Chapitre 17

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PDV Lukas:

Après avoir déposé Hana je me dirige tout droit au repère, pour retrouver cet enflure le plus vite possible. Je ne suis pas du tout rassuré de laisser Hana à sa boutique, mais je ne voulais pas non plus qu'elle perde son travail.

Arrivé là bas Simon arrive vers moi en courant.

- Lukas dépêche toi, on à repéré Ricardo. Il est à l'entrée de la ville, il faut y allait maintenant.

- Tu as pris les armes ?

- Ouai, elle sont dans ma voiture.

- Ok, très bien, prend des hommes avec toi et part devant je te suis.

- Ok.

Je remonte dans ma voiture et suis Simon. Je suis pressé d'en finir avec lui et de pouvoir me concentré uniquement sur Hana. Même si mes sentiments pour elle ne son pas encore très clair. Je sais que je tien à cette fille et je ne veux pas la perdre.

La voiture devant ralentis et je fait de même. Les gars descende de la voiture et ce dirige vers moi.

- Alors c'est ici ? Demandé je à Simon.

-Ouai, il faut marché le long du chemin et il est dans le bâtiment au bout.

-Ok. Ont va y allaient doucement, il ne faut pas qu'il nous repère. Alors moi et un de vous allons partir en éclaireur, pour voir si il y a un passage pour rentrée discrètement et compté combien ils sont. C'est entendue ?

-Oui !

- Le reste attend dans le voiture. Si nous ne sommes pas revenue dans vingt minutes vous rappliqué. Vous avez compris ?

- Oui patron !

- Bon qui vient avec moi ?

Personne ne répond.

- Pas tous en même temps.

-Moi !

- Comment t'appelle tu ?

- Sam.

- Très bien alors allons y Sam. Simon je te confie les autres.

- T'inquiète.

Et nous voilà partie. Nous courons en nous faufilant à travers les arbres qui entour ce bâtiment à l'abandon. Après quelques minutes nous trouvons un point de vue très dégagé, pour observer sans nous faire repérer. J'utilise les jumelle et vois deux hommes armé devant une porte.

- Ont va faire le tour de la zone voir si il y a une faille.

- Ok

Nous contournons en nous cachant à travers les arbres. Il n'y a aucune autre porte, la seul qu'ont puissent utiliser est celle de devant.

- Bon et bah, il va falloir faire du dégât.

- Mais on ne sait pas combien ils sont à l'intérieur.

- Je sais bien mais si on veux le tuer c'est maintenant ou jamais.

- Et si il n'était pas à l'intérieur et que c'est un piège. C'est idiot de ce jeter dans la gueule du loup à l'aveuglette.

- Tu as raison. Mais on ai sûr de rien, le seul moyen de savoir si il est là c'est de rentrer.

- On peut toujours essayer de refaire le tour. Les herbes sont haute autour, il y a peut être un passage qu'on à pas vue au sol. On c'est juste contenté de trouver une porte, mais il y a d'autre moyen tu ne pense pas. Me dit-il.

A ce moment là je me demande qui et le chef et le cerveau de ce gang.

- Tu as raison refaisons le tour, mais dépêchons les autres ne vont pas tarder à venir.

Nous cherchons sur les bas des murs un trou assez large, pour que nous puissions y rentrer.

- Là, vient voir. Me dit-il en chuchotant assez fort pour que je puisse l'entendre.

- Super, bien joué. Je passe en premier si sa ne te dérange pas.

- Non, au contraire. Dit-il en rigolant.

Je passe à l'intérieur et j'arrive dans une pièce assez sombre. Sam rentre à son tour. Grâce à la lumière provenant de la faille, j'arrive à distinguer la porte au fond de la pièce. J'avance vers celle si et l'ouvre tout doucement. Je regarde dans l'entrebâillement de la porte pour vérifier si il n'y a personne au alentour.

- Il n'y a personne on peux y aller.

Je marche doucement dans le couloir et arrive devant une seconde porte avec une petite fenêtre à l'intérieur. Je décide d'y jeter un oeil.

- Alors qu'est ce que tu vois ?

- Il y a une vingtaine d'hommes la dedans avec des armes plein les poches et ce fils de pute de Ricardo au centre. Viens ont retournent aux voitures et ont appel plus de monde avec plus d'armes.

- Ok.

Nous repartons dans le sens inverse et revenons à la voiture.

- Alors ? Me demande Simon.

- Il y a au moins une vingtaine d'hommes.

- Ça va, sa va être simple alors.

-Le problème c'est qu'ils sont tous armé jusqu'aux dent. Il faut qu'on appel plus de monde et plus d'armes.

- Ok, j'y vais.

Après que Simon et appelé les renforts nous patientons dans les voitures. Tandis que deux de mes hommes sont parties pour surveiller le bâtiment. Après trente minutes d'attente ils arrivent enfin trois voitures remplie d'arme et d'homme.

- Bon les gars dans ce bâtiment, il y une bonne vingtaine d'hommes armé jusqu'aux dent, alors je conte sur vous pour me les défoncer. Par contre Ricardo il est pour moi c'est clair.

-Oui chef !

- Alors allons y !

Nous repartons vers le bâtiment. Arrivé à l'entrée, je tire sur les deux hommes posté devant la porte. Dix de mes hommes partent par derrière pour les prendre par surprise. Je met un coup de pied dans la porte et tire sur tous ce qui bouge dans ce lieu. Quand mes hommes prennent le relai, je me concentre pour trouver Ricardo. Je monte des escaliers un peu à l'écart et arrive dans un bureau en désordre.

Je ressent un coup dans l'épaule, me retourne et vois enfin cet enfoiré.

- Comme on ce retrouve mon cher Lukas. Je ne t'attendais pas de si tôt.

- Tu crois vraiment, que j'attendrais que tu t'en prenne encore à quelqu'un pour te retrouver.

- Bien sûr que non. Je te connaît assez bien pour savoir comment tu fonctionne mais je pensais que sa prendrais un peu plus de temps avant que tu me retrouve.

- Et bien détrompe toi.

- Et au fait comment va ta petite protéger. C'est comment son prénom déjà... À oui Hana. Elle est belle tu ne trouve pas ?

- Ta gueule enfoiré !

Je lui saute dessus et commence à lui mettre des coup de poing violent, mais je m'en prend un aussi et me retrouve sur le côté. Il se jette à son tour sur moi. Les poings vole de tous les côtés. J'arrive quand même à reprendre le dessus et commence à l'étrangler.

- Je vais de faire payer pour ce que tu à fait à Hana.

Je ne le vois pas sortir son arme il me tire dessus je tombe en arrière. Du sang coule de mon épaule. J'arrive à me relèvé plus vite que lui et le désarme avant qu'il ne tire une deuxième fois. Je garde son arme en main, je la pointe vers lui. Je le regarde dans les yeux je vois de la peur et de la supplication mais à cet instant je ne ressent rien d'autre que de la haine et tire une fois, deux fois, trois fois Jusqu'à ce que le chargeur ce vide et qu'il n'y ai plus aucune balles à l'intérieur.

Simon arrive me prend l'arme des mais et nous rentrons comme si rien n'était arrivé. Il m'installe dans la voiture les autres hommes range leur armes et nous rentrons.

Maintenant seul Hana compte.

Aimer un bad boyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant