The Eyes Of The Death Tome 2 (EN CORRECTION)

Chapitre 34

-Ma... ma... mathilda...

Il soufflait fortement entre chaque mot, essayant péniblement de reprendre sa respiration. Appuyer, une main sur la poignée et l'autre sur l'encadrement de la porte, il peine à tenir debout.

Je me lève d'un bond et pars le rejoindre, il prend appuie sur moi, je l'aide à venir s'installer sur le canapé, je m'assieds cotéde lui, pendant se temps, lewis part en cuisine chercher un verre d'eau, il revient et le tend à seth, il le prend et le boie d'une traite.

Seth reprend son souffle, nous le regardons tous, attendant enfin ce qu'il voulait nous dire. Il ferma les yeux, inspira profondément avant de reprendre d'une voix hésitante et en même temps mal assurer.

-Mathilda elle.. elle s'est réveiller.

Figée, voilà le mot qui décrit actuellement tout, mon monde s'est figée, le temps avec, chaques muscles, chaques parcelle de ma peau, de mon être, moi, je suis figée.

Mon cerveau s'était arrêter lui aussi, je n'arrivais plus à penser, j'avais sûrement perdu toute couleur, telle un cadavre, je ne bougeais pas, ne respirais plus, je... je... j'étais en état de choc intense.

Seth me pris dans ses bras, il me fis un câlin, son étreinte me prodiguait un sentiment de sureté, d'apaisement, un sentiment rassurant.

Je repris connaissance peu de temps après, je remarque alors que je me suis clairement réfugié dans les  ras de seth.

Talia se détacha de moi, durant cette étreinte, elle tremblait comme une feuille, je savais qu'elle subissait encore le traumatisme de cette petite guerre, faisant le choix entre moi et sa famille.

Je regarde lewis, il semble sous le choque après cela, ayant été mis au courant le lendemain, il s'avait que talia avait subit une vrai torture autant physiquement que moralement. Quand à son frère et bien... il semblait mitigé, une part de lui était heureux, bien évidemment, elle était son âme-soeur donc bien sûr il devrait être heureux, mais, d'un autre côté il jetta un regard inquiet à sa soeur.

Je pouvais comprendre son second point de vue, étant donner que, talia l'avait mit au courant de tout ce qui s'était passer, ça lui à fait un choque, je me suis mis à sa place, et juste imaginer talia ne serait-ce que me refuser le droit de l'aimer me tortura légèrement.

Le lien d'âme-soeur ne fait pas que d'unir deux âmes, mais ils leurs donne aussi quelqu'un pour, ne serait-ce que faire partager sa vie, partager avec quelqu'un qui nous aimeras et à qui l'on rendra cette amour pour toute la vie, voilà le vrai but de l'âme-soeur, voilà surtout la vrai signification, donner et recevoir ce sentiment qui nous rend heureux, ce sentiment qui nous donne des ailes, ce sentiments qui nous offre la joie, une famille, mais surtout un amour sincère et pur.

Talia et son frère s'échangent un regard, l'un et l'autre attendent une réaction, un mot, quoique ce soit qui leurs permettent de connaître les pensées de l'autre. Voyant que l'hésitation continuais je décide de prendre alors la parole.

-Bon ce soir chacun vas se reposer d'accord ? Et demain on ira la voir ça vous vas ?

Son frère me regarde et hoche la tête, un léger sourire aux lèvres, lewis quant à lui, il hoche de la tête et pars dans sa chambre en aidant le frère de talia.

Je baisse mon regard vers talia, elle me sourie chaleureusement, ses bras viennent entourée ma taille, elle me serre fortement dans une étreinte qui me montre qu'elle me remercie.

Je serre seth dans mes bras, sur ce coup la, devant mon frère je... je ne savais pas quoi dire, la situation ne permettais pas, à mon olus grand regret, d'apprécier mathilda.

Alors je le remerciais à l'aide de ce simple geste qui paraît tellement anodin, le remercier de m'avoir aider à prendre une décision, de m'avoir aider, de m'avoir soutenue.

Je le relâche, me lève et pars en direction de notre chambre, car oui, cela fait presque 2 mois que je partage cette chambre avec seth, je n'étais plus habitué à dormir seule et comme nous étions fiancée je trouvais que c'était tout à fait normal de dormir avec lui.

Lewis avait accepter de nous laisser comme cela à condition que ça ne dérape pas même si... il était trop tard pour dire cela, enfin, ça n'avait déraper qu'une seule fois donc, après ça on avait arrêté, même si mes pensées, elle, ne m'aidait aboluement pas.

Allonger sur le lit, seth me rejoint, et dans une douce étreinte rassurante, je pars pour le pays des rêves.