Est-ce suffisant ? [Terminée]

039

《Friend ?》

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Maman : On n'y manquerait pas.

On a repris la route et on est rentré at home.

  [...]Le lendemain

Il est six heure du matin, je viens de sortir de la douche, je me mets de la crème vite fait, je prends mon uniforme et je vois qu'il est froissé. Lui, il est froissé et l'autre est sale.

Bon j'ai encore le temps de le repasser, on rentre à 8h quand-même. Je suis allée prendre le fer à repasser et je me suis mise au travail.

Pendant que je repassais je me suis mise à penser au rêve que j'ai fait cette nuit. C'était bizarre, je crois qu'ils m'ont mis des choses dans la tête avec leur conversation d'hier parce que j'ai rêvé d'Emmanuel.

Le gars il plaisantait et toi tu te mets à imaginer des choses dans la tête ? T'es vraiment folle ma petite Madina.

C'est pas de ma faute si mon esprit divague, je ne sais même p......MA TENUE !

En moins de cinq secondes j'aurai brûler mon uniforme, il faut que je me reprenne...

Je finis vite, je m'habille, mets du mascara, du gloss et c'est tout. Je me snappe comme à ma grande habitude.

Je salue maman dans sa chambre et je descends saluer papa au salon puis je prends la route il était déjà 7h. Je ne prends pas de petit déjeuner surtout si c'est de si bon matin, si je dois prendre le petit dej ça serait peut-être entre 10h-11h-12h ou quand j'aurai faim.

Bref j'ai conduit jusqu'à l'université.

J'entre dans la classe et y avait que trois personnes, il n'est pas encore l'heure.

J'ai mis mes écouteurs, deux minutes plus tard je vois Badjan qui se place à mes côtés.

Moi : Oui ?

Badjan : Ça va ?

C'est mon voisin postérieur, il est derrière moi quoi.

Moi : Oui et toi ?

Badjan : Ça va aussi. N'est ce pas que toi tu parles pas aux gens ?

Moi : Je te parle là non ?

Badjan : Coup de chance. *rigole*

Moi : ...

Badjan : Sinon ?

Moi : Calme.

Badjan : Je peux te poser une question ?

Moi : Oui mais je ne te garantis pas la réponse.

Badjan : T'es sérieuse ? _en rigolant

Moi : C'est comme ça.

Badjan : Ok. _en rigolant

Moi : ...

Badjan : Pourquoi quand on ne te parle pas tu ne parles pas ?

Moi : Comment ?

Badjan : Je te vois jamais venir vers les autres. Tu ne t'ajoutes pas aux conversations des autres.

Moi : Je peux pas m'inscruter non plus, je ne suis pas une commère. Tant qu'on me demande pas je vais pas parler.

Badjan : Oui mais il faut souvent venir vers les autres, ne reste pas juste avec tes voisins.