Thirty four

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Deux octobre, dix sept heure trente,
Dans le bureau du président,
Point de vue de Kassy,

Benjamin nous a fais écouter un enregistrement où on entend clairement parler Ederson et il dis des choses pas très ouf. Je me suis décomposé tout le long et la main de Ben s'est trouvé rassurante.

"Vous avez eu ça où Benjamin? Dis le président.
- Quand je suis allé à la douche, il était au téléphone et je me suis dis qu'il valait mieux que j'enregistre pour faire écouter ça.
- Je vois. Merci monsieur Mendy.
- Merci à vous."

On est sorti du bureau et on est dans la voiture de Ben mais je n'ai toujours rien dis, lui non plus d'ailleurs. Le trajet jusqu'à la maison s'est fais dans le calme et dès que nous sommes arrivés je suis allé sous la douche. L'eau chaude coule sur mon corps et mes yeux sont fermés, je me laisse allé dans mes pensées lorsque mon téléphone sonne. Je sors rapidement et lorsque que je vis écris son nom, je décroche à contre cœur.

"Oui ?
- Ma chérie, ton ami m'a dis que tu habitais avec ce garçon, pourquoi ne pas me l'avoir dis?
- Et toi, pourquoi ?
- Ma chérie...
- Ecoute maman maintenant ça suffit. Tu vas me laisser un peu d'accord, je ne suis pas prête à te pardonner. Alors oui j'habite avec Benjamin et tout se passe très bien. Maintenant je ne veux plus que tu m'appelle. Tu m'as assez fais de mal. Merci et au revoir. "

J'ai raccroché et j'ai enfilé une serviette de bain autour de mon corps, Ben tape et lorsque je lui dis d'entrer, il obéis.

"C'était ta mère encore ?
- Oui, encore comme tu dis. Il vient me prendre dans ses bras et me serre contre lui.
- Va peut-être falloir que tu mette tout au clair avec elle tu le sais ?
- Je n'en ai pas envie, elle m'a assez fais de mal comme ça.
- Je sais bien .. Bon allez habille toi, nous aussi faut qu'on parle après. Il se détache de mon corps mais je le retiens par la main.
- Dis moi ..
- Après buzz, habille toi."

Je soupire et je met seulement des sous-vêtements en dentelles rouge et je descend au salon. Je vois son regard se poser sur moi et un sourire se dessine sur son visage. Je vais m'installer à ses côtés et je pose mon visage sur son épaule.

"Alors tu veux qu'on parle de quoi ? Je le sens un peu gêné et j'apprécie ça.
- De Ederson .. C'est vrai que tu as dis que c'était un joueur important ?
- Oui c'est ce que j'ai dis au président, je ne me voyais pas lui dire que c'était un con ou autres. Puis j'ai dis la vérité il est important quand même..
- Pas faux mais bon, je suis sûr que c'est par rapport à ça qu'il l'a repris.
- Je le pense aussi et crois moi que je m'en veux, je n'aurais jamais dû dire ça.
- C'est rien. Bon sinon, ta première journée avec Max dans le bureau c'était comment ?
- Normal, on a pas beaucoup parlé, on a surtout bien bossé, puis ça me rassure de le savoir tout le temps là. Au moins Ederson ne pourra rien me faire.
- Ca on est d'accord.. C'est rassurant.
- Ca va pas bébou ?
- Si si c'est juste que je commence a avoir drôlement chaud là .."

Après ses mots je souris en coin et je me décide à venir me mettre à califourchon sur lui. J'enroule mes bras autour de son cou et je viens embrasser sa joue.

"Il ne fais pas si chaud pourtant.. Je viens doucement mordiller le lobe de son oreille tout en souriant. Ses mains glissent alors sur mes hanches.
- Je t'assure que si il fais très chaud.. Sa voix est très douce et il a parlé à voix basse.
- C'est une impression mon amour.. Je fais glisser une main sur son torse. Mais on peut éventuellement remédier à ça. "

Je viens retirer son haut délicatement et il ne refuse pas. il se laisse faire et ses mains parcours mon corps tout en restant dans le respect. Elle glisse de mes hanches à mon dos, de mon dos à ma nuque, de ma nuque à mes cuisses. Mais rien de plus. Je viens alors me poser à ses côtés et j'embrasse son cou délicatement alors que ma main se positionne à l'intérieur de sa cuisse.

"Bébé tu es sûre de toi..?
- Plus que jamais mon amour.. "

Mes baisers descendent sur son torse et je lui offre du plaisir grâce à ma bouche. C'est ma première fois mais je suis totalement rassuré, à l'aise. Je ne reculerais pas, j'ai envie de cet homme. 

Secret loveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant