24 : Sous Le Charme

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La porte s'ouvrait, ce qui laissait apparaître Lord Cutler Beckett. Celui-ci ci partait un plateau sur lequel il avait mit des fruits, un verre d'eau et un repas quelconque. Je ne savais pas comment réagir à ce moment. Je me contentais de le regarder sans vraiment d'expression sur mon visage pendant qu'il s'approchait de moi.
- Je sais que vous avez faim...   Disait-il en s'asseyant sur le lit après qu'il ai posé le plateau à côté de moi.
Je me redressais pour m'assoir contre les oreillers en mettant mes bras sur les couvertures. Je n'avais pas envie de refuser une seconde fois alors qu'il savait très bien ce que je ressentais. Je prenais donc l'assiette dans laquelle était posé un bon morceau de porc et des pommes de terre coupées minutieusement. Je sentais son regard pesant sur moi alors que je mangeais petit bout par petit bout.
- Vous n'avez donc pas prit le compas de Sparrow ?     Me demandait-il après de longues minutes de silence pendant que je finissais le délicieux repas qu'il m'avait donné. J'avalais la bouchée avant de le regarder et de répondre honnêtement en faisant non de la tête.
- Non...  
Ma voix tremblait en disant cela.
- Vous vous rappelez de ce que je vous ai dit ce matin ?     Me demandait-il en m'enlevant l'assiette des mains pour la remettre sur le plateau et mettre celui-ci sur la commode non loin du lit.
Je vais sais la tête en me tenant les mains. Je n'avais pas réussis ma mission. En même temps je n'avais pas fais tous les efforts nécessaires à l'acquisition de cet objet si précieux. Il s'approchait encore plus de moi pour me prendre doucement la main pour l'embrasser.
- Puis je vous faire confiance miss Sparrow ?
Je restais immobile face à cet homme. Je l'avais regardé embrasser ma main froide comme de la glace. J'avais une étrange sensation quand celui-ci était à côté de moi à me parler comme ça. En revanche, les mots ne sortaient toujours pas de ma bouche, j'étais comme effrayé par l'idée de parler.
- Pourriez vous me faire le plaisir de prendre cet objet à votre capitaine la prochaine fois que vous le verrez pour ainsi me le donner ?
J'allais donc revoir mon père. Grâce à ce qu'il venait de dire je ne pouvais pas perdre espoir. Il avait approché ses lèvres de mes oreilles pour continuer à me parler. Sa voix était toujours aussi douce. Cette fois, il chuchoter presque comme pour me bercer. Je ne pouvais refuser ce qu'il me demandait. Je savais très bien que sinon j'allais mourir. C'est là qu'il s'approchait un peu trop de moi... Il passait doucement sa main sur ma joue alors que j'essayais de prendre mes aises. Les battements de mon cœur battaient de plus en plus vite pendant que je le regardais. J'avais plusieurs possibilités devant moi. Je pouvais me lever pour partir. Je pouvais le frapper. Mais je ne le sais pas aux solutions qui existaient pour sortir de là. J'étais complètement dans un autre monde. Alors je ris quelque chose qu'il ne s'attendait probablement pas. Je passais ma main sur mon épaule pour la dénuder. Beckett me regardait dans les yeux avant d'embrasser mon épaule en même temps de dénudée la deuxième et de massée sa main sur mon bras en le caressant afin que le haut de ma robe glisse. Je ne comprenais pas ce qu'il nous prenait. Surtout moi. Je jouais au jeu pour savoir ce que c'était avant mes dix-huit ans. Ce que je sentais était que ma relation avec Cutler était mélangée entre haine et amour. Je n'avais jamais eu les mêmes sensations en étant avec lui. Alors ce soir là, je succombais à son charme. Je me retournais en faisant glisser ma robe jusqu'à la limite de mes hanches pour lui dévoiler mon dos en premier. Je prenais les draps pour les mettre contre ma poitrine en me sentant pas à l'aide de l'avoir dénudé. Je sentais son souffle chaud s'approcher de ma nuque avant d'y déposer des doux baisers alors que je fermais les yeux pour en profiter. Ses lèvres s'approchait de mon cou pour faire de même en même temps qu'il mettait ses mains sur mes hanches pour les caresser doucement. En fin de compte je n'allais pas m'ennuyer sur L'Endeavour. Il continuait de me gâter le dos de baisers à tous les endroits. Je remarquais que j'avais un faible pour les bisous sur la colonne vertébrale alors que je penchais la tête me mordant la lèvre de plaisir avant de ne plus rien sentir.

Pirates, amour et ennemis (Pirates Des Caraïbes) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant