The Eyes Of The Death Tome 2 (EN CORRECTION)

Chapitre 24

Toujours dans mon bain, seth en face de moi, je recouvrit mon corps de mousse comme je le pouvais, afin de tenter de cacher ma nudité, j'étais à ce moment la, légèrement gêner de cette soudaine proximité.

Sa respiration était haletante, comme si il avait parcourue des milliers de kilomètres, mes joues étaient rougies par la gêne d'avoir eu ce genre de pensées et d'avoir été prise en flagrant délit, je baisse les yeux devant cet homme qui est la cause de mes fantasmes, je fixe le sol, quand j'entends des pas sur le sol, je relève la tête.

Il... il est la... juste devant moi, à quelques millimètres de mon visage. Son souffle venant s'écraser sur mes lèvres, je mord ma lèvre inférieur, son regard passe de mes yeux à ma bouche, puis il vient replanter son regard dans le mien.

La tension était palpable, l'électricité qui flottait dans l'air, on aurait presque pu la voir tellement elle fût intense à ce moment la. Le désir pouvait se lire dans son regard, je savais qu'à ce moment la, si l'un de nous deux, prononçait un seul mot, ou ne faisait que le moindre petit geste, tout partirait en vrille.

Je tente de me contenir du mieux que je peut, j'essaye tant bien que mal de retenir un gémissement qui ne demande qu'à passer la barrière de mes lèvres, je sais que nous sommes tout les deux dans cette état d'esprit.

Je contient mon envie de presser sauvagement mes lèvres contre les sienne, cette envie qui me tiraille de l'intérieur, je sens un feu ardent au fond de moi, implorer de le laisser prendre possession de mon corps, prendre possession de moi, m'abandonner à lui complètement, je ne vois que lui, comme si nous étions dans une bulle, une bulle remplis du désir de posséder l'autre.

Je savais qu'il n'attendait qu'un seule geste de ma part, mais moi aussi je n'attendais qu'un seule geste de sa part à lui, cet homme qui à ce moment la, remplis mes pensées, remplis de désir pour lui, je le voulais, je voulais qu'il m'appartienne, entièrement, complètement, je voulais que l'on s'abandonne au prémices de cet acte charnelle et sensuelle.

Tandis que talia prenait son bain, un soudain désir pris possession de moi, mais, il ne venait pas de moi. Je dirigeas vivement mon regard vers la porte, le désir n'avait cesser d'augmenter, je ressentais le besoin pressent d'aller la retrouver, d'aller la prendre dans mes bras, d'assouvir un besoin charnelle, je ressentais l'appel de son corps, l'appel de son désir.

Pris d'une soudaine envie, je me retrouvais quelques seconde plus tard dans l'embrasure de la porte, talia me fixe, et oui ma chérie, ce coup ci tu ne peux pas le nier.

-Ce coup ci ne me dit pas que tu ne pensais à rien...

Je venais de la prendre en flagrant délit, elle fantasmait sur moi, j'étais heureux à ce moment la, mais mon côté bestiale pris le dessus, j'avais besoin de la sentir, besoin de la toucher, quelques secondes après je me retrouvais face à elle.

Aucun de nous ne prononçait de mots, aucun de nous ne faisait le moindre geste. Un fantasme, non, mon fantasme était de la posséder entièrement, la laissant s'aller au prémice du plaisir de ce désir possessif et charnelle.

J'attendais qu'elle me montre un signe, qu'elle dise quelque chose mais non, rien, elle ne fît rien, je baissa alors la tête, je m'apprête à me lever et à repartir de la pièces quand une main vient se poser sur mon épaule, je tourne mon regard vers talia.

-Reste...

Sa phrase était à peine souffler que je fondais sur ses lèvres, les dévorant sauvagement, montrant tout le désir que j'avais pour elle sur le moment, je ressentais comme un satisfaction d'avoir obtenue l'objet de mes désirs.

Je soupir de satisfaction quand je l'entend gémir de bonheur face à se baiser passionner que nous échangeons, à l'intérieur de moi, comme un feu ardent embrasent tout mon être de désir pour elle, pour cette femme qui se trouvais la, nue devant moi, malgré la couche de mousse qui la recouvrais, certaint endroit n'avais pas de mousse, me laissant le plaisir de deviner la naissances de ses courbes envoûtantes.

Je me recule et le regarde dans les yeux, se désir encore en moi.

-Sache que je ne me retiendrais pas...

-Je ne t'ai pas dit de... te retenir...

Sa phrase me surprend mais le désir est bien trop fort pour que je ne m'arrête la dessus, alors je la prend dans mes bras et...