𝘌𝘷𝘦𝘳𝘺𝘵𝘩𝘪𝘯𝘨 𝘤𝘢𝘯 𝘩𝘢𝘱𝘱𝘦𝘯 𝘪𝘯 𝘵𝘩𝘦 𝘴𝘪𝘭𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘰𝘧 𝘵𝘩𝘦 𝘯𝘪𝘨𝘩𝘵
Dans le silence de ses instruments, Yoongi se sentait vide et pourtant si plein d'idées sombres. Il en débordera presque.
Mais jamais, l'ancien rappeur n'aur...
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새벽을 지나서 둘이서 함께 맞는 아침 𝔸𝕤 𝕥𝕙𝕖 𝕕𝕒𝕨𝕟 𝕡𝕒𝕤𝕤𝕖𝕕, 𝕦𝕤 𝕥𝕨𝕠 𝕘𝕣𝕖𝕖𝕥𝕖𝕕 𝕥𝕙𝕖 𝕞𝕠𝕣𝕟𝕚𝕟𝕘
영원히 너는 나의 손을 놓지마 𝔻𝕠𝕟'𝕥 𝕝𝕖𝕥 𝕘𝕠 𝕠𝕗 𝕞𝕪 𝕙𝕒𝕟𝕕 𝕗𝕠𝕣𝕖𝕧𝕖𝕣
Lundi 2 octobre 2023 Bureau du docteur généraliste Mr Choi, Clinique publique, Séoul, 18h57
Le médecin avait fini sont monologue depuis plus de cinq minutes durant lesquels régnaient un silence pesant. Il savait que la jeune patiente face à lui devait avoir un temps pour assimiler ce qu'il venait de lui dire, il respectait donc ce silence en lui adressant un regard bienveillant, un regard paternel qu'elle n'avait remarquée, bien trop absorbé par les nouvelles informations qui causait un vacarme au sein de son esprit.
Son monde paisible lui semblait s'écrouler tel un fragile château de cartes.
Ce château qu'elle avait construit cartes par cartes s'effondrait sous le souffle des mots prononcés par le médecin. Le papier s'effritait à l'image de son cœur qui peinait à battre correctement.
Ce cœur qu'elle avait tant de fois senti ce serrer et s'épuiser, il l'avait pourtant prévenu, il avait tiré la sonnette d'alarme depuis bien longtemps, lui envoyant des signaux à travers son corps.
Elle était assise face au médecin qui la suivait depuis son enfance, ce médecin qui l'avait vu grandir et s'épanouir. Ses yeux était perdu à travers l'affiche qui représentait un corps humain dans tout ces détails.
Un homme et une femme debout l'un à côtés de l'autre. Une de ces grandes planches anatomique qui indiquait la position de l'estomac, des reins ou encore du cœur.
Elle lisait doucement l'emplacement de chaque organes, comme pour ce rassurer. Ce dire qu'elle était pareil, un corps composé de tout ces organes qu'elle venait de citer.
Elle était absorbée par la contemplation du système respiratoire qui se floutait légèrement à travers ces yeux qui s'emplissait de larmes. Elle listait l'ordre par lequel l'air entrait pour oxygéner le corps, comme pour ce rappeler de la manœuvre à suivre.
Inspirer par le nez, contracter son ventre pour laisser le diaphragme se dilater et permettre à ses poumons de gonfler d'air avant de le rejeter à nouveau. Ces poumons qui s'activent sans cesse, soulevant de manières continuelle la poitrine de la jeune fille. Ces poumons qui enferment son cœur.