The Eyes Of The Death Tome 2 (EN CORRECTION)

Chapitre 2

Alors que taïga se détacha de seth, elle se mît face à lui, seth se positionna aussi de face, puis elle me laissa le contrôle avec pour seule phrase.

Marque le.

Non j'étais apeurée, elle m'observais du coin de mon esprit, je refusais de la faire, cela m'avais fait attrocement mal, je ne voulais pas le voir souffrir tout comme moi j'avais souffert de cette douleur, qui m'avais pourtant proccure des sensations intense après cela.

Tu veux le priver de ce que toi tu ressent ?

Non

Je hurlais cette phrase à taïga qui continua.

Alors marque le

Est ce qu'il est d'accord ?

Oui il l'est

Comment tu peux le savoir ?

Je le sais c'est tout, maintenant marque le

Prise d'une colère, d'une peur et d'un amour pour lui, j'avais céder face à la pression de taïga, mais je le vis, il n'attendais que cela, depuis le départ, sa posture, son regard, je ressentais tout de lui, je voulais partager avec lui ce flots d'émotions qui au plus profond de moi faisait rage et s'intensifiant au fur et à mesure que mon regard fixais ses yeux, regardais son âme.

Prise d'un élan je fonçais sur lui tout crocs dehors, je sentais qu'enfin nous allions finaliser ce lien dans sa réelle totalité.

Une seconde plus tard mes crocs était planter dans son épaule, ce liquide ferreux entrant en contacts avec ma langue, je ressentis comme si l'on imprégnait tout mon être de lui, j'étais lui, il était moi, ensemble nous ne formions plus qu'une seule et unique âme, réuni, complète, je me sentais vivre respirer.

Je reculais et le regarda dans les yeux, je me sentais vivre à travers son regard, je ne me sentais plus seule, je me sentais apaisé en apercevant ses sentiments, je sentais que je pourrais tout lui donner et cela pour l'éternité.

Durant de longue minutes nos regards ne se quittais plus, je pris conscience que je ne pourrais plus le quitter, je prenais enfin conscience que nous nous appartenions mutuellement.

Toujours dans mes pensées une voix me fît sortir de celle-ci.

Talia

Cette voix, elle ne m'appartenait pas, ni à taïga, ni à seth mais à autre chose, je commençais à paniquer, jetant des regards perdu partout autour de moi, je reculais, j'égais apeurée à l'idée que d'autres perdonne pouvaient infiltrées mes pensées, ma tête, pouvaient rentrer en contact avec moi.

Seth apercevant ma peur s'avança vers moi, il calla sa tête contre moi, je me réfugiait prêt de lui apeurée, recroquevillé sur moi-même, à même le sol froid et dur, je lâchais un léger couinement, les léchouilles de seth me donnais la force de pas sombrer dans l'inquiétude totale de cette situation.

Talia écoute moi, je le connais, écoute le tu verra, il est juste venu se présenter.

Taïga pris la peine de tenter de me rassurer, elle était moi et j'étais elle, donc forcément si elle avait confiance je pouvais lui faire confiance.

D'accord.

Ma voix était petite mais j'avais accepter, je sentis comme mon coeur s'alléger d'un poids qui enserrait mon coeur, ne l'ayant guère remarquer du à la panique dont j'avais fait preuve il y as quelques minutes.

Je m'appel xérès, je suis le côté bestiale de seth ton âme-soeur.

Suite à cela je levais la tête vers le loup, xérès, impressionant, imposant respect et force, je dirigeas mon regard dans le sien et comme si il avait ce dons la, à travers son regard je pouvais y lire qu'il était heureux.

Je reposa ma tête contre lui, je fermais les yeux, épuisée par ce moment intense en sensations, je sombrais peu à peu avant d'atteindre enfin le sommeil profond.

Talia venait de s'endormir, ma louve, son pelage de couleur différente, mais différente sa oui elle l'était, j'espère qu'elle vas bien, j'espère surtout qu'elle est heureuse.

Je ne ressentais que de la peur, de l'inquiétude, du doute émanent d'elle, elle était perdu, je le ressentais, je sentais enfin ce qu'elle aussi avait ressentis à ce moment, ma marque, mon tout, j'étais enfin entier, mon corps, mon coeur et mon âme ne faisaient qu'un avec les siens, elle me combla quand elle m'a mordue, je n'attendais que cela quand elle avait pousser son grognement possessif, provocant en moi des millions de sensations intense.

Je n'en remercierais jamais assez nos dieux de m'avoir enfin unis entièrement pour l'éternité.