Chapitre 40

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Je m'assieds sur le lit, je repris le livre et l'ouvris à la seconde page.

Et enfin le dernier cas concerne plus particulièrement les âme-soeur...

Voilà ou je m'étais arrêté la dernière fois, je pris une grande inspiration, le courage, oui, j'en avais besoin, lire ce passage me donnais envie de crier, hurler, pleurer. J'étais perdue et mélanger entre diverse sentiments, mais j'avais besoin de savoir ce qu'il en retournais exactement, afin de lever le voile sur certaines questions plus particulièrement, mes questions.

En cas de soucis, ou de conflits dans un couple d'âme-soeur, alors si les 2 sont loups, cela peux parfois déclencher leurs transformation.

Si l'un d'eux est éphémère, alors seule le sang pur d'un loups loups-garous en grande quantité pourra transformer l'éphémère en loup.

D'accord, déjà les deux ne me concerne pas du tout. Je ne comprenais pas, le mystère sur ma transformation resterais intact.

Qu'est-ce que j'espérais trouver au fond de moi ? Des réponses ? Je ricane, lewis, lui qui avait lue et étudié ce livre page par page, ne détenait pas non plus les clés de cdtte boîte de Pandore.

Je soufflais d'agacement et replongeas mon regard vers les écritures de cette science mystique. J'avais beau lire et relire c'est lignes une quinzaine de fois. Rien. Aucuns indices ne m'aidais à savoir, je voulu me tirer les cheveux et hurler de rage, face à toute cette histoire qui ne me premettais aucun répit.

Je voulais crier ma rage au monde entier, lui exprimer mon mécontentement, lui dire que je haïssais de ne me remplir que de doute et d'incertitude. Je voulais pleurer aussi, me lamenter sur mon sort, me dire que j'étais sûrement passer à côté de la vérité, je suis nul, jamais je ne pourrait m'en sortir, jamais je ne saurais.

Face à cela, des larmes déferlent les pentes de mes joues, venant terminer leurs courses sur mes genoux. Je ferme le livre et le pose sur le côté, je m'allonge, plonge mon visage dans l'oreille et hurle, hurle ma rage, pleure ma tristesse, et crie ma peine.

Force de pleurer, je suis prise d'un élan et cours au toilette vomir, j'ai sûrement trop pleurer, le stresse, l'angoisse et la peine devait aussi y être pour quelque chose.

Je me nettoie, une fois fini, je me dirige dans la chambre et décide de me plonger sous mes couvertures. La douceur, ce sentiment de sécurité aussi que cela me prodiguais, m'apaise et je m'endors peu de temps après, vider, vider de tout, de mes doutes, de l'angoisse, de la tristesse, de tout. Je m'endormais en ne pensant à rien et pour la première fois depuis des semaines, j'acquis enfin, un sommeil réparateur.

Je me sens tirer de mon sommeil par un toucher exquis sur ma joue, cette douceur et cette tendresse me procure un moment de joie et de plénitude. Je tourne ma tête sur le côté ce qui approfondie la caresse sur ma joue.

Je papillone des yeux, laissant la lumière agressée mes iris. J'eus l'impression d'être encore plus fatiguer en me réveillant, d'une grâce sans nom, je me met à bailler. J'entendis un léger rire à côté de moi, ce qui me fît revenir aux moment présent.

Vivement je lève le regard vers la personne, seth, aloonger à mes côtés, son sourire craquant, son léger rire moqueur, je rougie et cache mon visage dans l'oreiller.

Une honte magistrale venant de s'abattre sur moi, et qui, je le pense suivra ma descendance dans le futur. Seth quand à lui n'avais cesser de laisser son doux rire, chaud et roque, fendre le silence de la pièces.

Je lui donne un léger coup sur l'épaule, lui montrant ainsi ma gêne, cela ne l'avais pas fais cesser au contraire, cela avait même renforcer son rire qui venait d'ailleurs de se transformer en fou rire.

Je relève mon visage, et dans une tentative qui fût veine, je lui lance un regard qui se veux meurtrier. Ne le voyant pas se calmer je lui tire langue de façon enfantine, je replonge ensuite mon visage sur le tissus qui emprisonne le coton rendant le toucher moelleux, ou pour faire court un oreiller. Je décide de jouer la dernière carte que les enfants utilise généralement, je .... boude.

Cette réaction peu mature je doit l'admettre, réussi quand même son petit effet, car il cesse ses moqueries et me dit cette phrase d'une voix, mi desoler, mi amuser, ce qui à le dont de me faire fondre.

-Ne boude pas ma chérie, tu sais très bien que je serais malheureux sinon....

Suite à cela je me tourne vers lui, et me jette sur ses lèvres. Cette homme est mon point faible.

The Eyes Of The Death Tome 2 (EN CORRECTION) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant