♡ Chapitre 4 : Cole

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On va chez nous

Cette phrase me fait un effet de malade. Je la prends par la main, en entrelaçant nos doigts, et l'emmène avec moi à l'extérieur de la salle. Nous avançons jusqu'à ma voiture sans un mot. Putain, je n'en reviens pas, elle m'a embrassé ! Mon cœur bat à cent à l'heure, j'ai tellement peur qu'elle change d'avis, je crois que je ne m'en remettrai pas. Nous entrons à l'intérieur et avant que je ne mette le contact, je pose la main sur sa cuisse et l'embrasse tendrement. Mon autre main caresse sa joue et je stoppe notre baiser pour la regarder. J'ai l'impression d'avoir réalisé un rêve, d'avoir atteint un but qui fait prendre un sens à ma vie.

_ Démarre.

Je souris et m'exécute. Le trajet n'est pas très long, heureusement parce que pour la première fois de ma vie, j'ai hâte de rentrer chez moi. Chez nous. Une fois entrer dans l'immeuble, j'en peux plus d'attendre, je la plaque contre le mur de la cage d'escalier, lui écarte les cuisses et passe ma jambe au milieu. Je vois dans son regard qu'elle est aussi pressée que moi, j'ai le sentiment d'avoir attendu ce moment toute la vie. Je plaque mes lèvres contre les siennes et c'est reparti pour un baiser torride. Ma langue passe la barrière de ses lèvres pour une danse endiablée. Je commence à être vraiment à l'étroit dans mon pantalon, s'en est presque douloureux tellement elle me fait de l'effet. Ma main passe dans ses cheveux, je serre mon poing et tire légèrement dessus pour lui faire basculer la tête en arrière pendant que ma bouche quitte la sienne pour se perdre dans son cou. Je descends progressivement jusqu'à la naissance de ses seins. Je les ai tant désirées, tant imaginé que je n'en peux plus, je veux les voir maintenant. Mes mains se placent sur ses épaules nues, et font descendre progressivement le tissu de sa robe qui tombait négligemment de chaque côté. Je libère ses seins, elle ne porte pas de soutien-gorge. Ils sont magnifiques, plus beaux que je ne les avais imaginées encore. Ma main se pose sur l'un d'eux et le malaxe pendant que ma bouche s'occupe du deuxième. C'est nouveau pour moi tout ça, d'habitude je ne m'attarde pas trop sur la fille, mais avec elle, c'est différent, j'ai envie de lui faire plaisir, je ne rêve plus que de la faire jouir. Ma bouche lèche son sein, elle gémit ce qui me fait perdre encore plus le contrôle. Il reste encore un étage avant d'arriver à mon appart. Je passe mes mains derrière ses cuisses et la soulève. Elle enroule ses jambes autour de moi, pendant que ses bras prennent place sur mes épaules et je nous fais monter les dernières marches qui nous sépare de chez nous. À peine la porte franchit, je jette à terre tout ce qui est posé sur le meuble de mon entrée et la pose dessus. Elle a toujours ses mains autour de mes épaules et elle m'attire à elle pour m'embrasser. Ses jambes sont écartées et je me suis placé au milieu. Mes deux mains se posent sur ses cuisses et l'une d'elles se glisse jusqu'à la dentelle de son sous-vêtement. Je la caresse par-dessus le tissu qui est déjà mouillé pour moi. Putain, elle va me rendre dingue. Je décale son string et mes doigts trouvent rapidement son bouton de chair. Je joue avec, dans la pièce, on entend que nos souffles saccadés et les gémissements qu'elle ne peut plus retenir. Je glisse un doigt en elle, elle plante ses ongles sur mon épaule.

_ Tu sors les griffes?

Je lui murmure ça en accélérant les mouvements de mes doigts et je n'attends plus qu'une chose, qu'elle joui pour moi. Incapable de me répondre, elle gémit de plus en plus fort jusqu'à ce qu'elle emprisonne mon doigt à l'intérieur d'elle. Son corps se relâche, mais je n'en ai pas fini avec elle. J'ai tellement imaginé ce moment, j'en ai rêvé tant de fois, qu'il est hors de question que je ne lui fasse pas tout ce que j'ai toujours rêvé de lui faire. Je détache la fermeture éclair qui est sur le devant de sa tenue et je la porte jusqu'à ma chambre en prenant bien soin que la robe reste sagement sur le meuble de l'entrée. Je l'allonge sur le lit, quitte ma chemise et me place au-dessus d'elle en lui disant.

_ Si tu savais le nombre de fois où j'ai rêvé de te rejoindre dans ce lit pour te faire l'amour toute la nuit.

Brusquement, elle inverse les rôles et se place au-dessus de moi. De sa langue, elle caresse mon torse descendant de plus en plus. Elle fait descendre mon pantalon, puis mon boxer. Je brûle de désir pour elle et maintenant, elle ne peux que le savoir.

...

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➤ Et Si C'était Cole ? [Tome Deux ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant