The Eyes Of The Death Tome 2 (EN CORRECTION)

Chapitre 32

-Bon écoute tu sais que quoi qu'il arrive je serais la hein ?

Je hochais la tête en sa direction afin qu'il comprenne que j'étais d'accord avec ses dires, puis il repris.

-Alors sache que je suis prêt à tout entendre, mais... si il faut garder sa secret alors je ne te demande qu'une chose...

Il mît en suspend sa phrase, le stresse monta en moi, j'étais prête à exploser telle un volcan en éruption, j'étais pendue au bout de ses lèvres, j'attendais, j'attendais qu'il me dise, qu'il développe ce qu'il voulait me dire avec des mots, ce qui ne tarda pas à arriver.

-Dit moi toujours tout à partir de maintenant, tout les changements, les nouveautés, je veux absolument et je dit bien absolument TOUT savoir.

Il avait bien insisté sur le tout, expriment ainsi son désir de faire partie de cette aventure qui allait très certainement être mouvementée, prochainement et même très rapidement.

Lewis lui expliqua alors tout ce qui s'était passer, l'histoire étant petite, ainsi que le faite que je pouvais pas me transformer, mais aussi, la maladie, le marquage qui m'avait sauver la vie, la revendication et enfin l'acceptation du lien de la meute qui était survenue lors de l'acceptation de la revendication. Ensuite je pris le relais pour lui expliquer ce que nous savions à l'heure d'aujourd'hui.

-On ne sais toujours pas à quoi c'est due, mais... je me transforme en loup, le problème sais que je n'ai pas eu assez de sang étant jeune, le marquage et la revendication ne transforme pas un éphémère en loup, la seule personne qui peut savoir ça c'est... l'homme qui à fait la cérémonie, le fils de la lune et du soleil...

Après avoir fini ma phrase, mon frère posa sa tête entre ses mains, cherchant sûrement des réponses lui aussi, mais je n'y étais pas du tout, il releva son visage vers moi, avant de me poser une question qui me laissa perplexe, mais le ton de sa voix était sérieuse et ne laissait aucune trace à la plaisanterie.

-Tu... tu te... transforme ?

Sa phrase était prononcé comme si tout lui paraissait irréelle, comme si tout ce que nous venions de lui révéler était absurde, pourtant aucun de nous, ni lewis, ni moi n'avions ne serait-ce qu'eux un rictus moqueur ou même un air de plaisanterie sur nos visages, non, nous étions sérieux depuis le début.

Comme pour confirmer tout cela, je me leva, et me mis derrière le canapé, je me baissa et enleva mes vêtements, je me transforme, je met quelques minutes à le faire, n'ayant pas l'habitude de changer de forme, tout cela était récent pour moi, évidemment taïga ne m'aidais que rarement, mais la s'était aussi pour son frère, alors elle pris les devants et se métamorphosa en cette étrange animal qui m'était encore impossible à cerner et à faire bouger totalement.

Je sortis sous cette forme de canidé de derrière le canapé et viens me poser devant mon frère, je m'assieds et attend sa réaction.

Les yeux ouvert en grand, une main devant sa bouche, il ne dit rien, il me regarde, comme si il était effrayée, choquée, il ne comprenais sûrement pas comment, comment je pouvais être comme cela, d'un geste timide et mal assurer, il leva son autre main, il l'avança dans ma direction, du bout des doigts, il toucha le dessus de mon museau, puis il fit glisser ses doigts jusqu'au haut de mon crâne, la paume de sa main suivie.

Je ne bougeais pas, j'étais stresser, je ne voulais pas l'effrayer plus qu'il ne l'était déjà à ce moment la, bien évidemment, je me doutais qu'il aurait des appréhensions vis à vis de cette nouvelle, mais son regard me montrait surtout de l'incompréhension, il tourna son visage vers lewis, un air de doute planait dessus, comment ? Pourquoi ?

Lewis, quand à lui, il haussa des épaules avec un air sur son visage qui indiquait que l'on ne savait pas encore.

Aucun mots n'étaient prononcé, le silence était bien présent dans la pièce, lewis et moi, observions mon frère, quand à lui, il réfléchissait, je voyais bien qu'il se battait avec lui-même dans l'espoir de trouver une explication logique à cela, mais rien, il se battait avec ses doutes et ses questions.

Je me met soudainement à reculer, lentement afin de ne pas l'effrayer, et pars dans ma chambre pour reprendre mon enveloppe d'éphémère et m'habiller.

Une fois prête je retourne dans le salon, où personne ne parlait, la discussion risquait d'être encore longue, mais surtout, j'allais devoir répondre à plusieurs questions dont moi-même je n'avais sûrement pas les réponses.