Retrouvailles en Angleterre

Chapitre 20

Dix heures venait de sonner, presque tous le monde était au salon. Chacun bavardait gaiment de tout et de rien.
Quand Lise fit son entrée avec une valise à la main la traînant jusqu'à l'entrée sous le regard de Mya.

- Heu ... maman tu fais quoi là ? Demanda-t'elle en fronçant les sourcils.

Aussitôt sa mère se stoppa pour se retournait vers sa fille un sourire aux lèvres. - Ton père et moi sommes attendus en Australie pour faire un coucou à nos cousins.

L'incompréhension se lisait aisément sur le doux visage de la blonde. - Comment ça se fait que je ne l'ai pas su plus tôt ?

- On avait oublié de te prévenir. Ils viennent de nous appeler pour confirmer. Mentit sa mère en ayant une pointe de regret de lui cacher. - Occupe-toi bien des enfants.

Elle les quitta en emportant son mari à la hâte, sans leur laisser le temp de bien assimiler.

- He bien ... je ne savais pas que j'ai des cousins Australiens. Murmura Mya en observant à la fenêtre, la voiture grise de ses parents partir en trombe.

Puis ce fut au tour d'Alexander et Molly de partir pour une raison assez vague.

- J'ai quelques problèmes avec une des entreprises et puis j'ai promis à Molly de lui faire visiter les lieux incontournables à Strowester. Avait expliqué Alexander avant de disparaître avec Molly chercher leurs affaires à l'étage.

Cinq minutes plus tard Mya et Jacob étaient seuls avec les deux enfants qui jouaient calmement dans le salon.

- J'ai pas bien compris là ! En dix minutes on se retrouve seuls, c'est quoi se bazar ? S'exclama la jeune femme en s'asseyant dans un fauteuil.

Elle prit son visage entre les mains pour réfléchir sous le regard amusé de Jacob. Ce dernier avait tout comprit et était même content qu'ils soient tous partis.

- Oh non, ils n'ont pas fait ça ! S'écria la Duchesse en se précipitant sur le téléphone fixe.

Elle a comprit, pensa Jacob en se servant une seconde tasse de café noir.

A chaque numéro, elle tombait sur la messagerie l'agaçant au plus haut niveau.
Alors elle se contenta de laisser des messages vocaux.

- J'ai compris votre manigance mais sachez que Jacob et moi, nous allons pour bien chacun alors éviter de vous mettre des choses farfelues dans vos têtes. Sur ce bonne vacances à vous.

Elle finit par remettre l'appareil sur son socle et retourna à la cuisine prendre du thé à la menthe.

- Tu devrais te calmer, ils font ça pour nous. Expliqua Jacob en s'approchant du dos de son épouse.

- Oui justement, ils n'ont pas à se mêler de notre histoire, Jacob. S'écria la jeune femme se retournant vers lui, le regard meurtrier.

- Pourquoi cela t'impacts tant qu'on se retrouve tout les deux avec des enfants ? S'agaça l'homme en venant la bloquer contre l'évier.

Elle ne répondit rien en fixant ces yeux noirs, si puissant ayant des pouvoirs surnaturels sur sa personne. Puis ses yeux divaguèrent jusqu'à sa bouche, légèrement cacher par une barbe bien garnie mais tout de même soignée.

- Arrête de me fixer comme cela, je vais pas résister, il y a les enfants n'oublis pas. Susurre-t'il d'une voix roque, en se reculant légèrement.

Aussitôt sans écouter ses paroles pourtant juste, Mya sauta dans ces bras. Il la rattrapa aisément en enroulant ses bras contres ses hanches. Elle agrippa son cou où elle déferla des baisers passionnés.

Il manqua de soupirer un râle de plaisir mais l'image des enfants pouvant les vous ainsi, le fit revenir sur terre.

- Mya garde tes ardeurs pour se soir, n'oublie par que les enfants peuvent nous voir. Exprima-t'il lentement sentant sa voix dérailler à chaque syllabe.

La jeune femme retomba sur ses pieds, un sourire aux lèvres malgré sa frustration. Puis elle releva sa tête vers celle de son mari, qui ne quitter pas un instant.

- Tu es encore plus viril quand tu me stoppe, mon chou. Lui chuchota-t'elle avant de se retourner puis de déguerpir contente d'elle-même.

- Mya, tu es la femme la plus ... bipolaire. Entendit-elle de la cuisine.

Elle ne fit aucun commentaire à son mari qui resta dans la cuisine pour téléphoner, changeant son programme pour rester à Londres quelques temps. La jeune femme s'assit avec ses neveux pour jouets tantôt à la poupée tantôt aux petites voitures.

Tout semblait avoir été prévu pour qu'ils restèrent tous les quatre. Les repas attendaient dans le frigo, des instructions avaient été écrites sur une feuille plaquer contre le porte de réfrigérateur. Tout avait été pensée pour les laissaient seuls, les laisser se rapprocher pour qu'ils redeviennent comme avant.

𝑆𝑎𝑙𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑡𝑜𝑢𝑠, 𝑗𝑒 𝑠𝑜𝑢ℎ𝑎𝑖𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑙𝑙𝑒𝑧 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑏𝑖𝑒𝑛.

𝐽𝑒 𝑡𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑎̀ 𝑟𝑒𝑚𝑒𝑟𝑐𝑖𝑒𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝 𝑑𝑒 𝑙𝑖𝑟𝑒 𝑚𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒𝑠, 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑠𝑠𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑠. 𝐽𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑡 𝑐̧𝑎 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑠𝑖𝑟.

𝐽'𝑎𝑖𝑚𝑒𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑢𝑟𝑎𝑔𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑟 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛 𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑒́𝑣𝑖𝑡𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑎𝑔𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑣𝑖𝑟𝑢𝑠 🦠
𝐽𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟 𝑙'𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑜𝑢 𝑞𝑢𝑜𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑡, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑎𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑞𝑢𝑒 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒. 𝐸𝑡 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑖𝑙 𝑦 𝑎𝑢𝑟𝑎 𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑎 𝑎𝑡𝑡𝑟𝑎𝑝𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑟𝑢𝑠, 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑖𝑙 𝑦 𝑎𝑢𝑟𝑎 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑙𝑎𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑟𝑡.

𝑆𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑙𝑎, 𝑏𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑎𝑔𝑒 𝑎̀ 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑖