The Eyes Of The Death Tome 2 (EN CORRECTION)

Chapitre 21

La mort est parfois douce, parfois brutale, peux importais de savoir comment mourrais une personne, ce qui importait surtout était la raison de son trépas, une naissances pour une mort, un bien pour un mal, telle était le principe de la vie, telle était le principe de la mort, voilà le contenue du contrat que chaque esprit signe avant de rejoindre un corps et de rejoindre ce monde.

Je courais encore, le vent soufflait d'une force incroyable cette nuit la, je me sentais légèrement dépasser, mais durant ce moment, une aide qui pourtant n'était jamais loin, refait son apparition, telle une image sortie de l'ombre, telle un prédateur voulant sa proie, elle pris la place que je lui laissais.

La cadence changea, elle était plus régulière, je savais qu'elle était protectrice, c'est ce qui fait sa force, mais le lien lui la rendait encore plus forte.

Alors que nous atteignons l'endroit, je repris le contrôle de ce corps qui était encore nouveau pour moi, je vis au loin quelques lumières, je m'approche alors doucement, je commence à percevoir quelques voix, la coeur battant, j'écoute attentivement les discussions, je peux y reconnaître la voix de cette femme à la langue de vipère, et je reconnaît aussi la voix de seth, un soulagement survient, il vas bien, c'est tout ce que je voulais savoir.

Je continue de m'approcher, alors que j'arrivais je me cache dans la pénombre et me met à observer et à écouter la scène devant moi.

Seth debout, entourer de 15 hommes environs, crocs et griffes sortie, devant cette meute à l'aura menaçante, se trouve mathilda accompagné de 10 hommes environs.

-Mathilda que fais tu ?

-Je reprend ce qui me revient de droit

Sa phrase n'était même pas calme, dlle l'avait hurler puis seth reprend...

-Je ne suis pas à toi, et ton âme-soeur alors ?!

Seth lève la voix de façon autoritaire, ce qui me fait frémir, mais pourtant ce n'est absolument pas le bon moment.

-Je m'en fiche, je ne veux pas d'âme-soeur.

Je vis rouge à ce moment et je sortis de la pénombre, je me retrouvait alors derrière la meute de seth, chacun me laissa passer, seth me regarda avec un air réprobateur fixer sur son visage, je grognait en passant ce qui le fît souffler, alors que je marchais d'une démarche assurée, mathilda fît reculer ses hommes.

Face à face, elle et moi, je demandais à taïga de dire à tout le monde que c'était entre elle et moi.

-Les gars je m'en occupe, ne faite rien.

Ce n'était pas ma voix non, c'était celle de mathilda, je lui montrais mes crocs, je grognais de façon bestiale, une menace, elle se transforme à son tour.

Nous nous tournons autours, elle avait oser rejeter mon frère, je poussais un autre grognement tout en continuant de la menacer avec mes crocs sorties, elle voulait me prendre mon âme-soeur, elle n'avait pas le droit, je poussais un grognement menaçant.

Elle commença en prenant appuie sur ses pattes et sauta sur moi, taïga me mis de côté et pris possession du corps, juste à temps, elle esquiva l'attaque de justesse, face à mathilda, se regardant en chien de Fayence, nous nous tournons autour, je me jette sur elle à mon tour, elle se recule, ma patte atteint de justesse son épaules.

Les griffures ne sont que bénigne, mathilda entra dans une rage folle, elle hurla avant de se jetter sur moi, j'essaye de l'esquiver mais je me prend un coup de patte sur le museau, je lâche un couinement, seth grogne, je me tourne vers lui et grogne à mon tour, il ne dit plus rien mais son regard veux tout dire, il veux lui-même la tuer.

Je me retourne vers mathilda, je me jette à mon tour sur elle, elle se jette aussi sur moi, je me retourne et lui griffes le flanc, tandis qu'elle me griffe la cuisse, nous atterrissons sur le sol, face à face, ce jeux du chat et de la souris promettais d'être long.

Joue ma fille tu comprendras dans peu de temps comment je m'appelle.

La voix de taïga raisonnait dans ma tête, empli de rage et de haine, elle ne voulait qu'une chose, cette chose l'enverrais au pays des songes pour l'éternité, elle ressentait ce mot tellement profondément, que même la haine était un mot trop peu fort pour décrire à quelle point elle voulais la mort de mathilda.