Chapitre 12

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Je me réveil sur quelque chose de douillet , mon corps est tenu à chaud et je me sens apaisée. Je sens une poigne sur ma hanche et un corps collé à mon dos . Je me retourne doucement pour ne pas le réveiller mais c'était sans compter qu'il l'est déjà .

_ Bien dormit ? M'interroge-t-il .

_ Oui comme un bébé. Merci, grâce à toi j'ai pu récupéré. D'ailleurs quelle heure est il ? Dis je .

Il tourne sa tête sur le côté , prend son téléphone et me répond doucement :

_ Il est neuf heure cinquante cinq .

_ Dis moi comment ça se fait que je ne me rappele pas avoir marcher jusqu'ici ?

_ Tout simplement parce que je t'ai porté. Tu dormais paisiblement que je n'avais pas le coeur de te réveiller .

Je m'attendrie devant autant de douceur dont fait preuve cet homme en face de moi et un sourire sincère prends place sur mon visage . Il me rend mon sourire et embrasse la paume de ma main .

_ J'ai parlé avec Clara quand tu dormais . Je lui ai confié Lauren et je lui ai dis aussi de te laisser un peu d'espace et ne pas te déranger avec ses questions car connaissant ma soeur elle peut être chiante avec sa curiosité. Ne t'en fais pas je l'ai informé des limites à ne pas dépassé. Me déclare -t- il .

Je l'embrasse brièvement pour le remercier et je sors du lit .

_ Où vas tu comme ça ?

_ Je vais prendre une douche je ne peux plus de rester avec ses habits et je me preparerais pour notre sortie .

_ Attends je te rejoins pour ne pas perdre du temps mais un petit déjeuner s'impose.

Je voulais m'imposer mais son regard sévère me dissuade de le faire . Je souffle d'exaspération m'avouant vaincu je me dirige vers la salle de bain , après avoir constaté un sourire de malice sur son visage .

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Le petit déjeuner entamé dans la bonne humeur et après quelque conseils à ma petite fée, on se sépare chacun ses occupations . D'après ce que j'ai pu constaté de leur dialogue je crois qu'elles ont déjà des plans à mettre en exécution. Brayan a loué une voiture pour notre voyage et en ce moment même en y se trouve , lui sur le siége conducteur et moi sur le siege passager , bien sur que monsieur avait tout manigancé pour qu'il aille l'adresse  m'imposant  le fait  de ne pas  conduire  . Et en ce moment même je le boude . Il pose sa main sur mon genou mais je bouge ce dernier refusant son geste . Il délaisse un peu la route du regard et me jete un regard à la dérober.

_ Tu me boude encore pour avoir pris le volant ? Me demande-t-il.

Je ne répond pas et je tourne la tête vers la fenêtre. L'architecture de la ville m'avais manqué , enfaite tout de cette ville m'avais manqué , cet odeur qui flotte dans les airs , cette liberté de déambuler dans les rues sans jugement peu importe ce que tu mets , et encore la liste est longue .

Je me rappele avoir fais ce trajet de San Francisco à notre communauté avec mon père après avoir livrer notre commande .

" C'était une journée de printemps , le ciel commence de se dégager des nuages grisâtre, et la neige commence à déserté. Une douce chaleur commence à se faire sentir et mon père est très heureux du revenu de son travail . En général, Il n'a pas un travail précis . Mais comme il dit toujours : mieux savoir un peu de tout que de se spécialiser dans une seule chose , bien que pour moi de puis mon jeune âge je n'étais jamais totalement d'accord avec sa théorie, mais en avançant dans la vie j'ai su que ses conseils viennent de son expérience ce qui a joué en faveur de sa sagesse. J' avais quatre ans et si j'avais su , que c'était la dernière saison que je vais y passer avec lui , j'aurais tout donner pour passer chaque minute avec lui.

La Roue TourneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant