LE LIVREUR [TOME 1/BTS, V, LEMON]

#59

Un peu de lime pour vous, mes SPEF (Sucrettes Perverses En Feu)...🔥😈

Enjoy ! 😏

***

DU POINT DE VUE DE V

Cette espèce d'inconsciente ose m'attraper un téton.

- Bordel, la salo...

Pas le temps de m'énerver, ses doigts descendent le long de mon torse, et viennent agripper la ceinture de mon foutu jean, sur lequel elle se met à tirer.

T'approche pas de là, cochonne.

Je lui attrape brutalement les poignets.

Y'a une chose tendue à mort dans ce pantalon, et elle attend que de s'enfouir en toi...

La provoque pas, ou elle va te faire mal à un endroit bien précis, alors que tu viens tout juste d'être recousue ailleurs...

L'idiote ne semble pas capter que c'est en guise d'avertissement, que j'immobilise ses bras.

Elle se sent même obligée de rajouter :

- Tae-Tae... Montre-moi ton booty, par pitié. Je veux voir ton booty... Enlève le bas, je veux te tripoter les fesses... Elles ont l'air si fermes... Laisse-moi tripoter ton booty et je répondrai à toutes les questions que tu veux... S'il-te-plaît, Tae-Tae...

"Tae-Tae" ?

Bordel, la garce... Je vais l'empaler à sec pour lui apprendre le respect.

Quand elle délire, elle, c'est pas à moitié. Une petite injection et c'est carrément plus la même personne.

- ...ton joli booty tout musclé... Laisse-moi le malaxer, d'accord ?

Putain, "booty".

C'est ça qui lui passe par la tête en ce moment-même ? Me tripoter le cul, c'est ce qu'elle veut ?

- C'est pour te délier la langue que je t'ai filé trop de morphine, poupée, je lâche, irrité par son attitude de gamine. Mais pas pour que tu me sortes des conneries pareilles.

Je préférais la flic coincée, la petite conne apeurée et trop pudique que j'avais sous les yeux jusqu'à maintenant. 

Je fais passer les deux poignets de l'idiote dans l'une de mes mains, et je les plaque au-dessus de sa tête sur le plan de travail, en faisant gaffe de pas décoller le bandage sur son épaule.

La petite imbécile se met à glousser comme une conne, en tortillant son corps nu devant moi. 

J'appuie sur son ventre de ma main libre, pour l'empêcher de gigoter. 

Mes yeux se posent sur ses mamelons aux tétons bien dressés, à quelques centimètres de mes doigts.

Bordel, exactement comme je les aime...

Si j'avais pas vraiment l'occasion de les observer en la déshabillant pour la nettoyer et la recoudre, maintenant je perds plus une miette du spectacle.

Putain, ils sont appétissants.

J'en oublie un instant le foutu interrogatoire que je suis censé mener pendant qu'elle délire, et je me penche dessus.

La conne arrête instantanément de glousser.

- Qu'est-ce que tu fais ? C'est moi, qui veux te toucher. Pas l'inver...

- Tu vois ça ? je la coupe, désignant d'un coup de menton mon pectoral rougi. Eh bien, je vais te faire la même chose...

Elle ouvre de grands yeux puis fait la moue, avant de geindre à nouveau : 

- Mais... Et ton booty ? Laisse-moi le toucher...

Bin, tiens...

En plus de la rendre conne, la surdose de morphine la rend têtue... Elle perd pas le nord.

- Rien à foutre de mon cul, idiote.

J'approche mes lèvres de son téton droit, le même que celui qu'elle m'a abimé.

- Par contre tes seins, c'est une autre histoire...

Je souffle sur le petit bout de chair sensible, et elle se cambre en gémissant sur mon foutu plan de travail.

- Je vais te les bouffer.

Je fais ni une, ni deux, et je joins aussitôt le geste à la parole.