son amie. Elle sont mortes de rire. Hana me voix et arrête instantanément de rire et Lise ce retourne à son tour et me regarde avec de grand yeux.

- Qu'est ce que vous avez ? Vous avez vue un fantôme ou quoi ?

- Tu pourrais mettre un tee-shirt quand même. Me dit Lise.

- Pourquoi la vue ne te plaît pas ?

- Non.

- Très bien et bien le temps que je monte me changé, vous aller me ranger ce bordel. Car je vous signal que vous êtes chez moi ici et non dans votre appartement, alors dépêcher vous ! Dis-je d'un ton sévère.

Je remonte dans ma chambre, prend une douche et m'habille. Puis redescend et cette fois la cuisine et nickel et les filles sont partie, surement ce laver. Je me prépare mon petit dèj et laisse un mot aux filles. "Je n'ai pas le temps de vous attendre. Je rentrerais surement tard ce soir, ne faites pas de conneries. A plus Lukas."

Je ferme la porte d'entré à clé et monte sur ma moto, pour arriver plus vite au repère. Arrivé là bas je rentre dans mon bureau et comme je m'y attendais Simon et déjà assis dans mon siège, et je suppose qu'il va me poser des questions au sujet du baisé de hier soir.

- Salut. Dis-je déjà lasse.

- Bonjour, patron. Dit-il avec un petit sourire en coin.

- Va s'y dépêche toi de me poser tes questions, qu'on en finissent et qu'ont puissent ce mètrent au travaille.

- Mais je n'ai aucune question à te poser.

- Vraiment ?

- Est-ce que tu à des sentiments pour elle ?

- Je me disais aussi. Je n'en sais rien. Je l'ai embrassé c'est vrai, mais de là à dire que c'est l'amour fou, je ne pense pas. Puis elle ne fait pas partie de notre monde. Je ne peux pas la mettre en danger par ce que je ressent quelque chose pour elle. Ce serais trop égoïste de ma part.

- Je te comprend mais imagine qu'elle ressente aussi des choses à ton égard, tu ne pense pas que vous pourriez essayer quelque chose ensemble. Et puis si sa ne fonctionne vraiment vous vous quitté et puis c'est tout.

- Tu sais bien que je ne parle pas que du fait de si sa marche ou pas. Mais de nos ennemis. Combien de chef de gang ce son fait tuer, pour aller sauver ce qu'ils aiment.

- Je ne sais pas. Mais toi tu n'es pas eux. Et tu va la protéger corps et âme, je le sais.

- Je la protégerai dans n'importe qu'elle cas mais il y aura toujours quelqu'un qui profitera d'un moment d'inattention, pour me la prendre et je ne veux pas prendre ce risque. Alors des qu'on à tué Ricardo elle rentre chez elle.

- Comme tu voudras.

- Bon le sujet est clos. Quand est il de Ricardo ?

- J'ai eu quelque échos par si par là. Certain ont entendue dire qu'il est partie rejoindre un vieil ami italien, qui vend des armes. Cet homme ce trouve dans une ville plus au Nord de la notre. Mais sa nous prendrais trop de temps d'y allé.

- Tu pense qu'il faut qu'on attende qu'il rentre ?

- Je n'en sais rien, c'est toi le boss.

- Merci de ton aide.

- D'après ce que j'ai entendu, il devrait rentré dans les jours à venir, pour terminé sa mission. Je ne te dit pas la qu'elle bien sûr, tu dois t'en douter.

- Ouai, mais nous ne savons toujours pas ce qu'il prépare vraiment. On ne sais pas si il va encore s'en prendre à Hana ou si il va enfin porter ses couilles et m'affronter directement.

- Sa je ne peux pas encore te le dire.

- Bon merci pour tes infos.

- De rien et réfléchie à ce que je tes dit.

- Ouai, je verrais.

Il part me laissent en grande réflexion. Ce Ricardo commence vraiment à m'énerver. Après des heures de réflexion à trouver un plan pour chopé Ricardo. Je relève enfin les yeux de mes feuilles et me rend compte qu'il est déjà vingt-deux heures. Je me lève, m'étire et ferme mon bureau. Je monte sur ma moto et part au quart de tour vers ma maison.

Arrivé enfin chez moi. J'entre et sent une bonne odeur en arrivant dans le salon, je retrouve Hana devant la télé en pyjamas en train de manger une pizza. Je vois qu'il y en à une qui m'attend. Je m'avance jusqu'au canapé et m'assoie dessus, en même temps je fais sursauter Hana.

- Idiot, tu ma fait peur.

- Pardon, c'est pour moi cette pizza ?

- Oui.

- Où est Lise ?

- Emet est venus la chercher en fin d'après midi.

- Tu n'as pas eu trop peur de rester seul jusqu'à maintenant ?

- Non ça va, je sais que ta maison est bien sécuriser. Me dit-elle avec un petit sourire gêné.

Je vois bien qu'elle n'ai pas à lèse et qu'elle à envie de me parler d'hier.

- Hana à propos d'hier, je...

- Ne t'inquiète pas. Je sais bien que tu est quelqu'un qui ne s'attache à personne et donc que je ne doit pas me faire d'illusions.

Elle me dit sa avec des larmes aux yeux. Je ne peux pas la laissé croire sa. Il faut que je lui dise vraiment ce qu'elle est pour moi et laissé tombé ces limites. Je prend une grand inspiration et me lance.

- Hana ce n'ai pas vraiment sa le problème. Je t'apprécie beaucoup et je ressent certaine chose pour toi qui ne devrais pas. Tu es une fille génial, mais tu ne fait pas partie de mon monde et le monde dans lequel je vis est trop dangereux pour toi et je ne veux pas que quelqu'un te blaisse par ma faute. Ce baisé est surement le début de notre perte et je ne veux pas te faire du mal et être un égoïste avec toi.

Elle me regarde ses yeux grand ouvert et quelques larmes qui roulent sur ses jouent. Je l'ai essuient délicatement avec mon pouce.

- Lukas je me fiche totalement de ton monde ou de quoi que ce soit d'autre. Je veux rester avec toi. Même si nous ne sommes pas certain l'un l'autre de nos sentiment. Je voudrais qu'ont essayent toi et moi. S'il te plaît.

- Je ne sais pas Hana. Tu es si fragile et je ne supporterai pas qu'il t'arrive quelque chose.

- Il ne m'arrivera rien, t'en que je suis avec toi Lukas.

Je la regarde dans les yeux. Puis mon regard se dirige doucement vers ses lèvres et je ne peux plus résister.

Et l'embrasse comme je n'ai jamais embrassé une femme avant elle.

Aimer un bad boyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant