Adopté par les One Direction ♥︎

Chapitre 6

Je me réveille dans la salon. Je suis toujours dans les bras d'Harry. Tout le monde parle à voie basse, pour ne pas me réveiller. Zayn s'est calmé et, en observant autour de moi, je vois qu'une nouvelle personne c'est jointe à nous. C'est une fille, assez jolie elle aussi, et elle est assise à côté de Louis. Ils sont mains dans la main. Je cherches mon singe pour le serrer contre moi, mais ne le trouve pas. Je lèves la tête et tire légèrement sur la manche du t-shirt d'Harry pour attirer son attention. Il baisse la tête sur moi et tout le monde arrêtent de parler.

« Singe. » je signe à Harry.

On dirait qu'il comprend ce que je viens de lui dire parce qu'il se lève et me pose sur le divan près de Niall. Il revient avec mon singe et se rassoie.

Je me demande si Harry comprend ce que je signe ou si ce n'est que par pur hasard? Testons-le!

« J'ai faim! » je lui signe.

J'attends quelques secondes pour voir sa réaction et puis :

« Elle a faim. Louis? Eleanor? Vous voulez vous en occuper? » dit-il.

Donc! Premièrement, il comprend. Deuxièmement, la fille qui est avec Louis s'appelle Eleanor.

Harry me tend à Eleanor et celle-ci me prend avec joie. Elle, moi et Louis commençons à nous diriger vers la cuisine quand la sonnette retentit. Tout le monde se regardent; on dirait qu'ils sont inquiet, mais de quoi?

TOC! TOC! TOC!

Louis revient sur ses pas et se dirige vers la porte.

DING! DONG!

Je l'entends la déverrouiller et tout ce passe si vite.

« Non! ATTENDEZ », j'entends Louis crier.

Une femme, dans la quarantaine, aux cheveux blond et yeux bruns, remonté en toque ébouriffé, et vêtue d'une jupe marron, longue et serré, et d'une chemise, s'avance vers moi décidé à m'arracher des bras d'Eleanor. Cette femme au rouge à lèvre rouge, très rouge!, est suivie d'un homme dodue, dans la cinquantaine, et au crane dégarnie, qui transporte une pile de documents sous son bras.

« Nous pouvons nous expliquer! Ce n'est pas ce que vous croyez. », dit Louis qui arrive derrière eux, en courant.

La femme me prend dans c'est bras et l'homme tend un document à Louis.

« Vous aurez tout le temps de vous expliquez en cours. », dit calmement, mais fermement, l'homme à Louis.

« Mais... », murmura Louis.

« Karine, venez! » ordonne l'homme à la femme qui me tient dans c'est bras osseux.

Quand Karine fait son premier pas pour partir, les garçons, qui étaient figé par cette scène, se lèvent et essaient de ralentirent la femme.

« Non! S'il-vous-plais, non. Je vous en supplie. Nous n'avons rien fait! » supplie Harry en essayent de me reprendre des bras de la femme osseuse.

« Nous en reparlerons en cours! » dit l'homme qui stop les garçons et nous laisses, moi et Karine, sortirent de la maison.

Une foule de paparazzi nous attends dehors. Je me cache les yeux avec les mains pour ne pas que les flaches m'étourdisent.

Je fait un long voyage jusqu'à l'orphelinat dans une auto verte foncée qui pue la cigarette. C'est alors que je me rend enfin compte de ce qui vient de se produire. L'orphelinat ma reprise! Elle est venue me chercher, me volé à ma famille adoptive. J'en avais déjà entendue parler par des enfants plus vieux que moi qui l'avaient vécu parce que la famille qui les avaient adopté les frappaient ou leur ferait du mal... Mais, moi, c'est différent! Personne ne ma frappé! Alors, pourquoi suis-je de retour à l'orphelinat? Il doit y avoir un mal entendue! Oui, c'est ça, il y a eu un mal entendue. Je n'ai aucune raison d'être ici, j'étais bien là-bas et je veux y retourner.

Karine, la dame qui me tien dans ses bras, me transporte jusque dans une pièce replie d'autres enfants âgé de 0 à 2 ans. La plupart pleurent et quelques un dorment. La femme me dépose dans un vieux berceau rouillé qui sens la pisse. Je me demande ce que je fais là? Et j'y reste pendant longtemps, très longtemps. J'ai très faim, mais je mange peu parce que personne ne nous donne, à moi ou aux autres enfants, de quoi manger. Nous sommes enfermé dans cette petite pièce sombre, baignant dans nos excrémants. Puis, quelqu'un ouvre enfin la porte et la lumière m'aveugle.