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Tu meritais mieux (Yeosang Ateez)

Je ne savais pas pourquoi c'etait toi, c'etait comme une évidence je crois. Comme quelque chose qui se passe ou qui est là et on ne se pose pas de question du pourquoi et du comment. C'est logique et puis c'est tout.
Pour moi, tu étais cette chose évidente. Une chose qui m'étais précieux et d'une valeur indéfini. Mais tu n'étais pas du même avis que moi.
Parce que moi aussi j'etais un homme. Parce que tu cautionnais pas le fait que les gens du même sexe puissent s'aimer. Parce que tu avais peur de ta propre orientation sexuelle... parce que ton pere les haissaient tous alors il ne pouvait pas te hair toi.
Je t'es compris dès le début, j'ai vu ce qui se cachait derrière tes sourires et tes blagues quelque peu déplacé sur les homosexuel. Tu étais ce genre de gars qui refoulait tout ce qu'il pensait et vivait en fonction de ce que la société pense parce que ton pere vivait comme ça.
Tu n'étais pas heureux je le savais, tes sourires étaient tristes, tes yeux toujours brillant de larmes, tes poignets ravagés par ta propre colère. Tu n'etais pas mauvais non, tu avais juste besoin d'aide, d'une main tendue. Cette main je te l'ai tendue, peut etre n'aurais-je paq dû, ca ne se serait sans doute pas passé comme ça
Tu as vu en moi le sauveur que tu cherchais, je te voyais comme une pierre précieuse. Mes heures t'ont été consacrés, mes weekends dédiés. Mes épaules pour te réconforter, mon regard pour t'encourager, mes lèvres pour te sentie aimé et mon cœur... lui t'appartenais déjà depuis longtemps même si tu ne le savais pas.
J'ai vecu pour te protéger, pour t'aimer, te façonner et te rendre ton éclat brillant d'autrefois. Tu as saisi chaque opportunité que je te donnais pour devenir un diamant. Tu devenais éclatant, fier et encore plus beau qu'avant. Ton sourire était sincère, ton regard brillant de vie et de joie, ton coeur allégé par ma présence constante de protecteur. Tu étais aveugle à mes sentiments. Non en faite tu ne voulais tout simplement pas les voir, parce qu'ils t'effrayaient. Aucun homme ne peut aimé un autre. Alors les mots tendre que je te disais était pour toi ceux d'un frère alors que j'y mettais tout ma fièvre amoureuse. Mes gestes doux était simplement ceux d'une personne qui s'inquiète alors qu'ils naissaient d'un sentiment pur et fougueux.
Tu pietinais mon amour propre, ma fierté et mes sentiments parce que tu ne voulais rien voir. Mais au fond de toi avais-je une place dans ton coeur ? Je crois que la réponse est... oui. Tu m'aimais malgré toi, ton regard effrayé mais remplie de chaleur me le disais, tes réactions à mon toucher me le faisait savoir. Tes lèvres se pressent contre les miennes me hurlaient d'aller plus loin.
Mais à chaque fois tu te retractais. Parce que ta peur dépassait tes sentiments envers moi.
Pour toi j'ai tout fait, te montranr une vie pleine de joie et de tendresse. Tu avais presque fini pars te convaincre que nous pouvions nous aimer. J'avais apprécier ton geste, nous deux ta chambre, s'enlacent comme si notre vie en dependait. On avait pas compris que nos vies allaient être bouleversées à ce moment la.
Ton père est rentré plus tôt que prévu. La vision de nos corps collés l'un contre l'autre l'a révulsé. Son poing s'est d'abord échoué sur ma machoire, m'envoyant valser à l'autre bout du lit. L'autre s'est écrasé contre ta tempe te sonnant directement. Il n'avait rien contrôlé mais ne se contrôlait pas lui même. Les coups sont tombés comme de la grêle sur ton corps inconscient. J'ai voulu faire barriere du mien, il a autant souffert que le tien.
Nous nous sommes retrouvés 1h plus tard couvert de sang, ton pere essoufflé s'est enfui je ne sais où. Tu étais toujours inconscient, ton visage presque méconnaissable pars les coup portés.
A l'hôpital on t'as pris en charge rapidement tu etais le plus en danger. Mon monde s'etait écroulé en meme temps que ton corps quelques heures plutôt. Je n'avais pas reussi à te protéger alors que j'en avais fait la promesse. Je suis désolé, je t'aimais et t'aime toujours mais apparemment ce n'était pas assez pour te protéger contre la barbarie de ce monde.
Ces mots je les écris assis sur le côté de ta tombe, les mots qui oppressaient mon coeur et bouleversés mes pensées.
Park SeongHwa.
Ton prenom hante mes lèvres à chaque instant. J'aurais tant voulu que tu sois encore à mes côtés à cet instant présent. Ton pere a été envoyé en prison plur ce qu'il nous a fait. Il le méritait mais toi tu ne meritais mas autant de haine et de dégoût.
Je t'aime... et t'aimerais toujours... Yeosang