Chapitre 14

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La journée a passé plus ou moins bien , tantôt en larme , tantôt en rire et la bonne ambiance . J'ai pu mettre ma mère au courrant qu'elle est devenu grand mère , mais sa joie n'était pas au rendez vous . J'ai mit cela sur le compte de notre journée pleine de sensations forte . On a parlé un peu du train qu' à prit nos vies et la conversation à vite dériver sur l'identité du beau brun dans le salon . J'ai du lui expliqué sans lui révéler la vérité, hotant volontairement la partie consernant le père de ma fille . Résultat,  elle pense que c'est lui son père.  On a parlé de nos vies respectives sans abordé le vifs sujet .

Je la laisse dans sa chambre , sentant  qu'elle est pas loin de sombré dans un sommeil profond , après avoir saluer et gratifier d'un baiser sur le front . Je ferme la porte doucement, et descend à la recherche de mon supposé fiancé qui ne tardera pas à l'être. 
Je le trouve debout dans le salon devant la cheminé entrain de contempler les quelques cadres de photos qui traîne là bas , je m'approche doucement et l'enlace de derrière,  Je depose un baiser sur sa nuque et il frissonne .

_ Pardon .

Il se retourne et me prend dans ses bras , son étreinte est douce mais ferme.

_ Je le savais que tôt ou tard sa arrivera.  Declare t il simplement. 

Je prends sa main et lui demande de me suivre , je le fait monter à l'étage,  et on entre dans mon ancien cocon . Ma chambre est intacte rien n'a changé à par le lit défait qui affirme ce que me mère ma déjà annoncé.  Elle venait chaque fois que je lui manque , et prend place dans mon lit . La chambre est entretenue , tout est propre et sa me réchauffe le coeur  . Je raconte à mon copain mon entretien avec ma mère .

_ C'est bien que tu fais abstraction quelque temps de tes tournements et tu retrouve ta relation avec ta mère. 

_Tu trouve ! Je m'exclame surprise par son comportement totalement différent d'avant. 

_ Tu en avais besoin . Je sais qu' au fond de toi tu es quelqu'un de très sensible , tu gardes tout pour toi , et ça  ce n'est pas bon pour ta santé.  J'ai pu à travers toutes ses années  décrypter tes faits et gestes et je savais que la crise que tu as eu n'est que le minim de ce que tu ressens . Et la fille brisée par sa mère autre fois à  besoin de s'expliquer avec cette dernière . Alors que maintenant une sérénité différente s'exprime sur ton jolie minois . Dit il en m'embrassant sur le nez .

Je rigole en face de son geste et l'enlace . Il a su voir au delà que surface reflète . Je me relève de mon lit et ouvre mon armoire , une odeur de lavande se fait ressentir . Je prends un vieux t-shirt  qui appartenait à mon père et change ma chemise mouillée par nos larmes . Je prends quelques affaires qui m'appartiennent   qu'autrefois je n'avais pas la chance de le faire , je prends surtout ceux qui ont plus une signification émotionnelle et un livre que mon père m'a dédié avant de mourir  me conseillant de le lire qu'après mes vingtaine , chose que je n'ai jamais fait . Un petit sac à dos que je le mettai sous le lit trône encore , je mets tout dedans . Je prends une feuille et laisse un mot à ma mère pour qu'elle ne se sente pas triste et que je l'assurerai que je reviendrai la voir mais avec ma fille bien sur . On descend les escaliers et je laisse la feuille sur le pot de fruit au cuisine car la connaissant c'est ici qu'elle cherchera . Une petite habitude qui c'est installé entre nous . Je ferme la porte que quelques minutes encore j'avais le traque de m'y engouffrer  . Et on prend la route de retour dans une ambiance plus détendu, un air de taquinerie qui emplie la voiture , et mon appétit retour au galope se manifestant par des bruits gênants.

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Mon chère copain me depose devant le restaurant convoité et s'éloigne pour garé la voiture , Kamelia et Clara sont dans le restaurant,  car on a du les informer pour se rejoindre ici .

La Roue TourneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant