Aimer un bad boy

Chapitre 26

PDV Hana:

Je marche vers le salon. Il doit être dix heures. Je suis en retard au travaille, mais j'ai tellement mal au ventre. Je tombe lourdement sur le canapé. Lukas doit encore dormir.

J'essaye de m'allonger pour fair passer la douleur, mais rien à faire. Je sens le repas d'hier me revenir et cour vers les toilettes. Je suis à deux doigts de rendre mes tripes. Quelqu'un prend mes cheveux pour les mettre en arrière.

- Est-ce que ça va aller princesse ?

- Oui ne t'inquiète pas, j'ai mal digéré la nourriture d'hier. Tu me ramène à la maison.

- Tu ne veux pas plutôt rester chez Lise. Tu es malade Hana et je ne veux pas te laisser seul chez moi.

- Tu n'as cas rester avec moi.

- Je ne peux pas aujourd'hui princesse.

- Ramène moi quand même.

- Je peux t'emmener chez le médecin avant, tu n'as pas l'air bien.

- Non je t'assure ça va aller.

- Bon ok. On rentre, mais tu te repose.

- Promis.

Nous nous habillons et partons de l'immeuble.

Arrivé chez Lukas de nouvelle nausésreviennent et je cour vers les toilettes.

- Tu es sûr que tu ne veux pas aller chez le médecin Hana ?

- Oui, je suis sûr. Arrête de t'inquièter ce n'ai juste qu'une petite gastro.

- Monte dans la chambre.

- Oui, papa.

Je commence à monter les marches, quand je sens mes pieds se soulever du sol.

- Lukas, je suis malade pas handicapé.

- Je m'en fou. Tu es mal en point et ça m'inquiète. Ce soir, quand je rentre, je t'emmène chez le médecin que tu le veuille ou non.

- Tu m'énerve.

- Toi aussi, tête de mûle.

Je lui tire la langue et il me pose sur le lit.

- Voilà, tu pourras faire ta gamine dans le lit.

Je me tourne dos à lui.

- Tu peux me faire la tête. Tous ce que je veux c'est que tu guérisse princesse.

- Mmmh.

- Bon, il faut que j'y aille. Je te ramène une bouillotte et des médicaments.

Il descend et cinq minutes plus tard le revoilà.

- Tien, met ça sur ton ventre. Ça devrait te soulager un peu.

- Merci.

Il m'embrasse et me regarde dans les yeux un long moment en me souriant.

- Je t'aime.

- Je t'aime aussi.

- Tu reste sage, je revient vite je te le promet.

Il m'embrasse une dernière fois, puis s'en va. J'entend la voiture s'éloigner de la maison.

Rester seul chez lui n'ai pas très rassurant. Je ferme les yeux pour oublié ma solitude. Et m'endors aussitôt, en espérant que Lukas revienne au plus vite.

Quand j'ouvre les yeux il est déjà quinze heures. Je me lève pour aller au toilette, mais je me stop net en entendant la porte d'entrée se déverrouiller et souvrivre.

Je sors doucement de la chambre et marche discrètement vers les escaliers. Normalement Lukas cris toujours quand il est rentré. Puis vus que je suis malade, il serait montait directement. Mais là aucun signe.

Je continue d'avancer, mais arrête tous mouvements à l'entente d'une voix inconnu.

- Il faut trouver la fille avant que l'autre revienne. Vien on va voir là haut.

Je commence à paniquer. Et cours vers la chambre pour m'y enfermer.

Je prend mon téléphone et appel Lukas personne ne décroche. J'appelle Simon toujours personne, il ne me reste plus que Lise.

- Hallo ?

- Lise c'est moi.

- Hana mais qu'est ce qui...

- Il y a des personnes dans la maison et ils sont venus pour moi je préviens Lukas et Simon.

- Je vais appeler la police.

- Non Lise surtout pas ça pourrait mettre en danger les garçons.

- Je m'en fou Hana tous ce que je veux c'est bip... bip.

- Lise ? Hallo Lise ?

Merde, ils ont coupé la communication. J'entend leur pas se rapprocher et mon stress augmenter. Je fouille les tiroirs à la recherche d'une armes mais à ma grande surprise il n'y en a aucune dans cette chambre.

Je vois la clenche s'abaisser.

- Elle est la dedans.

La panique s'empare de moi. Mon envie de vomir revient automatiquement. Je ne sais plus quoi faire, sauté par la fenêtre serait trop risqué vue la hauteur.

Je sursaute en entendent le premier coup envoyé sur la porte.

- Ouvre nous petite, ce sera beaucoup plus simple pour toi que pour nous.

Ils réenfoncent la porte encore une fois, deux fois et à la troisième la porte cède. Et s'ouvre en grand sur deux hommes, avec de grand sourire pervers.

Ils s'approchent de moi mais je pousse l'homme et cour vers les escaliers. Je manque de tomber plusieurs fois. Une mains m'attrape le poignet et me retourne.

Je cris,  j'essaye de me défendre comme Lukas me la appris. À nous trois nous dévastons la maison.

- Elle est coriace la petite.

- Prend la morphine, moi je l'attrape.

- Ok.

L'homme à la peau noir et baraqué comme un boeuf s'approche de moi. Je recule mais le plan de travailme stop dans ma démarche. Et l'homme en profite pour m'encercler les poignets.

- Lâché moi. Je vous jure que Lukas va venir vous tuer un par un. Bande de con.

L'homme me gifle et l'autre revient avec la morphine et me plante l'aiguille dans le bras. Deux minutes après mon crops s'endort et moi aussi.

Je sens mon corps être transporté et déposé sur une chaise je pense, et mes mains et pieds attaché. J'essaye d'ouvrir les yeux, mais la lumière m'éblouie.

Je reprend mes esprits doucement et regarde autour de moi. Je panique en voyant les deux hommes qui mon enlever.

Mais surtout en voyant un homme s'avancer vers moi. Il a l'aire plus fou que se Ricardo. Il me regarde d'un aire mal saint.

- Alors c'est toi la petite amie de ce petit con de Lukas. Je te trouve bien trop belle pour ce minable. Ça ne te dirais pas de te joindre à nous au lieu de rester avec ces moins que rien.

- Plutôt mourir qu'être avec vous !

L'homme me gifle les deux joues et me prend le visage dans sa main.

- Écoute moi bien petite conne tu vas être bien sage et écouter attentivement  ce que je vais te dire. Tu n'es rien ici, serte ton Lukas chéri va peut être, je dis bien peut être venir te chercher mais il n'y arrivera pas car il sera mort avant même de te retrouver.

À ce moment là mon destin repose seulement entre les mains de Lukas.