Le sang. Le froid. L'abandon.
Elle avait peur.
La nuit étoilée lui donnait l'espoir qu'elle devienne, un jour ou l'autre, comme les autres.
Son alter la démangeait. La grattait. L'affaiblissait.
Elle devait avancer, c'était la seule solution.
Pas de...
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« Wild Wild Pussycats ! »
De - Kurumi :
Je peux savoir qui es-tu espèce de malade ?
21h41, lu.
De - Inconnu :
Sans doute un super beau gars, très intelligent, très cultivé... Est-ce que j'ai précisé que j'étais super beau ?
21h42, lu.
Un long soupir fatigué mais surtout désespéré s'échappa d'entre mes lèvres. Si c'était une blague, alors elle n'était aucunement drôle. La seule chose dont j'ai envie actuellement, c'est de me reposer un minimum, pas de jouer aux devinettes avec un crétin de première classe. Surtout que je suis sûre qu'il n'est pas beau comme il le prétend.
De - Kurumi :
Et narcissique en plus de ça. Sérieusement t'es qui ?
21h45, lu.
De - Inconnu :
Si je te dis que je suis grand, voir trèèèèès grand ? Que j'aime réellement personne et que j'ai une petite sœur casse bonbon qui aime tirer tes cheveux quand tu ne l'écoutes pas raconter ses histoires d'amours de primaire ? Ça ne te dit toujours rien miss « j'ai peur du sang mais c'est mon alter alors je fais avec ? » 😉
21h46, lu.
De - Kurumi :
Cú...
21h46, lu.
De - Cú le psychopathe 🥶 :
Qui veux-tu que ce soit ? Un malade fou furieux peut-être ? Un... Kidnappeur 😉 ?
21h47, lu.
Je levai les yeux au ciel, même par message il était insupportable. Je me demandai sincèrement comment faisaient les gens de sa classe pour le supporter.
De - Kurumi :
Un dangereux psychopathe qui veut ma mort à m'effrayer comme ça. Espèce d'abruti fini.
21h49, lu.
Plus le car continuait son petit chemin, s'éloignant toujours plus de la civilisation, moins j'avais de réseau à mon plus grand regret. Alors c'est sur un « bonne nuit » commun avec monsieur le narcissique que j'éteignis mon téléphone pour me plonger dans un petit sommeil qui allait sûrement m'être utile pour la suite du voyage que nous entreprenions la classe et moi.
