Chapitre 27

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Je me réveillais ce matin, j'étais à moitié endormis, je pensais à hier soir, le sujet dont on avait discuter avec seth.

Mon frère.

J'étais décider à retourner le voir aujourd'hui, il avait besoin de moi, mais surout, je me sentais mal de le laisser affronter cette épreuve seul.

Je m'étais décidé à aller le voir, j'étais déterminé, il fallait que je le fasse, pour lui, pour moi, pour seth...

Une fois prête lewis m'avait proposer de m'accompagner, j'avais accepter, seth ayant ses obligations, puis cela me soulageais, je n'étais pas seule à affronter cette épreuve. Durant le trajet, lewis avait essayer de me déstresser, il acait essayer de me rassurer.

-Je suis la... ne t'en fait pas.

Sa voix contenait de l'appréhension mais aussi du soutien, je tournais ma tête vers lui, et lui fît un petit sourire en signe que j'allais bien. Lewis me sourit en retour.

Une fois arriver, le stresse monta d'un seul coup, devant l'hôpital, je levais les yeux vers les fenêtres, je savais à l'avance que ce qui se passerais, augmenterait ma peine rncore d'un cran. Comme pour me deonner du courage, je ferme mes yeux, j'inspire profondément une grande bouffer d'air, ensuite j'expire doucement.

Je remet ma tête droite, j'ouvre les yeux, lewis vient à côté de moi, je tourne ma tête vers lui, une expression sur son visage m'indiquait le soutien qu'il voulait me transmettre.

Il mit une main sur mon épaule, avant d'avancer vers les portes du bâtiments. Je le suivie de près, alors que les portes s'ouvre une odeur de médicament, de produit détergent m'agresse les narines, j'avais oublier ce passage la, j'avais oublier l'odeur que cela avait, l'odeur de la mort.

Alors que j'avançais jusqu'à l'accueil, je vois des gens, triste, en larmes, un sentiments de peine me submerge, je me remémore alors les fois ou je suis venue ici, je commence à avoir du mal à respirer, je rappel c'est moment où, je ne sais combien de fois j'avais essayer de faire sortir mon frère de cet endroit sordide.

Lewis se retourna vers moi, son regard inquiet, me demandant sûrement si j'allais y arriver, je hochais de la tête, il vient près de moi et pose un bras sur mes épaules, son soutient me permet enfin d'avancer, une fois arriver devant l'ascenseur, nous l'attendons.

Je stresse légèrement, me demandant à quoi ressemble mon frère aujourd'hui, est-il dans un état déplorable ? Mange t-il correctement ? Est-ce que, au moins il se nourrit ? Dort-il asser ?

Les questions fusaient dans mon esprit, s'écrasent les unes comme les autres contre les parois de mes pensées. Un goût amer se fît ressentir au plus profond de ma gorge, voilà le goût qu'elle avait, cette tristesse, le sentiment d'impuissance quand à lui, il allait sûrement revenir au galop, je l'avais déjà ressentie plusieurs fois, quand je voyais mon frère dans l'état qu'il était.

Le bruit de l'ascenseur signifiant son arriver me fît sursauter, lewis entra en premier. J'hésitais, oui, j'hésitais à passer cette porte qui m'emmènerait vers ma propre peine, mais, pour lui, pour mon frère je me devais de passer celle-ci. Je mis un pied dans celui-ci, les portes se referment, lewis appuie sur le 4ème étages, l'ascenseur pars donc, 1ère étage, je stresse, 2ème étages, j'angoisse, 3ème étages, les larmes menacent, 4ème étages j'ai peur.

Nous y voilà je sors de l'ascenseur, je tourne sur ma gauche, les murs blancs, les portes en métal forgé, une impression de cellules, des gardes postés devant chaque porte, l'angoisse me saisis je n'ai plus la force de faire un pas. La peur crispe chacun de mes muscles, lewis, un air d'inquiétude fixer sur le visage me regarde.

Il pose une main sur mon épaule et m'aide à avancer. Nous atteignons la cellule 407. Les deux gardes nous voient, ils nous saluent, puis s'écartent, j'avance et leve ma main en direction de le poignée, je n'ose pas la toucher, comme si elle allait me brûler, comme si elle allait me détruire, comme si elle était dangereuse.

Prise d'un élan de courage, je pose ma main sur la poignée. Je suis englouties par les émotions, les larmes tombe silencieusement, personnes ne fait un seule bruit, j'avais peur, peur pour lui, pour mon frère, peur d'avoir mal, peur de souffrir.

J'ouvre enfin cette porte qui me sépare de ma tristesse, car oui, je le sais, je le sens, je vais souffrir. La porte s'ouvre doucement, et ce que je vois est encore pire que tout ce que j'avais pus imaginer.

The Eyes Of The Death Tome 2 (EN CORRECTION) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant