Chapitre 28

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PDV Hana :

Je me réveille dans une chambre d'hôpital après des heures enfermer dans cette pièce crasseuse. Je retrouve un lieu confortable.

J'essaye de me redresser et regarde autour de moi, en cherchant Lukas du regard mais personne dans cette chambre. Je suis seul.

Mes yeux s'abaisse au niveau de la table à côté du lit et je vois posé dessus une lettre avec mon prénom écrit dessus, mon coeur commence à battre plus vite à la vue de cette enveloppe. Je l'ouvre doucement et commence à la lire

" Hana.

Ma princesse, jamais je ne pourrais me pardonner tous le mal que je t'ai fais. Je m'en voudrais chaque jour de ma vie, car tu es et restera la seul femme que j'ai réellement aimé et désiré plus que tout au monde. Donc tu vas s'en doute me trouver égoïste de faire ça alors que tu es mal en points, mais je veux que tu m'oublie et que tu refasse ta vie sans moi. Pour j'en suis sûr une vie meilleure qu'avec moi.

Je t'aime Hana, la seule et unique femme que j'ai aimé."

Mes larmes ne s'arrêtent plus de couler. Je lui en veux tellement de m'abandonner comme ça.
Je pleure encore et encore, jusqu'au lendemains matin où je me réveille les yeux rouge et tous gonflé.

L'aide soignante m'apporte mon petit déjeuné et plus tard dans la matinée, l'infirmière arrive pour mes soins.

- Bonjour mademoiselle. Comment vous sentez vous ce matin.

- Ça va mieux qu'hier.

- Que vous est-il arrivé vous avez les yeux tout gonflé.

- Au ce n'ai rien. Une peine de coeur.

- Il va revenir une aussi belle femme que vous ne peux que le faire revenir.

- Je ne pense pas.

- Croyez en vous. Bon je reviens dans l'après midi pour les résultats de vos analyses sanguins.

- D'accord.

Elle repart et me voilà encore seul. L'hôpital et vraiment le pire endroit du monde. J'allume la télé et commence à enchaîner les chaînes, jusqu'à m'endormir.

L'après midi comme convenus l'infirmière est revenus.

- Me revoilà, alors regardons tous ça.

Je vois sa tête qui commence à ce décomposer.

- J'ai quelque chose de grave. Demandé je légèrement angoissé.

- J'espère que votre copain n'ai pas partis pour longtemps. Par ce que vous êtes enceinte mademoiselle.

Je reste bouche bée.

- Quoi ?

- Vous êtes enceinte d'un mois et demi, deux mois. Je ne sais pas comment l'enfant à survécu à tout les épreuves que vous avez vécus mais le fœtus est bien là. Je vais vous prendre un rendez-vous chez le gynécologue de l'hôpital.

- Heu, d'accord.

- Je reviens dans quelques minutes.

Comment est-ce possible. Lukas et moi nous sommes protégé pourtant. Me voilà seul avec un enfant. Comment je vais l'annoncer à Lukas, il ne va surement pas en vouloir et m'obligé à avorter. Non, il ne ferait jamais ça. Il faut mieux que j'aille chercher mes affaire à l'appart et partir quelques temps chez mes parents.

Aimer un bad boyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant